La société civile doit renforcer ses acquis pour montrer qu’elle est capable d’inverser la tendance de l’infection à Vih, surtout lorsqu’elle dispose d’outils permettant d’évaluer et d’atteindre les indicateurs. C’est ainsi que 12 associations qui s’activent dans la croisade contre le sida dans les départements de Dakar, Guédiawaye, Pikine, et Rufisque étaient en formation pour la réduction de la prévalence du sida au sein des groupes dits de passerelles dont la prévalence est au-dessus de la moyenne nationale avec un taux de 1%. L’atelier qui a démarré jeudi dernier à Guédiawaye, au quartier Nimzatt, a été rehaussé par la présence des autorités communales.
Pour le coordonnateur de l’Ong Pasteef, récipiendaire des fonds de l’Association nationale de lutte contre le Sida (Ancs), l’occasion lui a permis de mettre l’accent, dans son discours d’ouverture, sur les exigences du Fonds mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose. S’appuyant sur les nouvelles recommandations du bailleur international, le coordonnateur de cette Ong dira que la réponse au Vih a besoin de se faire autrement.
Ainsi, pour mieux toucher la sensibilité des personnes et induire un changement de comportement réel et durable des personnes, la société civile doit de mouiller le maillot surtout lorsque toutes les interventions sur le terrain peuvent désormais être évaluées par les partenaires de développement. « C’est pourquoi, nous n’avons plus besoin de faire du folklore », a-t-il soutenu avant de dégager tout le sens de cet atelier qui devra servir de cadre de renforcement de la capacité des participants qui seront dotés des outils et moyens d’inverser la tendance.
En ce qui concerne l’atteinte des cibles propres à ces 12 associations issues de la région de Dakar, 12 millions de F Cfa ont été mobilisés pendant toute l’année. « D’autres partenaires interviennent aussi sur le Vih à Dakar », a également précisé le coordonnateur de l’Ong Pastef. Un paquet de services sera pour autant mis entre les mains des différentes associations ciblées sur le terrain.
Une stratégie confortée ensuite par Mme Cissé Diewo Diallo, la représentante du Préfet du Guédiawaye qui s’est réjouie de la tenue de cet atelier à Wakhinane-Nimzatt. Un atelier qui devrait permettre aux organisations de lutte contre le sida d’échanger pour mieux faire face aux offensives nouvelles contre les groupes dits de passerelles.
Cheikh Tidiane MBENGUE
Sud Quotidien
Pour le coordonnateur de l’Ong Pasteef, récipiendaire des fonds de l’Association nationale de lutte contre le Sida (Ancs), l’occasion lui a permis de mettre l’accent, dans son discours d’ouverture, sur les exigences du Fonds mondial de lutte contre le sida, le paludisme et la tuberculose. S’appuyant sur les nouvelles recommandations du bailleur international, le coordonnateur de cette Ong dira que la réponse au Vih a besoin de se faire autrement.
Ainsi, pour mieux toucher la sensibilité des personnes et induire un changement de comportement réel et durable des personnes, la société civile doit de mouiller le maillot surtout lorsque toutes les interventions sur le terrain peuvent désormais être évaluées par les partenaires de développement. « C’est pourquoi, nous n’avons plus besoin de faire du folklore », a-t-il soutenu avant de dégager tout le sens de cet atelier qui devra servir de cadre de renforcement de la capacité des participants qui seront dotés des outils et moyens d’inverser la tendance.
En ce qui concerne l’atteinte des cibles propres à ces 12 associations issues de la région de Dakar, 12 millions de F Cfa ont été mobilisés pendant toute l’année. « D’autres partenaires interviennent aussi sur le Vih à Dakar », a également précisé le coordonnateur de l’Ong Pastef. Un paquet de services sera pour autant mis entre les mains des différentes associations ciblées sur le terrain.
Une stratégie confortée ensuite par Mme Cissé Diewo Diallo, la représentante du Préfet du Guédiawaye qui s’est réjouie de la tenue de cet atelier à Wakhinane-Nimzatt. Un atelier qui devrait permettre aux organisations de lutte contre le sida d’échanger pour mieux faire face aux offensives nouvelles contre les groupes dits de passerelles.
Cheikh Tidiane MBENGUE
Sud Quotidien