Avec 33% de terres salées qui handicapent lourdement le développement de son agriculture, la région de Fatick, pour booster son économie, augmenter sa croissance et offrir à ses populations des garanties sûres d’une vie meilleure, a forcément besoin de miser sur la récupération de ses terres dégradées. Une action majeure qui nécessite certes l’implication de ses populations et de leurs mandants, mais surtout de projets ou autres Ong aux moyens beaucoup plus conséquents.
Le projet de gestion et de restauration des terres dégradées du Bassin arachidier intervient dans les cinq régions du Bassin arachidier que sont Fatick, Kaolack, Diourbel, Louga et Thiès, en faisant revenir l’espoir d’un développement harmonieux et endogène.
« Dans chaque région de son champ d’intervention, le projet intervient en fonction des spécificités de la zone », soulignent l’inspecteur régional des Eaux et Forêts de Fatick, le colonel Dia et l’assistant de recherche, M. Sarr.
Cependant, qui dit Fatick, dit également terres salées, d’où l’existence d’une véritable problématique qui étend ses tentacules jusque dans le département de Foundiougne.
Ainsi, pour nos interlocuteurs, tout projet qui travaille dans la dégradation des terres, va forcément travailler dans la récupération des terres salées. « Donc, notre objectif principal, c’est la restauration des terres salées avec des activités de reboisement ».
Après deux années de phase-test entre 2005 et 2007, le projet est entré dans sa phase principale non sans avoir auparavant mis en œuvre ses premières activités grâce au service régional qui a conduit ses premiers pas avec la phase-test. C’est dans ce cadre qu’il faudrait prendre en compte trois mis en défend dans les Communautés rurales de Diakhao et Diaoulé ainsi que dans celle de Loul-Sessène (arrondissement de Fimela).
Aussi, le projet a-t-il fait d’importantes réalisations en matière de reboisement, en récupérant une soixantaine d’hectares de terres salées au niveau du département de Fatick.
A Fatick, pendant cette phase-test, a souligné M. Sarr, le projet a travaillé exclusivement dans ce département où il a par ailleurs organisé une série de formations en apiculture à l’intention des producteurs qui sont venus de Fatick, mais également de Kaolack.
Le projet a eu également dans le cadre de son programme de cette année, à faire quarante-cinq hectares de récupération de terres salées au niveau de Ngouloul, une opération qu’il compte poursuivre. Aussi, s’agira-t-il pour le programme d’intervenir dans les forêts classées où le projet entreprend des activités de reboisement qui entrent dans le cadre de la récupération des terres salées.
Le Soleil
Le projet de gestion et de restauration des terres dégradées du Bassin arachidier intervient dans les cinq régions du Bassin arachidier que sont Fatick, Kaolack, Diourbel, Louga et Thiès, en faisant revenir l’espoir d’un développement harmonieux et endogène.
« Dans chaque région de son champ d’intervention, le projet intervient en fonction des spécificités de la zone », soulignent l’inspecteur régional des Eaux et Forêts de Fatick, le colonel Dia et l’assistant de recherche, M. Sarr.
Cependant, qui dit Fatick, dit également terres salées, d’où l’existence d’une véritable problématique qui étend ses tentacules jusque dans le département de Foundiougne.
Ainsi, pour nos interlocuteurs, tout projet qui travaille dans la dégradation des terres, va forcément travailler dans la récupération des terres salées. « Donc, notre objectif principal, c’est la restauration des terres salées avec des activités de reboisement ».
Après deux années de phase-test entre 2005 et 2007, le projet est entré dans sa phase principale non sans avoir auparavant mis en œuvre ses premières activités grâce au service régional qui a conduit ses premiers pas avec la phase-test. C’est dans ce cadre qu’il faudrait prendre en compte trois mis en défend dans les Communautés rurales de Diakhao et Diaoulé ainsi que dans celle de Loul-Sessène (arrondissement de Fimela).
Aussi, le projet a-t-il fait d’importantes réalisations en matière de reboisement, en récupérant une soixantaine d’hectares de terres salées au niveau du département de Fatick.
A Fatick, pendant cette phase-test, a souligné M. Sarr, le projet a travaillé exclusivement dans ce département où il a par ailleurs organisé une série de formations en apiculture à l’intention des producteurs qui sont venus de Fatick, mais également de Kaolack.
Le projet a eu également dans le cadre de son programme de cette année, à faire quarante-cinq hectares de récupération de terres salées au niveau de Ngouloul, une opération qu’il compte poursuivre. Aussi, s’agira-t-il pour le programme d’intervenir dans les forêts classées où le projet entreprend des activités de reboisement qui entrent dans le cadre de la récupération des terres salées.
Le Soleil