Dakar, 21 mai (APS) – Le Sénégal et la Banque africaine de développement (BAD) ont signé jeudi une Convention de financement du programme de renforcement de la résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel à hauteur de 18, 104 milliards de FCFA pour éradiquer les causes naturelles des crises alimentaires.
Le ministre des Finances, de l’Economie et du Plan, Amadou Bâ et le représentant résident de la BAD, Mamadou Lamine N’dongo ont signé cette convention lors de la revue annuelle conjointe de la coopération entre le gouvernement du Sénégal et l’Institution bancaire.
''Ce projet permettra d’éradiquer aussi les crises nutritionnelles aigus et chroniques, en aidant les ménages vulnérables à accroître leurs revenus, à accéder aux infrastructures et aux services sociaux de base et à construire un patrimoine permettant de renforcer durablement leurs moyens d’existence’’, a-t-il dit le ministre.
Le projet entre en droite ligne avec les objectifs fixés par le Programme de relance et d'accélération de la cadence de l'agriculture sénégalaise (PRACAS) qui couvre 40 communautés rurales des régions de Fatick, Kédougou, Kolda, Matam, Tamcounda et Ziguinchor.
Amadou Bâ a également rappelé la contribution de la BAD qui a augmenté ses investissement en faveur du secteur privé durant ces dernières années pour un montant de plus de 100 milliards de FCFA.
Selon le ministre des de l'Economie, la revue annuelle permettra au Sénégal d’assurer une concertation entre les acteurs impliqués dans la mise en œuvre du programme de coopération avec la BAD en vue d’en identifier les principales contraintes.
Amadou Bâ a indiqué par ailleurs que des avancées significatives ont été notées dans le délai de traitement des dossiers, de passation de marchés et de maîtrise des procédures de la BAD, saluant le renforcement du Bureau régional de Dakar.
Le représentant résident de la BAD, Mamadou Lamine Ndongo, a à son tour attiré l’attention des autorités sénégalaises sur les défis rencontrés par certains projets quant à la sécurisation foncière sur les sites d’implantation. Il a parlé de blocages sérieux dans la mise en œuvre de ces projets.
''C'est le cas du Projet d’appui à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes (PAPEJF) pour l’implantation de certaines fermes aquacoles et du projet de l’Université virtuelle qui semble éprouver des difficultés pour stabiliser les sites pour l’implantation des cinq Espaces numériques ouverts’’, a-t-il estimé.
SDI/OID
Le ministre des Finances, de l’Economie et du Plan, Amadou Bâ et le représentant résident de la BAD, Mamadou Lamine N’dongo ont signé cette convention lors de la revue annuelle conjointe de la coopération entre le gouvernement du Sénégal et l’Institution bancaire.
''Ce projet permettra d’éradiquer aussi les crises nutritionnelles aigus et chroniques, en aidant les ménages vulnérables à accroître leurs revenus, à accéder aux infrastructures et aux services sociaux de base et à construire un patrimoine permettant de renforcer durablement leurs moyens d’existence’’, a-t-il dit le ministre.
Le projet entre en droite ligne avec les objectifs fixés par le Programme de relance et d'accélération de la cadence de l'agriculture sénégalaise (PRACAS) qui couvre 40 communautés rurales des régions de Fatick, Kédougou, Kolda, Matam, Tamcounda et Ziguinchor.
Amadou Bâ a également rappelé la contribution de la BAD qui a augmenté ses investissement en faveur du secteur privé durant ces dernières années pour un montant de plus de 100 milliards de FCFA.
Selon le ministre des de l'Economie, la revue annuelle permettra au Sénégal d’assurer une concertation entre les acteurs impliqués dans la mise en œuvre du programme de coopération avec la BAD en vue d’en identifier les principales contraintes.
Amadou Bâ a indiqué par ailleurs que des avancées significatives ont été notées dans le délai de traitement des dossiers, de passation de marchés et de maîtrise des procédures de la BAD, saluant le renforcement du Bureau régional de Dakar.
Le représentant résident de la BAD, Mamadou Lamine Ndongo, a à son tour attiré l’attention des autorités sénégalaises sur les défis rencontrés par certains projets quant à la sécurisation foncière sur les sites d’implantation. Il a parlé de blocages sérieux dans la mise en œuvre de ces projets.
''C'est le cas du Projet d’appui à la promotion de l’emploi des jeunes et des femmes (PAPEJF) pour l’implantation de certaines fermes aquacoles et du projet de l’Université virtuelle qui semble éprouver des difficultés pour stabiliser les sites pour l’implantation des cinq Espaces numériques ouverts’’, a-t-il estimé.
SDI/OID