Dakar, 11 mars (APS) - L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a réitéré son engagement à promouvoir les politiques nationales en faveur de la sécurité alimentaire et à améliorer les informations sur la faim et la nutrition pour y trouver des solutions, a dit son représentant au Sénégal, Vincent Martin.
‘’C’est tout le sens des dispositions de l’accord tripartite signé en novembre 2011 sur la mise en œuvre du programme de coopération avec la Chine pour appuyer le gouvernement du Sénégal dans ses efforts d’intensification, de diversification et de modernisation de son agriculture’’, a-t-il indiqué, mercedi à Dakar.
M. Martin intervenait au cours d’un atelier de restitution finale de la coopération Sud-Sud du Programme national de soutien à la sécurité alimentaire au Sénégal (PNSA), en partenariat avec la FAO.
Le Sénégal fait partie des pays bénéficiaires du programme de la coopération Sud-sud qui permet à la Chine de transférer des compétences en matière d’agriculture, de pêche, d’élevage et d’environnement, a-t-il expliqué.
‘’Cette coopération est un maillon important de la politique de développement de la FAO qui vise à mettre un terme à la faim et à la pauvreté qui sont des objectifs à la fois ambitieux et complexes’’, a souligné son représentant.
D’après lui, le Sénégal est sur la bonne voie avec une volonté politique agricole magnifiée par le Programme de relance et d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS).
‘’Ce programme a comme soubassement le potentiel naturel dont le pays dispose, que sont les cours d’eau, les terres arables, la main d’œuvre, l’expertise, entre autres’’, a indiqué Vincent Martin.
Il est revenu sur les objectifs fixés pour 2017 qui visent une autosuffisance, voire la sécurité alimentaire et nutritionnelle, par le biais d’une production de 1,6 million de tonnes de riz paddy avec une contribution plus équilibrée de la vallée du fleuve Sénégal (Nord) et des zones pluviales de la région sud.
Dans cette dynamique, a-t-il assuré, la FAO demeurait attentive et disponible pour faciliter une continuité afin de consolider les acquis, mais aussi de revisiter des domaines agricoles et institutionnels prioritaires de l’heure.
‘’Une nouvelle phase de mise en œuvre viendra contribuer de manière significative à la réduction de la pauvreté en milieu rural en améliorant durablement les conditions d’accès des groupes et des zones vulnérables à l’alimentation à travers l’augmentation de la production et de la productivité agricoles’’, a-t-il annoncé.
Plusieurs attestations ont été remises aux experts chinois et sénégalais qui ont contribué à la réalisation de cette première phase de mise en œuvre de ce Programme national à la sécurité alimentaire.
SBS/SAB
‘’C’est tout le sens des dispositions de l’accord tripartite signé en novembre 2011 sur la mise en œuvre du programme de coopération avec la Chine pour appuyer le gouvernement du Sénégal dans ses efforts d’intensification, de diversification et de modernisation de son agriculture’’, a-t-il indiqué, mercedi à Dakar.
M. Martin intervenait au cours d’un atelier de restitution finale de la coopération Sud-Sud du Programme national de soutien à la sécurité alimentaire au Sénégal (PNSA), en partenariat avec la FAO.
Le Sénégal fait partie des pays bénéficiaires du programme de la coopération Sud-sud qui permet à la Chine de transférer des compétences en matière d’agriculture, de pêche, d’élevage et d’environnement, a-t-il expliqué.
‘’Cette coopération est un maillon important de la politique de développement de la FAO qui vise à mettre un terme à la faim et à la pauvreté qui sont des objectifs à la fois ambitieux et complexes’’, a souligné son représentant.
D’après lui, le Sénégal est sur la bonne voie avec une volonté politique agricole magnifiée par le Programme de relance et d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (PRACAS).
‘’Ce programme a comme soubassement le potentiel naturel dont le pays dispose, que sont les cours d’eau, les terres arables, la main d’œuvre, l’expertise, entre autres’’, a indiqué Vincent Martin.
Il est revenu sur les objectifs fixés pour 2017 qui visent une autosuffisance, voire la sécurité alimentaire et nutritionnelle, par le biais d’une production de 1,6 million de tonnes de riz paddy avec une contribution plus équilibrée de la vallée du fleuve Sénégal (Nord) et des zones pluviales de la région sud.
Dans cette dynamique, a-t-il assuré, la FAO demeurait attentive et disponible pour faciliter une continuité afin de consolider les acquis, mais aussi de revisiter des domaines agricoles et institutionnels prioritaires de l’heure.
‘’Une nouvelle phase de mise en œuvre viendra contribuer de manière significative à la réduction de la pauvreté en milieu rural en améliorant durablement les conditions d’accès des groupes et des zones vulnérables à l’alimentation à travers l’augmentation de la production et de la productivité agricoles’’, a-t-il annoncé.
Plusieurs attestations ont été remises aux experts chinois et sénégalais qui ont contribué à la réalisation de cette première phase de mise en œuvre de ce Programme national à la sécurité alimentaire.
SBS/SAB