C’est à un véritable échange sur les problèmes de fonds du secteur économique, sur les préoccupations majeures du secteur privé, que le ministre de la compétitivité et de la bonne gouvernance a invité avant-hier la confédération nationale des entreprises du Sénégal (Cnes).
La démarche est novatrice. Une séance de près de 4 heures d’horloge, entre les responsables de la Cnes et le ministre de la Compétitivité et de la bonne gouvernance, a permis d’aborder plusieurs questions, et de se fixer des objectifs dans la perspective d’une bonne collaboration et tracer les axes d’une bonne compétitivité gage d’une économie forte et durable. « La rencontre a été très fructueuse ; nous avons passé en revue beaucoup de problèmes qui touchent à la compétitivité. Nous avons aussi essayé d’identifier les goulots d’étranglement, les contraintes, et les solutions à trouver par exemple, aux problèmes qui sont créés par l’énergie, qui est d’abord un problème mondial avant d’être national ; comment le ministère de la compétitivité veut asseoir une dynamique de concertation avec le secteur privé moteur du développement. », a indiqué Mme Fatou Danielle Diagne au terme de la concertation.
Il ne s’agissait donc point pour la ministre de venir imposer ses idées au secteur privé, mais c’est plutôt une démarche novatrice qu’elle a inscrite dans un besoin de se mettre au même niveau d’information afin de donner un signal fort. « On a des problèmes de prévision, mais tout cela si nous y prenons bien conscience nous pouvons y remédier », a notamment souligné Mme Diagne. Plusieurs préoccupations ont donc été débattues au cours de cette rencontre, des problèmes qui certes handicapent le secteur privé, mais constituent aussi des écueils pour la compétitivité et la bonne gouvernance. Et le fait de créer ce ministère transversal témoigne, de l’avis de Mme Diagne, de la volonté des autorités de prendre en charge les différentes préoccupations, et d ‘instaurer la confiance chez les bailleurs de fonds, et des investisseurs.
Principe de compétitivité
« Nous avons reconnu ensemble certains points, et nous allons essayer dans une convergence d’idées de voir les moyens de sortie de crise, comment améliorer la compétitivité des entreprises, comment réduire les coûts de production, etc. ; nous avons parlé aussi de la certification du label Sénégal, des marchés tant internes que régionaux, et international », a aussi soutenu le ministre. L’ambition de Fatou Danielle Diagne c’est d’instaurer le dialogue avec le secteur privé, parce que cela, à son avis, « est un principe de compétitivité et de bonne gouvernance ».
Pour la responsable du département de la compétitivité et de la bonne gouvernance beaucoup de choses ont été faites en termes de compétitivité au Sénégal, des études, des journées, etc. Maintenant il s’agit de traduire tout cela dans un document commun qui permettra de voir clairement comment faire pour améliorer la compétitivité. « Nous sommes en plein dans la globalisation, donc il faut mettre les choses en pratique voire comment gagner du temps et aller vite », pense t- elle. C’est dans cette perspective qu’elle a réaffirmé sa volonté de mettre en place le conseil national de la compétitivité, et d’organiser le forum sur la compétitivité qui sera une bien meilleure occasion pour entrer faire un véritable diagnostic, en se basant.
Le président de la Cnes, Mansour Kama a apprécié cette démarche, parce que d’une part, elle est novatrice, et d’autre part parce qu’il estime que son organisation a son mot à dire, et voir quel peut être le cadre d’un partenariat entre le secteur privé et ce ministère. Pour M. Kama, la bonne compétitivité et la bonne gouvernance c’est le credo de la Cnes, et cette concertation permettra d’améliorer le dialogue et les performances.
Le Soleil
La démarche est novatrice. Une séance de près de 4 heures d’horloge, entre les responsables de la Cnes et le ministre de la Compétitivité et de la bonne gouvernance, a permis d’aborder plusieurs questions, et de se fixer des objectifs dans la perspective d’une bonne collaboration et tracer les axes d’une bonne compétitivité gage d’une économie forte et durable. « La rencontre a été très fructueuse ; nous avons passé en revue beaucoup de problèmes qui touchent à la compétitivité. Nous avons aussi essayé d’identifier les goulots d’étranglement, les contraintes, et les solutions à trouver par exemple, aux problèmes qui sont créés par l’énergie, qui est d’abord un problème mondial avant d’être national ; comment le ministère de la compétitivité veut asseoir une dynamique de concertation avec le secteur privé moteur du développement. », a indiqué Mme Fatou Danielle Diagne au terme de la concertation.
Il ne s’agissait donc point pour la ministre de venir imposer ses idées au secteur privé, mais c’est plutôt une démarche novatrice qu’elle a inscrite dans un besoin de se mettre au même niveau d’information afin de donner un signal fort. « On a des problèmes de prévision, mais tout cela si nous y prenons bien conscience nous pouvons y remédier », a notamment souligné Mme Diagne. Plusieurs préoccupations ont donc été débattues au cours de cette rencontre, des problèmes qui certes handicapent le secteur privé, mais constituent aussi des écueils pour la compétitivité et la bonne gouvernance. Et le fait de créer ce ministère transversal témoigne, de l’avis de Mme Diagne, de la volonté des autorités de prendre en charge les différentes préoccupations, et d ‘instaurer la confiance chez les bailleurs de fonds, et des investisseurs.
Principe de compétitivité
« Nous avons reconnu ensemble certains points, et nous allons essayer dans une convergence d’idées de voir les moyens de sortie de crise, comment améliorer la compétitivité des entreprises, comment réduire les coûts de production, etc. ; nous avons parlé aussi de la certification du label Sénégal, des marchés tant internes que régionaux, et international », a aussi soutenu le ministre. L’ambition de Fatou Danielle Diagne c’est d’instaurer le dialogue avec le secteur privé, parce que cela, à son avis, « est un principe de compétitivité et de bonne gouvernance ».
Pour la responsable du département de la compétitivité et de la bonne gouvernance beaucoup de choses ont été faites en termes de compétitivité au Sénégal, des études, des journées, etc. Maintenant il s’agit de traduire tout cela dans un document commun qui permettra de voir clairement comment faire pour améliorer la compétitivité. « Nous sommes en plein dans la globalisation, donc il faut mettre les choses en pratique voire comment gagner du temps et aller vite », pense t- elle. C’est dans cette perspective qu’elle a réaffirmé sa volonté de mettre en place le conseil national de la compétitivité, et d’organiser le forum sur la compétitivité qui sera une bien meilleure occasion pour entrer faire un véritable diagnostic, en se basant.
Le président de la Cnes, Mansour Kama a apprécié cette démarche, parce que d’une part, elle est novatrice, et d’autre part parce qu’il estime que son organisation a son mot à dire, et voir quel peut être le cadre d’un partenariat entre le secteur privé et ce ministère. Pour M. Kama, la bonne compétitivité et la bonne gouvernance c’est le credo de la Cnes, et cette concertation permettra d’améliorer le dialogue et les performances.
Le Soleil