La Banque mondiale organise le mercredi 25 juin prochain au Méridien Président un atelier d’une journée sur le thème « Quels acteurs pour une bonne gouvernance économique et financière ». L’information est contenue dans un communiqué du bureau de la banque basé à Dakar et qui date de ce 23 juin. Cet atelier sera ouvert par Me Madické Niang, Ministre d’Etat, Garde des Sceaux Ministre de la Justice et par M. Madani M. Tall, Directeur des opérations Banque Mondiale pour le Sénégal. Le document informe que l’objectif de cette rencontre est d’encourager un consensus sur le rôle et la responsabilité des acteurs étatiques et non-étatiques ainsi que de la communauté des partenaires au développement.
Avant de préciser qu’il s’agira par la même occasion d’identifier les contraintes auxquelles font face ces acteurs pour faire respecter les règles de bonnes gouvernance. A travers ce communiqué, Gilberto De Barros, chargé du programme « Secteur privé » au bureau de la Banque mondiale à Dakar, a affirmé que « l’expérience dans beaucoup de pays démontre de plus en plus que la mauvaise gouvernance peut avoir des effets négatifs sur la croissance et être un frein aux efforts de réduction de la pauvreté ».
De manière plus spécifique, le communiqué fait savoir que la mauvaise gouvernance est souvent identifiée comme un obstacle majeur au développement du secteur privé et aussi comme facteur ayant un impact négatif sur les revenus des citoyens, a-t-il noté ajoutant que « la reforme de la gouvernance est devenue, une composante essentielle des stratégies de réduction de la pauvreté ».
Selon M. De Barros, l’élaboration d’un programme efficace de reforme de la gouvernance requiert, entre autres, une évaluation régulière de l’état de la gouvernance et un dialogue stratégique soutenu entre les différents acteurs en charge d’assurer le respect des règles de bonne gouvernance.
Le document fait savoir qu’il a souligné que la banque mondiale à l’instar d’autres partenaires au développement est décidée à développer son programme au Sénégal en matière gouvernance en contribuant notamment à l’approfondissement du dialogue interne entre acteurs chargés d’assurer les respects des standards de bonne gouvernance. C’est ainsi que le communiqué avise que l’atelier vise à rassembler l’expertise sénégalaise avec des participants notamment du Parlement, de la haute administration, de la société civile, de la communauté des partenaires au développement, du patronat et du monde universitaire.
Sud Quotidien
Avant de préciser qu’il s’agira par la même occasion d’identifier les contraintes auxquelles font face ces acteurs pour faire respecter les règles de bonnes gouvernance. A travers ce communiqué, Gilberto De Barros, chargé du programme « Secteur privé » au bureau de la Banque mondiale à Dakar, a affirmé que « l’expérience dans beaucoup de pays démontre de plus en plus que la mauvaise gouvernance peut avoir des effets négatifs sur la croissance et être un frein aux efforts de réduction de la pauvreté ».
De manière plus spécifique, le communiqué fait savoir que la mauvaise gouvernance est souvent identifiée comme un obstacle majeur au développement du secteur privé et aussi comme facteur ayant un impact négatif sur les revenus des citoyens, a-t-il noté ajoutant que « la reforme de la gouvernance est devenue, une composante essentielle des stratégies de réduction de la pauvreté ».
Selon M. De Barros, l’élaboration d’un programme efficace de reforme de la gouvernance requiert, entre autres, une évaluation régulière de l’état de la gouvernance et un dialogue stratégique soutenu entre les différents acteurs en charge d’assurer le respect des règles de bonne gouvernance.
Le document fait savoir qu’il a souligné que la banque mondiale à l’instar d’autres partenaires au développement est décidée à développer son programme au Sénégal en matière gouvernance en contribuant notamment à l’approfondissement du dialogue interne entre acteurs chargés d’assurer les respects des standards de bonne gouvernance. C’est ainsi que le communiqué avise que l’atelier vise à rassembler l’expertise sénégalaise avec des participants notamment du Parlement, de la haute administration, de la société civile, de la communauté des partenaires au développement, du patronat et du monde universitaire.
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