Dakar, Sénégal - Le gouvernement sénégalais, en partenariat avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), va mettre en place un programme national de prévention des risques et catastrophes naturelles, a annoncé ce mercredi à Dakar, le coordonnateur du Projet d’appui au programme de prévention des risques majeurs et de gestion des catastrophes naturelles au Sénégal, Amadou Lamine Ndiaye.
Le coordonnateur s’exprimait au cours de l’atelier de validation des études menées dans le cadre de la troisième composante du Document stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP2) axée sur la protection sociale et la gestion des risques et catastrophes.
La rencontre a réfléchi sur des solutions à adopter face aux changements climatiques dans les secteurs de l’agriculture, de la pêche, de l’élevage, dans les prochaines 50 années, mais a travaillé aussi à la réactualisation des textes réglementaires du programme, qui seront validés et soumis à l’Assemblée nationale pour adoption.
"Partout à travers le monde les catastrophes naturelles, notamment les inondations, les changements climatiques, font perdre tout effort de développement consenti par les gouvernements et les populations elles-mêmes", a indiqué M. Ndiaye.
"C’est pourquoi, le gouvernement du Sénégal a pris l’option d’intégrer la réduction des risques de catastrophes dans le DSRP2, car cet axe qui est une question centrale dans les engagements pris au niveau du groupe consultatif de Paris dont le suivi est assuré par le Premier ministre sénégalais, était le parent pauvre du DSRP1", a- t-il ajouté.
Des études rendues publiques lors de cette rencontre ont montré que le Sénégal, à l’instar des autres pays africains, est vulnérable aux changements climatiques avec leurs corollaires d’impacts économiques négatifs, notamment le réchauffement de la planète, la destruction des terres, des écosystèmes, les pertes d’animaux, l’accroissement des risques de famine, "alors que 80% des populations du Sahel vivent en dessous du seuil de pauvreté", selon la même source.
PANA
Le coordonnateur s’exprimait au cours de l’atelier de validation des études menées dans le cadre de la troisième composante du Document stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP2) axée sur la protection sociale et la gestion des risques et catastrophes.
La rencontre a réfléchi sur des solutions à adopter face aux changements climatiques dans les secteurs de l’agriculture, de la pêche, de l’élevage, dans les prochaines 50 années, mais a travaillé aussi à la réactualisation des textes réglementaires du programme, qui seront validés et soumis à l’Assemblée nationale pour adoption.
"Partout à travers le monde les catastrophes naturelles, notamment les inondations, les changements climatiques, font perdre tout effort de développement consenti par les gouvernements et les populations elles-mêmes", a indiqué M. Ndiaye.
"C’est pourquoi, le gouvernement du Sénégal a pris l’option d’intégrer la réduction des risques de catastrophes dans le DSRP2, car cet axe qui est une question centrale dans les engagements pris au niveau du groupe consultatif de Paris dont le suivi est assuré par le Premier ministre sénégalais, était le parent pauvre du DSRP1", a- t-il ajouté.
Des études rendues publiques lors de cette rencontre ont montré que le Sénégal, à l’instar des autres pays africains, est vulnérable aux changements climatiques avec leurs corollaires d’impacts économiques négatifs, notamment le réchauffement de la planète, la destruction des terres, des écosystèmes, les pertes d’animaux, l’accroissement des risques de famine, "alors que 80% des populations du Sahel vivent en dessous du seuil de pauvreté", selon la même source.
PANA