Les réalisations faites par le Fonds de développement local (FDLS) de la coopération italienne dans la région de Sédhiou seront consolidées pour le compte de la première génération. Annonce faite avant-hier, jeudi 18 février, par le comité régional de pilotage. C’était à l’occasion de son assemblée générale qui, après examen des requêtes, a validé trente trois micro-projets et 547 micro crédits.
Le comité régional de pilotage du Fonds de développement local de Sédhiou (Fdls) a procédé jeudi à la validation de trente trois (33) micro- projets et de cinq cent quarante sept (547) micros crédits comptant pour les activités de la première phase en cours de cette coopération entre le Sénégal et l’Italie dont le démarrage a eu lieu en 2007.
Cette première phase est constituée de deux sous composantes que sont la subvention et le micro crédit. Pour ce qui est de la subvention, elle est répartie en trois générations. La première a vu la réalisation de 94 micros projets, la deuxième 56 et la troisième qui vient de faire l’objet de validation se chiffre à 33 micros projets. Au cours de cette assemblée, les responsables du FDLS ont fait observer que « cette troisième génération de micros projets a pour objectif de consolider les réalisations faites lors de la toute première génération. Certes, de très gros efforts sont faits dans tous les différents domaines d’intervention comme le maraîchage, les constructions et équipements, l’octroi des engins d’allégement des travaux, l’embouche bovine, l’agriculture, les bananeraies, la voirie, mais, il y a toujours lieu de renforcer et d’améliorer la qualité des ouvrages aménagés ».
S’agissant de la composante micro crédits, l’assemblée a fait savoir que lors de la première génération, 159 projets individuels et collectifs sont financés. Cette deuxième déjà en cours vient de bénéficier d’une validation de 547 projets dont le montant de la demande s’élève à 757.384.421 FCfa, alors que la manne disponible ne fait que 400 millions, selon Daouda Karé l’Administrateur du Fonds représentant l’UNOPS (bureau des Nations Unies pour les projets de développement). M. Karé de préciser que « le crédit mutuel du Sénégal et les techniciens en projet se mettront à l’œuvre pour calibrer les demande en fonction de la disponibilité financière avant de donner la version finale des approbations ».
Le soulagement des acteurs ouvre des perspectives optimistes
Les collectivités locales membres de ce comité de pilotage applaudissent des deux mains la mise en route des projets de consolidation de la première génération. « C’est pour nous un très grand soulagement car certaines réalisations telles que la voirie de Goudomp, les canaux d’évacuation de Marsassoum, les périmètres maraîchers, le secteur de l’agriculture entre autres requièrent une amélioration. Déjà avec cette dynamique, nous percevons les jalons d’un développement endogène et durable », a dit Lamine Faty, le Président du comité régional de pilotage du FDLS par ailleurs maire de la commune de Bounkiling.
Victor Coly, le responsable du micro crédit a quant à lui, indiqué que « beaucoup de promoteurs sont dans les délais de remboursement, mais à côté, il existe ceux qui traînent encore les pieds et a exhorté les bénéficiaires à plus d’efforts pour alimenter la chaîne de distribution ».
Pour leur part, Saverio Frazzoli et Andréa Spéranza, respectivement conseiller technique principal du FDLS et coordonnateur de l’ONG Cospe, bras technique du suivi évaluation du projet, ont exprimé leur entière satisfaction et leur optimisme quant au succès des objectifs visés. Ces sentiments sont partagés par Bafodé Dramé, le coordonnateur national du projet représentant le gouvernement du Sénégal. Et au nom de l’UNOPS, Daouda Karé estime que des pas de géant sont faits dans le processus de réduction de la pauvreté dans cette partie sud du pays.
Sud Quotidien
Le comité régional de pilotage du Fonds de développement local de Sédhiou (Fdls) a procédé jeudi à la validation de trente trois (33) micro- projets et de cinq cent quarante sept (547) micros crédits comptant pour les activités de la première phase en cours de cette coopération entre le Sénégal et l’Italie dont le démarrage a eu lieu en 2007.
Cette première phase est constituée de deux sous composantes que sont la subvention et le micro crédit. Pour ce qui est de la subvention, elle est répartie en trois générations. La première a vu la réalisation de 94 micros projets, la deuxième 56 et la troisième qui vient de faire l’objet de validation se chiffre à 33 micros projets. Au cours de cette assemblée, les responsables du FDLS ont fait observer que « cette troisième génération de micros projets a pour objectif de consolider les réalisations faites lors de la toute première génération. Certes, de très gros efforts sont faits dans tous les différents domaines d’intervention comme le maraîchage, les constructions et équipements, l’octroi des engins d’allégement des travaux, l’embouche bovine, l’agriculture, les bananeraies, la voirie, mais, il y a toujours lieu de renforcer et d’améliorer la qualité des ouvrages aménagés ».
S’agissant de la composante micro crédits, l’assemblée a fait savoir que lors de la première génération, 159 projets individuels et collectifs sont financés. Cette deuxième déjà en cours vient de bénéficier d’une validation de 547 projets dont le montant de la demande s’élève à 757.384.421 FCfa, alors que la manne disponible ne fait que 400 millions, selon Daouda Karé l’Administrateur du Fonds représentant l’UNOPS (bureau des Nations Unies pour les projets de développement). M. Karé de préciser que « le crédit mutuel du Sénégal et les techniciens en projet se mettront à l’œuvre pour calibrer les demande en fonction de la disponibilité financière avant de donner la version finale des approbations ».
Le soulagement des acteurs ouvre des perspectives optimistes
Les collectivités locales membres de ce comité de pilotage applaudissent des deux mains la mise en route des projets de consolidation de la première génération. « C’est pour nous un très grand soulagement car certaines réalisations telles que la voirie de Goudomp, les canaux d’évacuation de Marsassoum, les périmètres maraîchers, le secteur de l’agriculture entre autres requièrent une amélioration. Déjà avec cette dynamique, nous percevons les jalons d’un développement endogène et durable », a dit Lamine Faty, le Président du comité régional de pilotage du FDLS par ailleurs maire de la commune de Bounkiling.
Victor Coly, le responsable du micro crédit a quant à lui, indiqué que « beaucoup de promoteurs sont dans les délais de remboursement, mais à côté, il existe ceux qui traînent encore les pieds et a exhorté les bénéficiaires à plus d’efforts pour alimenter la chaîne de distribution ».
Pour leur part, Saverio Frazzoli et Andréa Spéranza, respectivement conseiller technique principal du FDLS et coordonnateur de l’ONG Cospe, bras technique du suivi évaluation du projet, ont exprimé leur entière satisfaction et leur optimisme quant au succès des objectifs visés. Ces sentiments sont partagés par Bafodé Dramé, le coordonnateur national du projet représentant le gouvernement du Sénégal. Et au nom de l’UNOPS, Daouda Karé estime que des pas de géant sont faits dans le processus de réduction de la pauvreté dans cette partie sud du pays.
Sud Quotidien