Dakar, 12 avr (APS) - Le coordonnateur du programme ‘’Energie, environnement, développement’’ de ENDA Tiers Monde, Jean-Philippe Thomas, a invité, lundi à Dakar, les autorités gouvernementales et les élus locaux à ‘’intégrer’’ les aspects liés aux changements climatiques dans l’élaboration ‘’des plans de développement’’.
‘’ Ces aspects doivent être intégrés dans le plan de développement, que ce soit dans le domaine de l’agriculture (ou) de l’accès à l’eau’’, a-t-il suggéré.
M. Jean-philippe Thomas s’exprimait lors de la cérémonie d’ouverture d’un atelier dont le thème est : ‘’Intégration de l’adaptation et de l’atténuation aux changements climatiques dans le processus de planification’’.
Organisé par ENDA TM, Start international, les universités du Ghana et de Tanzanie, il vise la compréhension des conclusions du quatrième rapport d’évaluation du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC, 2007), intitulées ’’Intégration de l’adaptation et de l’atténuation dans le développement de la planification’’.
‘’En gros, a résumé M. Thomas, il s’agit de voir comment on peut adapter les options d’adaptation et d’atténuation, dans les plans de développement régionaux’’.
Et dans la convention climat, il y a ‘’l’objectif d’atténuation des émissions des gaz à effets de serre‘’, a-t-il indiqué.
Pour l’Afrique, l’objectif n’est pas en premier lieu de limiter les gaz à effet de serre, a-t-il souligné, expliquant que ce ne sont pas les pays africains qui sont les premiers responsables des problèmes des réchauffements climatiques.
Selon lui, le véritable objectif du développement des pays africains, c’est d’abord la lutte contre la pauvreté. ‘’Aussi, il faut intégrer les aspects climatiques dans les objectifs de lutte contre la pauvreté’’, a-t-il préconisé.
Mais pour l’élaboration des plans de développement face aux conséquences des changements climatiques, ‘’il ne s’agit pas uniquement d’élaborer des stratégies pour lutter exclusivement contre le changement climatique, mais (…) penser à l’adaptation, l’atténuation aux changements climatiques’’, a-t-il fait remarquer.
A cet égard, il a conseillé notamment de partir du développement et de voir comment intégrer l’atténuation et l’adaptation dans ce plan de développement.
L’atelier, qui se tient jusqu’au 14 avril, a enregistré la participation d’experts internationaux et nationaux, de décideurs, d’ONG, de la société civile, de chercheurs, d’agences des Nations Unies, de représentants de l’Union européenne, de parlementaires.
‘’ Ces aspects doivent être intégrés dans le plan de développement, que ce soit dans le domaine de l’agriculture (ou) de l’accès à l’eau’’, a-t-il suggéré.
M. Jean-philippe Thomas s’exprimait lors de la cérémonie d’ouverture d’un atelier dont le thème est : ‘’Intégration de l’adaptation et de l’atténuation aux changements climatiques dans le processus de planification’’.
Organisé par ENDA TM, Start international, les universités du Ghana et de Tanzanie, il vise la compréhension des conclusions du quatrième rapport d’évaluation du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC, 2007), intitulées ’’Intégration de l’adaptation et de l’atténuation dans le développement de la planification’’.
‘’En gros, a résumé M. Thomas, il s’agit de voir comment on peut adapter les options d’adaptation et d’atténuation, dans les plans de développement régionaux’’.
Et dans la convention climat, il y a ‘’l’objectif d’atténuation des émissions des gaz à effets de serre‘’, a-t-il indiqué.
Pour l’Afrique, l’objectif n’est pas en premier lieu de limiter les gaz à effet de serre, a-t-il souligné, expliquant que ce ne sont pas les pays africains qui sont les premiers responsables des problèmes des réchauffements climatiques.
Selon lui, le véritable objectif du développement des pays africains, c’est d’abord la lutte contre la pauvreté. ‘’Aussi, il faut intégrer les aspects climatiques dans les objectifs de lutte contre la pauvreté’’, a-t-il préconisé.
Mais pour l’élaboration des plans de développement face aux conséquences des changements climatiques, ‘’il ne s’agit pas uniquement d’élaborer des stratégies pour lutter exclusivement contre le changement climatique, mais (…) penser à l’adaptation, l’atténuation aux changements climatiques’’, a-t-il fait remarquer.
A cet égard, il a conseillé notamment de partir du développement et de voir comment intégrer l’atténuation et l’adaptation dans ce plan de développement.
L’atelier, qui se tient jusqu’au 14 avril, a enregistré la participation d’experts internationaux et nationaux, de décideurs, d’ONG, de la société civile, de chercheurs, d’agences des Nations Unies, de représentants de l’Union européenne, de parlementaires.