Dakar, 23 jan (APS) - L’Agence nationale de l’aménagement du territoire (ANAT) et l’Agence nationale pour la reprise des activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC) ont signé, mercredi à Dakar, une convention de partenariat de cinq ans, pour ''donner corps au projet de territorialisation des politiques publiques initié par'' le gouvernement.
''Les deux structures se sont engagées à donner corps au projet de territorialisation des politiques publiques initié par les autorités étatiques, avec la Casamance comme phase-pilote'', indique un communiqué reçu de l'ANAT.
En vertu de l'accord, l’ANAT doit ''apporter l’expertise et l’appui technique requis dans le cadre de ce projet de territorialisation [des politiques publiques] en Casamance, veiller à la mise en cohérence des réseaux d’infrastructures et d’équipements publics avec les besoins des populations, en conformité avec les options du gouvernement''.
Elle ''va aussi assurer la mise en œuvre des stratégies d’aménagement du territoire en Casamance prévues par le Plan d’aménagement du territoire (PNAT), qui devra évoluer en Plan national d’aménagement du territoire et de développement territorial (PNADT)'', rapporte la même source.
Elle indique que le directeur général de l’ANRAC, Moustapha Lô Diatta, et celui de l’ANAT, Mamadou Djigo, ont aussi des accords concernant ''la recherche de financement, le respect des principes de transparence, d’équité et de concertation, dans le cadre des activités prévues par la collaboration des deux entités''.
Les ''activités'' en question ''vont s'articuler autour des aspects socio-économiques, culturels et environnementaux du projet'' de territorialisation des politiques publiques, selon le communiqué.
L’ANRAC dit vouloir, en Casamance, ''jeter les bases d’un développement durable à long terme dans lesdites régions (Kolda, Sédhiou et Ziguinchor) tout en respectant leurs spécificités''.
FD/ESF
''Les deux structures se sont engagées à donner corps au projet de territorialisation des politiques publiques initié par les autorités étatiques, avec la Casamance comme phase-pilote'', indique un communiqué reçu de l'ANAT.
En vertu de l'accord, l’ANAT doit ''apporter l’expertise et l’appui technique requis dans le cadre de ce projet de territorialisation [des politiques publiques] en Casamance, veiller à la mise en cohérence des réseaux d’infrastructures et d’équipements publics avec les besoins des populations, en conformité avec les options du gouvernement''.
Elle ''va aussi assurer la mise en œuvre des stratégies d’aménagement du territoire en Casamance prévues par le Plan d’aménagement du territoire (PNAT), qui devra évoluer en Plan national d’aménagement du territoire et de développement territorial (PNADT)'', rapporte la même source.
Elle indique que le directeur général de l’ANRAC, Moustapha Lô Diatta, et celui de l’ANAT, Mamadou Djigo, ont aussi des accords concernant ''la recherche de financement, le respect des principes de transparence, d’équité et de concertation, dans le cadre des activités prévues par la collaboration des deux entités''.
Les ''activités'' en question ''vont s'articuler autour des aspects socio-économiques, culturels et environnementaux du projet'' de territorialisation des politiques publiques, selon le communiqué.
L’ANRAC dit vouloir, en Casamance, ''jeter les bases d’un développement durable à long terme dans lesdites régions (Kolda, Sédhiou et Ziguinchor) tout en respectant leurs spécificités''.
FD/ESF