Tambacounda, 2 mai (APS) - Le Projet d’appui à la petite irrigation locale (PAPIL) prévoit d’emblaver, cette année dans la région de Tambacounda, 1.100 hectares de riz en hivernage, 20 hectares de semences et 160 ha en saison sèche et en saison chaude, à travers un protocole de 100 millions de francs CFA signé avec huit partenaires, a annoncé son chef d’antenne régionale Sédar Ngom.
‘’Cette année, nous avons prévu de faire 1.100 hectares de riz en hivernage […] on va faire aussi 20 ha de semences, pour sécuriser les semences. Pour le maraîchage, on a prévu de faire 160 hectares en saison sèche et en saison chaude’’, a dit Sédar Ngom, jeudi, au terme d’une rencontre bilan des activités du PAPIL dans la région.
Selon lui, l’Agence nationale de conseil agricole et rural (ANCAR), le partenaire qui recevra le plus gros montant (40 millions de francs) dans le cadre de ces protocoles, travaillera surtout avec la Direction régionale du développement rural (DRDR) à l’encadrement des bénéficiaires.
‘’Le budget pour les protocoles tourne autour de 100 millions, si on intègre les deux partenaires qu’on n’avait pas pris en compte’’, à savoir le service de l’élevage et la région médicale, a indiqué M. Ngom.
Lancé en 2005 pour une durée initiale de 5 ans, le PAPIL a connu une prolongation de 3 ans, à la suite d’un prêt supplémentaire de la Banque africaine de développement (BAD). Avec comme objectif spécifique, l’augmentation de la production agricole sur une base durable, il s’appuie sur des partenaires qu’il finance pour exécuter certaines tâches.
‘’L’ANCAR a la part la plus importante avec 40 millions, les eaux forêts, avec 20 millions. Pour les autres, à savoir l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA), la DREEC, Bamtaare, la DRDR, leurs financements varient entre 10 et 5 millions''.
Le projet, qui appuie aussi les périmètres irrigués de banane, a installé un système irrigué sous pression sur 35 hectares et un système irrigué au goutte-à-goutte sur 15 ha, pour améliorer la banane locale dans la zone de Gouloumbou.
‘’Pour le riz de contre-saison, on est en train d’appuyer les producteurs sur 50 ha’’, a dit Sédar Ngom.
ADI/AD
‘’Cette année, nous avons prévu de faire 1.100 hectares de riz en hivernage […] on va faire aussi 20 ha de semences, pour sécuriser les semences. Pour le maraîchage, on a prévu de faire 160 hectares en saison sèche et en saison chaude’’, a dit Sédar Ngom, jeudi, au terme d’une rencontre bilan des activités du PAPIL dans la région.
Selon lui, l’Agence nationale de conseil agricole et rural (ANCAR), le partenaire qui recevra le plus gros montant (40 millions de francs) dans le cadre de ces protocoles, travaillera surtout avec la Direction régionale du développement rural (DRDR) à l’encadrement des bénéficiaires.
‘’Le budget pour les protocoles tourne autour de 100 millions, si on intègre les deux partenaires qu’on n’avait pas pris en compte’’, à savoir le service de l’élevage et la région médicale, a indiqué M. Ngom.
Lancé en 2005 pour une durée initiale de 5 ans, le PAPIL a connu une prolongation de 3 ans, à la suite d’un prêt supplémentaire de la Banque africaine de développement (BAD). Avec comme objectif spécifique, l’augmentation de la production agricole sur une base durable, il s’appuie sur des partenaires qu’il finance pour exécuter certaines tâches.
‘’L’ANCAR a la part la plus importante avec 40 millions, les eaux forêts, avec 20 millions. Pour les autres, à savoir l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA), la DREEC, Bamtaare, la DRDR, leurs financements varient entre 10 et 5 millions''.
Le projet, qui appuie aussi les périmètres irrigués de banane, a installé un système irrigué sous pression sur 35 hectares et un système irrigué au goutte-à-goutte sur 15 ha, pour améliorer la banane locale dans la zone de Gouloumbou.
‘’Pour le riz de contre-saison, on est en train d’appuyer les producteurs sur 50 ha’’, a dit Sédar Ngom.
ADI/AD