Le financement bouclé auprès de la Banque africaine de développement pour un montant de 10 milliards 500 millions CFA, les travaux de bitumage de la route Khombole - Touba Toul- Tivaouane à partir de la nationale 2, peuvent démarrer, sur 37 km de voies élargies.
THIES - La réalisation de cet axe routier actuellement en couverture latéritique d’une longueur de 37Km, et qui a fait couler beaucoup d’encre, sera bientôt effective. En effet, la nouvelle voie élargie avec un mètre d’accotement des 2 côtés, sera financée par la BAD pour un montant de 10 milliards 500 millions de francs, grâce à la diligence du ministre d’Etat Karim Wade, en charge des infrastructures, selon le directeur général de l’Agence autonome des transports routiers (Aatr) Ibrahima Ndiaye. L’Agence a ainsi contracté avec 2 entreprises aux compétences avérées en matière de construction de route de longue durée, comme le souhaite le Président Abdoulaye Wade. Il s’agit précisément de Sentras et d’Erapt qui sont déjà sur le terrain où elles s’attèlent aux travaux de génie civil. Ceci sous l’œil des agents du bureau de contrôle technique et de qualité. En effet, le travail préliminaire nécessaire avant le bitumage, notamment les études sociologique et géotechnique du sol ont été faites depuis près de 5 ans par l’Aatr. Mais il fallait attendre la mobilisation des fonds. L’importance de ce tronçon est reconnue, que ce soit pour les déplacements massifs de populations lors des grandes cérémonies religieuses, comme le Maouloud à Tivaouane, pour desservir le marché à bestiaux de Touba -Toul ou simplement comme raccourcis entre le Nord et le Centre du pays par la nationale 1. On se souvient que le retard avait occasionné plusieurs marches de protestation des populations dénonçant les désagréments et les souffrances dues à l’enclavement et le réel danger causé par les poussières latéritiques, sans compter les accidents de la circulation.
D’ailleurs, cette route qui dessert des marchés hebdomadaires de Keur Samba Kane et particulièrement Touba-Toul est d’une importance capitale pour les commerçants sédentaires, les hommes d’affaires, les opérateurs économiques dont des vendeurs de bétails.
BEN CHEIKH
Le Soleil
THIES - La réalisation de cet axe routier actuellement en couverture latéritique d’une longueur de 37Km, et qui a fait couler beaucoup d’encre, sera bientôt effective. En effet, la nouvelle voie élargie avec un mètre d’accotement des 2 côtés, sera financée par la BAD pour un montant de 10 milliards 500 millions de francs, grâce à la diligence du ministre d’Etat Karim Wade, en charge des infrastructures, selon le directeur général de l’Agence autonome des transports routiers (Aatr) Ibrahima Ndiaye. L’Agence a ainsi contracté avec 2 entreprises aux compétences avérées en matière de construction de route de longue durée, comme le souhaite le Président Abdoulaye Wade. Il s’agit précisément de Sentras et d’Erapt qui sont déjà sur le terrain où elles s’attèlent aux travaux de génie civil. Ceci sous l’œil des agents du bureau de contrôle technique et de qualité. En effet, le travail préliminaire nécessaire avant le bitumage, notamment les études sociologique et géotechnique du sol ont été faites depuis près de 5 ans par l’Aatr. Mais il fallait attendre la mobilisation des fonds. L’importance de ce tronçon est reconnue, que ce soit pour les déplacements massifs de populations lors des grandes cérémonies religieuses, comme le Maouloud à Tivaouane, pour desservir le marché à bestiaux de Touba -Toul ou simplement comme raccourcis entre le Nord et le Centre du pays par la nationale 1. On se souvient que le retard avait occasionné plusieurs marches de protestation des populations dénonçant les désagréments et les souffrances dues à l’enclavement et le réel danger causé par les poussières latéritiques, sans compter les accidents de la circulation.
D’ailleurs, cette route qui dessert des marchés hebdomadaires de Keur Samba Kane et particulièrement Touba-Toul est d’une importance capitale pour les commerçants sédentaires, les hommes d’affaires, les opérateurs économiques dont des vendeurs de bétails.
BEN CHEIKH
Le Soleil