L’Alliance nationale contre le Sida (Ancs) travaille à faciliter l’accès aux services de soins aux populations les plus vulnérables. Elle a organisé un atelier de partage avec les services et les organisations communautaires de base, de Matam, Saint-Louis.
L’adjoint au gouverneur chargé du développement, Matar Diop, a présidé cette cérémonie au cours de laquelle, le chargé des programmes de l’Ancs, Massogui Thiandoum a rappelé les orientations de cette structure. « Nous avons pu, grâce à l’appui de nos partenaires comme l’Alliance internationale, nous déployer sur l’ensemble du territoire nationale. L’Anacs est aussi accréditée comme une organisation de la société civile majeure dans la réponse au Vih/Sida », a indiqué M. Thiandoum. Depuis 2005, l’Ancs est devenue le récipiendaire principal du programme de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme au Sénégal. « C’est une avancée extrêmement importante. L’Ancs était en 2005, la seule organisation de la société civile de l’Afrique qui a bénéficié des financements du Fonds mondial comme récipiendaire principal », a indiqué M. Thiandoum, expliquant que l’Alliance a ouvert la voie à l’ensemble des organisations de la société civile de l’Afrique pour pouvoir bénéficier des financements du programme du Fonds mondial.
Aujourd’hui, l’un des défis majeurs de l’Alliance, selon son chargé de programmes, c’est de continuer à intervenir sur l’ensemble du territoire national, de décentraliser ses interventions, mais aussi de faire en sorte que les populations les plus vulnérables puissent accéder à l’ensemble des services de prévention, de prise en charge et de traitement. « Le Sénégal est marqué par une épidémiologie concentrée. Nous avons des groupes hautement vulnérables par le Vih/Sida. Nous avons le défi d’aider ce groupe-là, de lutter contre la stigmatisation et la discrimination, d’améliorer qualitativement les offres de services pour ces populations », a-t-il souligné. La structure organise son assemblée générale le 27 novembre prochain.
Samba Oumar Fall
Le Soleil
L’adjoint au gouverneur chargé du développement, Matar Diop, a présidé cette cérémonie au cours de laquelle, le chargé des programmes de l’Ancs, Massogui Thiandoum a rappelé les orientations de cette structure. « Nous avons pu, grâce à l’appui de nos partenaires comme l’Alliance internationale, nous déployer sur l’ensemble du territoire nationale. L’Anacs est aussi accréditée comme une organisation de la société civile majeure dans la réponse au Vih/Sida », a indiqué M. Thiandoum. Depuis 2005, l’Ancs est devenue le récipiendaire principal du programme de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme au Sénégal. « C’est une avancée extrêmement importante. L’Ancs était en 2005, la seule organisation de la société civile de l’Afrique qui a bénéficié des financements du Fonds mondial comme récipiendaire principal », a indiqué M. Thiandoum, expliquant que l’Alliance a ouvert la voie à l’ensemble des organisations de la société civile de l’Afrique pour pouvoir bénéficier des financements du programme du Fonds mondial.
Aujourd’hui, l’un des défis majeurs de l’Alliance, selon son chargé de programmes, c’est de continuer à intervenir sur l’ensemble du territoire national, de décentraliser ses interventions, mais aussi de faire en sorte que les populations les plus vulnérables puissent accéder à l’ensemble des services de prévention, de prise en charge et de traitement. « Le Sénégal est marqué par une épidémiologie concentrée. Nous avons des groupes hautement vulnérables par le Vih/Sida. Nous avons le défi d’aider ce groupe-là, de lutter contre la stigmatisation et la discrimination, d’améliorer qualitativement les offres de services pour ces populations », a-t-il souligné. La structure organise son assemblée générale le 27 novembre prochain.
Samba Oumar Fall
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