Tambacounda, 15 septembre (APS) - Les projets et programmes relatifs à la production de riz sont appelés, dans les régions, à prendre des engagements, en vue de contribuer à l'atteinte de l'objectif du Programme national d'autosuffisance en riz (PNAR) de 1,6 million de tonnes de paddy à l'horizon 2017, a indiqué son coordonnateur, Waly Diouf.
‘’Chacun devra s’engager à aider à l’emblavure du (maximum) d’hectares’’, a noté M. Diouf, à l’ouverture des rencontres régionales d’harmonisation autour de la culture du riz.
Étaient présents à cette rencontre de deux jours, des responsables du ministère de l’Agriculture et de l’Entreprenariat rural et du Projet d’appui au développement agricole et de l’entreprenariat rural (PADAER), les directeurs régionaux du développement rural (DRDR) de Tambacounda et Kédougou.
D'autres structures comme le Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL), ainsi que des producteurs représentant des organisations de riziculteurs et les structures régionales d’appui technique prennent également part à ces concertations.
Le coordonnateur du PNAR a noté qu’il est attendu des différents projets et programmes intervenant dans les régions ciblées par le PNAR qu’ils prennent des engagements pour emblaver des surfaces dédiées à la production de riz.
Outre les superficies emblavées, ces engagements peuvent aussi porter sur l’équipement des producteurs de riz. L’ensemble de ces promesses viendront s’inscrire dans les objectifs que le PNAR a fixés, année par année, à huit régions du pays. La région de Tambacounda s’est vu assigner un objectif de 3.000 hectares en 2014, 4.000 en 2015, 6.000 en 2016 et 9.000 en 2017.
Quant à la région de Kédougou il doit emblaver 3.000 hectares en 2014, 5.000 en 2015, 9.000n en 2016 et 10.000 en 2017.
Globalement, les huit régions que sont Kédougou, Tambacounda, Sédhiou, Kolda, Ziguinchor, Kaffrine, Kaolack et Fatick devraient atteindre 120.000 hectares d’emblavures de riz pluvial en 2014, 140.000 en 2015, 160.000 en 2016 et 183.000 en 2017.
‘’L’idéal serait que pour chaque région, les engagements d’emblavures, de 2015 à 2017, égalent les objectifs’’, a-t-il dit.
"Le non-respect des engagements pris, n’expose pas leur auteur à des poursuites, mais aidera tout de même à avoir une vision claire des interventions des différents acteurs", a laissé entendre Waly Diouf.
Pour Ngagne Mbow, coordonnateur du PADAER, cet atelier permet à sa structure d’avoir une ‘’vision plus exacte’’ de ses interventions dans les deux régions de Tambacounda et de Kédougou pour ses prochains plans annuels de 2015, 2016 et 2017.
Les participants devraient pouvoir arriver à "identifier ensemble les contraintes, de trouver des solutions et les mettre en œuvre dans le cadre d’un plan d’actions qui sera discuté et validé par tout le monde", a-t-il dit.
''Les régions de Tambacounda et Kédougou ont un fort potentiel agricole qui, s’il est exploité de manière optimale, permettra d’assurer une autosuffisance en riz'', a relevé M. Mbow.
ADI/BK
‘’Chacun devra s’engager à aider à l’emblavure du (maximum) d’hectares’’, a noté M. Diouf, à l’ouverture des rencontres régionales d’harmonisation autour de la culture du riz.
Étaient présents à cette rencontre de deux jours, des responsables du ministère de l’Agriculture et de l’Entreprenariat rural et du Projet d’appui au développement agricole et de l’entreprenariat rural (PADAER), les directeurs régionaux du développement rural (DRDR) de Tambacounda et Kédougou.
D'autres structures comme le Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL), ainsi que des producteurs représentant des organisations de riziculteurs et les structures régionales d’appui technique prennent également part à ces concertations.
Le coordonnateur du PNAR a noté qu’il est attendu des différents projets et programmes intervenant dans les régions ciblées par le PNAR qu’ils prennent des engagements pour emblaver des surfaces dédiées à la production de riz.
Outre les superficies emblavées, ces engagements peuvent aussi porter sur l’équipement des producteurs de riz. L’ensemble de ces promesses viendront s’inscrire dans les objectifs que le PNAR a fixés, année par année, à huit régions du pays. La région de Tambacounda s’est vu assigner un objectif de 3.000 hectares en 2014, 4.000 en 2015, 6.000 en 2016 et 9.000 en 2017.
Quant à la région de Kédougou il doit emblaver 3.000 hectares en 2014, 5.000 en 2015, 9.000n en 2016 et 10.000 en 2017.
Globalement, les huit régions que sont Kédougou, Tambacounda, Sédhiou, Kolda, Ziguinchor, Kaffrine, Kaolack et Fatick devraient atteindre 120.000 hectares d’emblavures de riz pluvial en 2014, 140.000 en 2015, 160.000 en 2016 et 183.000 en 2017.
‘’L’idéal serait que pour chaque région, les engagements d’emblavures, de 2015 à 2017, égalent les objectifs’’, a-t-il dit.
"Le non-respect des engagements pris, n’expose pas leur auteur à des poursuites, mais aidera tout de même à avoir une vision claire des interventions des différents acteurs", a laissé entendre Waly Diouf.
Pour Ngagne Mbow, coordonnateur du PADAER, cet atelier permet à sa structure d’avoir une ‘’vision plus exacte’’ de ses interventions dans les deux régions de Tambacounda et de Kédougou pour ses prochains plans annuels de 2015, 2016 et 2017.
Les participants devraient pouvoir arriver à "identifier ensemble les contraintes, de trouver des solutions et les mettre en œuvre dans le cadre d’un plan d’actions qui sera discuté et validé par tout le monde", a-t-il dit.
''Les régions de Tambacounda et Kédougou ont un fort potentiel agricole qui, s’il est exploité de manière optimale, permettra d’assurer une autosuffisance en riz'', a relevé M. Mbow.
ADI/BK