Saly-Portudal, 22 mai (APS) – Au Sénégal, des infrastructures ont été mal construites, sous l'effet de la corruption, a soutenu, mercredi à Saly-Portudal (Ouest), le vice-président de l'Observatoire national des acteurs non étatiques pour la lutte contre la non-transparence, la concussion et la corruption (OANEL-2C), Adiouma Sagna.
"On ne peut pas comprendre qu'aujourd’hui des biens, qui devaient revenir aux citoyens, soient concentrés entre les mains de cinq, voire 10 pour cent de la population, ou encore que des infrastructures, qui devaient être construites au profit des populations, soient de mauvaise qualité du fait de la corruption", a soutenu M. Sagna.
Il intervenait à un atelier --- de mercredi à vendredi --- de renforcement des capacités des membres de l'OANEL-2C sur la passation des marchés publics et le contrôle citoyen.
"Transparency International et d’autres agences internationales ont révélé que le rang du Sénégal n’était pas du tout honorable, en ce qui concerne la corruption", a encore dit Adiouma Sagna.
"Il faut que nous ayons des citoyens assez informés et avertis pour savoir que la corruption est un danger pour le Sénégal", a-t-il souligné.
L'objectif de l'atelier est de doter les acteurs non étatiques d’un mécanisme de lutte contre la corruption, avec lequel ils pourront soutenir les initiatives de l'Etat du Sénégal en faveur de la promotion de la transparence et de la bonne gouvernance, selon l'OANEL-2C et l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID).
Cette dernière prend part à l'organisation de l'atelier, qui rentre dans le cadre de son Programme gouvernance et paix (PGP).
ADE/ESF/ASG
"On ne peut pas comprendre qu'aujourd’hui des biens, qui devaient revenir aux citoyens, soient concentrés entre les mains de cinq, voire 10 pour cent de la population, ou encore que des infrastructures, qui devaient être construites au profit des populations, soient de mauvaise qualité du fait de la corruption", a soutenu M. Sagna.
Il intervenait à un atelier --- de mercredi à vendredi --- de renforcement des capacités des membres de l'OANEL-2C sur la passation des marchés publics et le contrôle citoyen.
"Transparency International et d’autres agences internationales ont révélé que le rang du Sénégal n’était pas du tout honorable, en ce qui concerne la corruption", a encore dit Adiouma Sagna.
"Il faut que nous ayons des citoyens assez informés et avertis pour savoir que la corruption est un danger pour le Sénégal", a-t-il souligné.
L'objectif de l'atelier est de doter les acteurs non étatiques d’un mécanisme de lutte contre la corruption, avec lequel ils pourront soutenir les initiatives de l'Etat du Sénégal en faveur de la promotion de la transparence et de la bonne gouvernance, selon l'OANEL-2C et l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID).
Cette dernière prend part à l'organisation de l'atelier, qui rentre dans le cadre de son Programme gouvernance et paix (PGP).
ADE/ESF/ASG