Etat, partenaires, acteurs de base et société civile ont validé hier mardi, à Dakar un plan de communication de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives du Sénégal. Lequel plan est censé donner de bonnes informations aussi bien pour les populations que pour les autorités étatiques. Par conséquent, pacifier les rapports défectueux.
Eviter les tensions voire les amoindrir dans les régions minières et par delà adhérer les populations à la gouvernance et à la transparence de l’exploitation de celles-ci requiert une disponibilité d’informations avérées. Et cela passe nécessairement par une bonne stratégie de communication.
Pour ce faire, l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives du Sénégal (Ite) a réuni hier, à Dakar (Etat, partenaires, acteurs de base, société civile) pour valider un plan de communication commandité à cet effet.
Selon Jean François Faye, conseiller en communication du secrétariat permanent de l’Ite «l’Ite va se doter d’un site internet sous peu pour mettre à disposition des populations les informations nécessaires et utiles à leur adhésion aux actions de l’Ite». Parce qu’il ressort dira-t-il «des visites effectuées dans les régions de Kédougou et Matam aussi bien que les administrés que les administrateurs, l’information croustillante pose problème».
Parti de ce constat, Thiendou Niang, exposant sur la deuxième présentation axée sur le diagnostique confirme et légitime le devoir de «concocter un bon plan de communication devant permettre de pacifier les relations souvent tendues entre les sociétés exploitant et les populations de ces localités d’une part et d’autre part faire comprendre aux populations qu’il n’est du ressort de ces sociétés exploitant de construire des écoles, des routes, des forages pour ne citer que cela. Mais, qu’il existe bel et bien un cadre réglementaire qui lie ces sociétés à l’Etat. Pour en arriver là, un plan de communication intégrant toutes les préoccupations des acteurs doit être mis en œuvre».
Pour Ismaïla Madior Fall, président du comité national chargé de la mise en œuvre et du suivi de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Ite) : «il est important dans les rapports de l’Ite de divulguer des informations relatives sur tout ce qui est revenus et payements. Mais, le plus fondamental dans l’Ite, c’est d’emmener sur l’espace publique les questions minières et de permettre un débat serein qui fait qu’au fond qu’il n’y est pas de fantasme, pas d’exagération sur les informations fournies relative audit secteur».
«La communication a pour intérêt fondamental la divulgation des informations relatives au secteur minier, la transparence. Ce qui renforce la redevabilité. Parce qu’au finish, c’est lors que les gens seront suffisamment informés sur ce qui ce passe dans le secteur qu’ils pourront à juste titre et sans exagération interpeler l’Etat», explique le professeur Ismaïla Madior Fall, ministre conseiller juridique auprès du président de la République.
Eviter les tensions voire les amoindrir dans les régions minières et par delà adhérer les populations à la gouvernance et à la transparence de l’exploitation de celles-ci requiert une disponibilité d’informations avérées. Et cela passe nécessairement par une bonne stratégie de communication.
Pour ce faire, l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives du Sénégal (Ite) a réuni hier, à Dakar (Etat, partenaires, acteurs de base, société civile) pour valider un plan de communication commandité à cet effet.
Selon Jean François Faye, conseiller en communication du secrétariat permanent de l’Ite «l’Ite va se doter d’un site internet sous peu pour mettre à disposition des populations les informations nécessaires et utiles à leur adhésion aux actions de l’Ite». Parce qu’il ressort dira-t-il «des visites effectuées dans les régions de Kédougou et Matam aussi bien que les administrés que les administrateurs, l’information croustillante pose problème».
Parti de ce constat, Thiendou Niang, exposant sur la deuxième présentation axée sur le diagnostique confirme et légitime le devoir de «concocter un bon plan de communication devant permettre de pacifier les relations souvent tendues entre les sociétés exploitant et les populations de ces localités d’une part et d’autre part faire comprendre aux populations qu’il n’est du ressort de ces sociétés exploitant de construire des écoles, des routes, des forages pour ne citer que cela. Mais, qu’il existe bel et bien un cadre réglementaire qui lie ces sociétés à l’Etat. Pour en arriver là, un plan de communication intégrant toutes les préoccupations des acteurs doit être mis en œuvre».
Pour Ismaïla Madior Fall, président du comité national chargé de la mise en œuvre et du suivi de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (Ite) : «il est important dans les rapports de l’Ite de divulguer des informations relatives sur tout ce qui est revenus et payements. Mais, le plus fondamental dans l’Ite, c’est d’emmener sur l’espace publique les questions minières et de permettre un débat serein qui fait qu’au fond qu’il n’y est pas de fantasme, pas d’exagération sur les informations fournies relative audit secteur».
«La communication a pour intérêt fondamental la divulgation des informations relatives au secteur minier, la transparence. Ce qui renforce la redevabilité. Parce qu’au finish, c’est lors que les gens seront suffisamment informés sur ce qui ce passe dans le secteur qu’ils pourront à juste titre et sans exagération interpeler l’Etat», explique le professeur Ismaïla Madior Fall, ministre conseiller juridique auprès du président de la République.