Œuvrer pour une meilleure appropriation des initiatives de développement à la base. C’est l’ambition du Réseau d’association pour le bien-être communautaire à travers son programme « Education à une citoyenneté active et participative » (Precap). Il est financé par le programme des bourses canadiennes pour l’éducation et la formation en Afrique (Bcefa).
Le Réseau d’associations pour le bien-être communautaire (Rabec), a lancé, hier à Dakar, un Programme d’éducation à une citoyenneté active et participative (Precap). Il s’agit d’un ensemble d’activités de formation, d’enquêtes de terrain et d’apprentissage que le Rabec met en œuvre avec des acteurs de la société civile dans la commune de Biscuiterie et ses environs. Son objectif est de promouvoir la démocratie dans la gouvernance locale. Le projet est financé par les Bourses canadiennes pour l’éducation et la formation en Afrique.
A cet effet, 25 acteurs provenant des organisations communautaires de base, des syndicats, de la presse et des leaders d’opinion seront renforcés sur les aspects liés à la décentralisation, au leadership et à la participation. Ils auront à produire un plan d’action qui fait ressortir certaines des préoccupations de leur communauté. Le Programme, dans son ensemble, sera exécuté jusqu’au 30 mars 2009.
Il devra permettre aux leaders communautaires de base d’exercer une influence réelle sur les politiques gouvernementales mises en place en vue de lutter contre la pauvreté, dans la perspective de l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd).
Le directeur exécutif du Rabec, M. Yousoupha Badji, déclare que, par l’éducation citoyenne, le Programme se veut particulièrement novateur. Il inclut, en effet, dans son approche, la maîtrise des textes régissant l’administration, la gestion des cités, et renforce, en même temps, la capacité des leaders dans le cadre de la réflexion pour l’action.
« A travers l’éducation citoyenne pour une amélioration contre la pauvreté, des opportunités s’offrent aux citoyens que nous sommes à participer activement à la vie sociale et à faire face collectivement aux problèmes pour éradiquer la pauvreté et construire la démocratie », a indiqué M. Badji.
Selon le coordinateur national résident du bureau canadien de l’Education internationale, Mme Sy Mariama Nianthio Ndiaye, ce programme est conçu et mis en œuvre par le bureau canadien de l’éducation internationale (Bcei), et est financé par l’Agence canadienne pour le développement international (Acdi). Il est destiné à renforcer les capacités de la société civile. Cet appui est aussi basé sur deux principes, notamment le renforcement des capacités individuelles par l’octroi de bourses d’étude, et celui des capacités organisationnelles et de formation à travers des financements institutionnels.
Le Soleil
Le Réseau d’associations pour le bien-être communautaire (Rabec), a lancé, hier à Dakar, un Programme d’éducation à une citoyenneté active et participative (Precap). Il s’agit d’un ensemble d’activités de formation, d’enquêtes de terrain et d’apprentissage que le Rabec met en œuvre avec des acteurs de la société civile dans la commune de Biscuiterie et ses environs. Son objectif est de promouvoir la démocratie dans la gouvernance locale. Le projet est financé par les Bourses canadiennes pour l’éducation et la formation en Afrique.
A cet effet, 25 acteurs provenant des organisations communautaires de base, des syndicats, de la presse et des leaders d’opinion seront renforcés sur les aspects liés à la décentralisation, au leadership et à la participation. Ils auront à produire un plan d’action qui fait ressortir certaines des préoccupations de leur communauté. Le Programme, dans son ensemble, sera exécuté jusqu’au 30 mars 2009.
Il devra permettre aux leaders communautaires de base d’exercer une influence réelle sur les politiques gouvernementales mises en place en vue de lutter contre la pauvreté, dans la perspective de l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd).
Le directeur exécutif du Rabec, M. Yousoupha Badji, déclare que, par l’éducation citoyenne, le Programme se veut particulièrement novateur. Il inclut, en effet, dans son approche, la maîtrise des textes régissant l’administration, la gestion des cités, et renforce, en même temps, la capacité des leaders dans le cadre de la réflexion pour l’action.
« A travers l’éducation citoyenne pour une amélioration contre la pauvreté, des opportunités s’offrent aux citoyens que nous sommes à participer activement à la vie sociale et à faire face collectivement aux problèmes pour éradiquer la pauvreté et construire la démocratie », a indiqué M. Badji.
Selon le coordinateur national résident du bureau canadien de l’Education internationale, Mme Sy Mariama Nianthio Ndiaye, ce programme est conçu et mis en œuvre par le bureau canadien de l’éducation internationale (Bcei), et est financé par l’Agence canadienne pour le développement international (Acdi). Il est destiné à renforcer les capacités de la société civile. Cet appui est aussi basé sur deux principes, notamment le renforcement des capacités individuelles par l’octroi de bourses d’étude, et celui des capacités organisationnelles et de formation à travers des financements institutionnels.
Le Soleil