Le Fonds de développement local de Sédhiou (FDLS) est née de la coopération sénégalo italienne il y ‘a environ vingt mois. Il intervient dans presque tous les domaines d’activité tout en mettant un l’accent particulier sur la production agricole en vue soutient- on d’assurer l’auto suffisance alimentaire pérenne dans la région.
Déjà dans cette première génération du projet, les investissements sont réalisés à hauteur de 90,54% déclare Daouda Karé le Responsable de la gestion et de l’administration du bureau des services d’appui aux projets des nations Unies (UNOPS) il explique dans le même temps que les micros projets éligibles sont l’émanation des populations bénéficiaires à la base sur délibération obligatoire de la collectivité locale chef lieu.
Hier jeudi, le comité régional de pilotage s’est réuni pour validation des micros projets devant être soumis au financement de la deuxième génération. Lamine Faty le président dudit comité a fait savoir que « la première génération a absorbé 816 millions de francs CFA. Nous avons financé beaucoup de projets dans des secteurs différents et variés mais nous avons surtout mis l’accent sur l’agriculture conformément à la vision du Chef de l’Etat dans la politique de la GOANA (la grande offensive Agricole pour la Nourriture et l’Abondance). Pour cette deuxième génération nous avons 459 millions de CFA soit un total de 1.375.000.000 ».
Sur les vingt deux collectivités locales ayant postulé, seules deux ont vu leurs projets validés. Les autres sont sommés de compléter leurs dossiers dans les deux semaines qui vont suivre.
A ce niveau, il a été constaté avec amertume que beaucoup de présidents de conseil rural ont manqué de vigilance pour déposer des dossiers incomplets « tous les présidents de conseil rural avaient été bien informé des pièces à fournir avant la date d’aujourd’hui mais je suis au regret de constater que des dossiers sont incomplets et pire, certains ne se sont même pas présenter à la rencontre. Mais nous espérons que tous vont régulariser leur situation dans deux semaines au moins a jouté M. Karé.
Aussi, l’analyse des micros projets a permis d’éviter des doubles emplois pour chaque groupement, une façon dit-on de ne pas léser d’autres localités qui n’en ont pas encore bénéficié.
A relever enfin que la première phase comprend trois générations pour une durée de trois ans. Il est également prévu une deuxième phase dans le cadre du suivi des activités du projet.
Sud Quotidien
Déjà dans cette première génération du projet, les investissements sont réalisés à hauteur de 90,54% déclare Daouda Karé le Responsable de la gestion et de l’administration du bureau des services d’appui aux projets des nations Unies (UNOPS) il explique dans le même temps que les micros projets éligibles sont l’émanation des populations bénéficiaires à la base sur délibération obligatoire de la collectivité locale chef lieu.
Hier jeudi, le comité régional de pilotage s’est réuni pour validation des micros projets devant être soumis au financement de la deuxième génération. Lamine Faty le président dudit comité a fait savoir que « la première génération a absorbé 816 millions de francs CFA. Nous avons financé beaucoup de projets dans des secteurs différents et variés mais nous avons surtout mis l’accent sur l’agriculture conformément à la vision du Chef de l’Etat dans la politique de la GOANA (la grande offensive Agricole pour la Nourriture et l’Abondance). Pour cette deuxième génération nous avons 459 millions de CFA soit un total de 1.375.000.000 ».
Sur les vingt deux collectivités locales ayant postulé, seules deux ont vu leurs projets validés. Les autres sont sommés de compléter leurs dossiers dans les deux semaines qui vont suivre.
A ce niveau, il a été constaté avec amertume que beaucoup de présidents de conseil rural ont manqué de vigilance pour déposer des dossiers incomplets « tous les présidents de conseil rural avaient été bien informé des pièces à fournir avant la date d’aujourd’hui mais je suis au regret de constater que des dossiers sont incomplets et pire, certains ne se sont même pas présenter à la rencontre. Mais nous espérons que tous vont régulariser leur situation dans deux semaines au moins a jouté M. Karé.
Aussi, l’analyse des micros projets a permis d’éviter des doubles emplois pour chaque groupement, une façon dit-on de ne pas léser d’autres localités qui n’en ont pas encore bénéficié.
A relever enfin que la première phase comprend trois générations pour une durée de trois ans. Il est également prévu une deuxième phase dans le cadre du suivi des activités du projet.
Sud Quotidien