Un projet d’appui à la mise en place d’un système d’information et de gestion des réclamations propres à assurer une amélioration de l’efficacité de l’institution, du renforcement des capacités des agents de la Médiature, et des équipements et des moyens d’action en matière d’information, de communication et de documentation, a fait l’objet d’une étude approfondie. C’était à l’occasion de la rencontre entre Marc Fischbach, médiateur du Luxemburg, et Doudou Ndir, médiateur de la République du Sénégal.
Les Médiateurs de la République du Sénégal et du Luxembourg ont profité de leur vision commune dans la gestion institutionnelle pour jeter les bases d’une coopération dans ce domaine entre les deux pays. La cérémonie avait eu lieu hier. C’est un projet qui, de l’avis de Marc Fischbach, met essentiellement l’accent sur l’outil informatique nécessaire pour une formation adéquate. Le Médiateur luxembourgeois a aussi mis en relief l’importance d’une documentation pour une ouverture d’esprit du médiateur afin qu’il puisse dégager des arguments convaincants face au citoyen. Pour une grande accessibilité par tous les citoyens de République, Marc Fischbach a souligné le rôle crucial de la communication qui doit être visible à l’intérieur du pays. Par ailleurs, il a dit sa volonté de mettre des moyens importants à la disposition du médiateur du Sénégal. Selon M. Fischbach, la médiation est un instrument essentiel de promotion dans une démocratie, c’est le moteur dans la promotion de l’éducation des jeunes d’autant qu’’il est un vecteur essentiel dans la lutte contre la pauvreté, principal souci du millénaire’.
Pour sa part, le médiateur de la République du Sénégal, Doudou Ndir, il a pris un engagement : ‘Nous veillerons à redresser les dysfonctionnements à chaque fois qu’un citoyen saisira un médiateur, soit par mail ou par téléphone. Nous nous chargerons ainsi d’instruire leurs dossiers’. Le médiateur de la République assure en outre que ‘dans les semaines à venir, nous recevrons tout le matériel nécessaire’ au fonctionnement diligent de son institution’. Ainsi les régions de Saint-Louis, Louga, Matam, entre autres, vont recevoir des financements très importants. Cependant, M. Ndir estime qu’il faut garantir la bonne gestion de ce crédit par des vérifications et par des procédés fluides de contrôle pour que ces investissements soient utilisés dans la transparence.
Wal Fadjri
Les Médiateurs de la République du Sénégal et du Luxembourg ont profité de leur vision commune dans la gestion institutionnelle pour jeter les bases d’une coopération dans ce domaine entre les deux pays. La cérémonie avait eu lieu hier. C’est un projet qui, de l’avis de Marc Fischbach, met essentiellement l’accent sur l’outil informatique nécessaire pour une formation adéquate. Le Médiateur luxembourgeois a aussi mis en relief l’importance d’une documentation pour une ouverture d’esprit du médiateur afin qu’il puisse dégager des arguments convaincants face au citoyen. Pour une grande accessibilité par tous les citoyens de République, Marc Fischbach a souligné le rôle crucial de la communication qui doit être visible à l’intérieur du pays. Par ailleurs, il a dit sa volonté de mettre des moyens importants à la disposition du médiateur du Sénégal. Selon M. Fischbach, la médiation est un instrument essentiel de promotion dans une démocratie, c’est le moteur dans la promotion de l’éducation des jeunes d’autant qu’’il est un vecteur essentiel dans la lutte contre la pauvreté, principal souci du millénaire’.
Pour sa part, le médiateur de la République du Sénégal, Doudou Ndir, il a pris un engagement : ‘Nous veillerons à redresser les dysfonctionnements à chaque fois qu’un citoyen saisira un médiateur, soit par mail ou par téléphone. Nous nous chargerons ainsi d’instruire leurs dossiers’. Le médiateur de la République assure en outre que ‘dans les semaines à venir, nous recevrons tout le matériel nécessaire’ au fonctionnement diligent de son institution’. Ainsi les régions de Saint-Louis, Louga, Matam, entre autres, vont recevoir des financements très importants. Cependant, M. Ndir estime qu’il faut garantir la bonne gestion de ce crédit par des vérifications et par des procédés fluides de contrôle pour que ces investissements soient utilisés dans la transparence.
Wal Fadjri