Ziguinchor, 15 déc (APS) - Responsables des collectivités locales, acteurs du développement local, techniciens de l’environnement, etc, sont réunis depuis mardi à Ziguinchor dans le cadre d’un forum sur la ‘’gestion des ressources forestière en basse Casamance et leur contribution dans l’économie régionale’’.
L’ouverture des travaux a été présidée par l’adjoint au gouverneur en charge du développement. Etaient aussi présents les représentants du Conseil régional et de l’Agence nationale pour la relance des activités en Casamance (ANRAC).
Cette manifestation de trois jours est une initiative du Conseil régional de Ziguinchor en partenariat avec l’Agence nationale pour la relance des activités économiques en Casamance (ANRAC).
Y interviendront aussi de façon déterminante l’Inspection régionale des Eaux et Forêts et la direction régionale de l’Environnement.
Dans le cadre de la décentralisation, l’Etat a transféré aux Collectivités locales la gestion des ressources naturelles et de l’environnement.
Considérée comme le poumon vert du Sénégal, ‘’la région de Ziguinchor, à l’instar des autres régions du Sénégal, est en passe de connaître le même sort que celles-ci en ce qui concerne la dégradation de ses ressources forestières’’, selon les termes de référence du forum.
Parmi les causes de cette dégradation du couvert végétal figurent l’augmentation de la pression anthropique résultant de l’accroissement de la population, de l’urbanisation et de la pauvreté, la situation d’insécurité qui a longtemps sévit dans la région et ayant conduit à une exploitation abusive et irrationnelle des formations forestières.
L’insécurité a favorisé l’installation incontrôlée de nombreuses petites scieries et entreprises artisanales dans les villes, les villages et même à l’intérieur des forêts. A cela s’joutent aussi la recrudescence des feux de brousse, surtout dans le département de Bignona.
L’objectif de la rencontre est de ‘’jeter les bases d’une préservation et d’une régénération optimale des ressources forestières, la valorisation rationnelle de la faune, des produits ligneux et non ligneux (…) et la promotion de l’emploi des jeunes’’.
Parmi les résultats attendus figurent la mise à disposition des acteurs de la région textes juridiques et réglementaires régissant l’exploitation forestière, les modalités de démultiplication et de mise en œuvre des plans d’aménagement et de gestion forestières, la validation d’une stratégie régionale de démultiplication des initiatives d’aménagement forestier participatif, etc.
L’ouverture des travaux a été présidée par l’adjoint au gouverneur en charge du développement. Etaient aussi présents les représentants du Conseil régional et de l’Agence nationale pour la relance des activités en Casamance (ANRAC).
Cette manifestation de trois jours est une initiative du Conseil régional de Ziguinchor en partenariat avec l’Agence nationale pour la relance des activités économiques en Casamance (ANRAC).
Y interviendront aussi de façon déterminante l’Inspection régionale des Eaux et Forêts et la direction régionale de l’Environnement.
Dans le cadre de la décentralisation, l’Etat a transféré aux Collectivités locales la gestion des ressources naturelles et de l’environnement.
Considérée comme le poumon vert du Sénégal, ‘’la région de Ziguinchor, à l’instar des autres régions du Sénégal, est en passe de connaître le même sort que celles-ci en ce qui concerne la dégradation de ses ressources forestières’’, selon les termes de référence du forum.
Parmi les causes de cette dégradation du couvert végétal figurent l’augmentation de la pression anthropique résultant de l’accroissement de la population, de l’urbanisation et de la pauvreté, la situation d’insécurité qui a longtemps sévit dans la région et ayant conduit à une exploitation abusive et irrationnelle des formations forestières.
L’insécurité a favorisé l’installation incontrôlée de nombreuses petites scieries et entreprises artisanales dans les villes, les villages et même à l’intérieur des forêts. A cela s’joutent aussi la recrudescence des feux de brousse, surtout dans le département de Bignona.
L’objectif de la rencontre est de ‘’jeter les bases d’une préservation et d’une régénération optimale des ressources forestières, la valorisation rationnelle de la faune, des produits ligneux et non ligneux (…) et la promotion de l’emploi des jeunes’’.
Parmi les résultats attendus figurent la mise à disposition des acteurs de la région textes juridiques et réglementaires régissant l’exploitation forestière, les modalités de démultiplication et de mise en œuvre des plans d’aménagement et de gestion forestières, la validation d’une stratégie régionale de démultiplication des initiatives d’aménagement forestier participatif, etc.