Saint-Louis, 1er juin (APS) - Les Clubs d’écoute communautaire Dimitra (CEC) mis en place par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) connaissent des résultats probants et sont très bien assimilés par les populations de la vallée du fleuve Sénégal (Nord), selon Ibrahim A Hama, expert en communication.
‘’Les résultats sont très probants en moins de sept mois d’activités, les clubs ont pu mettre en place des plans d’action et les exécuter sur fonds propres’’, a-t-il déclaré dans un entretien avec l’APS.
M. Hama intervenait au terme d’une mission d’autoévaluation et capitalisation des CEC au Sénégal du 25 mai au 1er juin 2014.
‘’Actuellement, on est en moyenne à 80% d’exécution des plan d’actions mise en place dans les huit CEC installés dans les départements de Dagana et Podor’’, a-t-il ajouté.
Ces clubs fonctionnent sur la base des cotisations et quêtes de ses membres, a dit l'expert en communication, selon qui, les problèmes identifiés sont ceux auxquels un CEC pourrait trouver une solution endogène.
Pour M. Hama, il y a une appropriation de la méthode introduite par la FAO. Il estime que cette méthode peut servir à l’exécution du Programme d'accélération de la cadence de l'agriculture sénégalaise (PRACAS).
Les thèmes abordés au sein de ces instances sont la santé, l’agriculture, l’accès aux intrants, la gouvernance locale et l’assainissement, a affirmé M. Hama.
‘’L’objectif est d’arriver vraiment vers une autonomisation des communautés, mais aussi instaurer des démarches d’appropriation des processus de développement locaux pour l’utilisation dans des domaines qui peuvent être identifiés par les populations elles-mêmes.’’
Ce projet, souligne-t-on, s'inscrit dans le cadre des activités globales du programme sous-régional de Gestion intégrée de la production et des déprédateurs en Afrique de l'Ouest (GIPD), pour veiller à la bonne diffusion des connaissances et des bonnes pratiques.
AMD/SAB
‘’Les résultats sont très probants en moins de sept mois d’activités, les clubs ont pu mettre en place des plans d’action et les exécuter sur fonds propres’’, a-t-il déclaré dans un entretien avec l’APS.
M. Hama intervenait au terme d’une mission d’autoévaluation et capitalisation des CEC au Sénégal du 25 mai au 1er juin 2014.
‘’Actuellement, on est en moyenne à 80% d’exécution des plan d’actions mise en place dans les huit CEC installés dans les départements de Dagana et Podor’’, a-t-il ajouté.
Ces clubs fonctionnent sur la base des cotisations et quêtes de ses membres, a dit l'expert en communication, selon qui, les problèmes identifiés sont ceux auxquels un CEC pourrait trouver une solution endogène.
Pour M. Hama, il y a une appropriation de la méthode introduite par la FAO. Il estime que cette méthode peut servir à l’exécution du Programme d'accélération de la cadence de l'agriculture sénégalaise (PRACAS).
Les thèmes abordés au sein de ces instances sont la santé, l’agriculture, l’accès aux intrants, la gouvernance locale et l’assainissement, a affirmé M. Hama.
‘’L’objectif est d’arriver vraiment vers une autonomisation des communautés, mais aussi instaurer des démarches d’appropriation des processus de développement locaux pour l’utilisation dans des domaines qui peuvent être identifiés par les populations elles-mêmes.’’
Ce projet, souligne-t-on, s'inscrit dans le cadre des activités globales du programme sous-régional de Gestion intégrée de la production et des déprédateurs en Afrique de l'Ouest (GIPD), pour veiller à la bonne diffusion des connaissances et des bonnes pratiques.
AMD/SAB