Dakar, 27 mai (APS) - La surpêche, la destruction des mangroves et des écosystèmes, la pollution et l’urbanisation restent notamment les principales menaces qui entraînent une dégradation significative de l’environnement, estime la présidente du Comité de pilotage du Programme régional de conservation de la zone côtière et marine (PRCM), Sylvie Goyet.
Pour lutter contre ces menaces et assurer aux populations locales le maintien et l’amélioration de leurs systèmes de production, des efforts remarquables ont été déployés par les pouvoirs publics, les communautés locales, les ONG et les partenaires au développement pour mettre en place un réseau des aires marines protégées en Afrique de l’Ouest, a indiqué M. Goyet lors d’une table-ronde sur le financement des aires marines.
‘’Nous avons ces dix dernières années appuyé les pays de la sous-région, dans les initiatives de protection de la biodiversité marine et côtière et des aires protégées dans ce domaine’’, a-t-elle rappelé.
Selon elle, il urge de renforcer les outils de gouvernance de gestion des AMP en instaurant un dialogue avec les populations. ‘’Nous aidons et nous assistons les gouvernements techniquement et financièrement afin qu’ils mettent en place ces aire protégées, a-t-elle expliqué.
Selon Sylvie Goyet, la table-ronde permet de lancer des pistes ‘’très fortes’’, car il faut que les partenaires se mobilisent davantage afin de mobiliser plus de soutiens financiers extérieurs pour les aires marines protégées.
Des progrès notables ont été réalisés notamment en termes de renforcement de la sensibilisation sur les besoins en matière de préservation des espèces et des habitats les plus menacés.
‘’L’engagement politique et le soutien formel des Etats aux différentes initiatives régionales de préservation de la nature restent confrontés à la nécessité de renforcer le financement durable au profit des aires protégées dans la région’’, a poursuivi la présidente du comité de pilotage du programme régional de conservation marine et côtière.
La table-ronde a réuni le Cap-Vert, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, la Sierra Léone et le Sénégal.
SBS/ASG
Pour lutter contre ces menaces et assurer aux populations locales le maintien et l’amélioration de leurs systèmes de production, des efforts remarquables ont été déployés par les pouvoirs publics, les communautés locales, les ONG et les partenaires au développement pour mettre en place un réseau des aires marines protégées en Afrique de l’Ouest, a indiqué M. Goyet lors d’une table-ronde sur le financement des aires marines.
‘’Nous avons ces dix dernières années appuyé les pays de la sous-région, dans les initiatives de protection de la biodiversité marine et côtière et des aires protégées dans ce domaine’’, a-t-elle rappelé.
Selon elle, il urge de renforcer les outils de gouvernance de gestion des AMP en instaurant un dialogue avec les populations. ‘’Nous aidons et nous assistons les gouvernements techniquement et financièrement afin qu’ils mettent en place ces aire protégées, a-t-elle expliqué.
Selon Sylvie Goyet, la table-ronde permet de lancer des pistes ‘’très fortes’’, car il faut que les partenaires se mobilisent davantage afin de mobiliser plus de soutiens financiers extérieurs pour les aires marines protégées.
Des progrès notables ont été réalisés notamment en termes de renforcement de la sensibilisation sur les besoins en matière de préservation des espèces et des habitats les plus menacés.
‘’L’engagement politique et le soutien formel des Etats aux différentes initiatives régionales de préservation de la nature restent confrontés à la nécessité de renforcer le financement durable au profit des aires protégées dans la région’’, a poursuivi la présidente du comité de pilotage du programme régional de conservation marine et côtière.
La table-ronde a réuni le Cap-Vert, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, la Sierra Léone et le Sénégal.
SBS/ASG