Ce principe de la décentralisation qui est, en quelque sorte, le transfert de pouvoir et de ressources de l’Etat central vers des instances de décisions locales représentatives, se résume en deux mots dans la plupart des pays africains à savoir « liberté » et « proximité ».
Des pays africains se sont doté de lois sur la décentralisation consacrant le principe de l’autonomie et de la libre administration. Cependant, précise le manuel, cette participation a la vie publique locale s’analyse en une double exigence. Il s’agit, non seulement de l’association des populations aux processus d’élaboration des politiques mise en œuvre, mais aussi au contrôle de l’action publique. Ce qui participe à l’amélioration de leur condition de vie.
Toutefois dans l’exercice des compétences qui leur sont dévolues, les collectivités locales africains rencontrent d’énormes difficultés qui risquent de limiter la portée des processus de décentralisation et de compromettre les potentialités qu’offre la bonne gouvernance dans les localités. C’est ainsi qu’une initiative mettant en ligne les possibilités concrètes de collaboration entre pouvoir municipal et acteurs locaux à été effectué à la commune d’arrondissement de Mbao.
Ce projet d’amélioration de la gouvernance locale participative visé par la coopération canadienne à pour objectif de promouvoir un mécanisme de participation des citoyens aux processus de développement locale et à renforcer les capacités d’interventions des acteurs. La formation qui a alterné théorie et pratique à permis une participation dynamique des acteurs en formation par une valorisation de savoir et de savoir faire. Le processus d’élaboration du budget a constitué un temps fort dans la mise en œuvre de ce projet d’amélioration de la gouvernance locale participative, ajoute la même source.
Dès lors, une communication directe s’est instaurée entre les élus citoyens ; ce qui leur permet de rendre compte de leur travail, promouvant du coup une culture de transparence et d’accès à l’information qui est fondamentale pour une bonne gouvernance locale.
Ce manuel qui s’inscrit dans la perspective de la campagne mondiale de la gouvernance urbaine, vise l’introduction du budget participatif en Afrique en tant qu’outil de campagne pour une bonne gouvernance locale novatrice. Un projet d’appui et de développement des filières agricoles dans les Niayes, avec des garanties de sécurité de l’occupation foncière des outils de travail et des investissement durable, y a été intégré.
Sud Quotidien
Des pays africains se sont doté de lois sur la décentralisation consacrant le principe de l’autonomie et de la libre administration. Cependant, précise le manuel, cette participation a la vie publique locale s’analyse en une double exigence. Il s’agit, non seulement de l’association des populations aux processus d’élaboration des politiques mise en œuvre, mais aussi au contrôle de l’action publique. Ce qui participe à l’amélioration de leur condition de vie.
Toutefois dans l’exercice des compétences qui leur sont dévolues, les collectivités locales africains rencontrent d’énormes difficultés qui risquent de limiter la portée des processus de décentralisation et de compromettre les potentialités qu’offre la bonne gouvernance dans les localités. C’est ainsi qu’une initiative mettant en ligne les possibilités concrètes de collaboration entre pouvoir municipal et acteurs locaux à été effectué à la commune d’arrondissement de Mbao.
Ce projet d’amélioration de la gouvernance locale participative visé par la coopération canadienne à pour objectif de promouvoir un mécanisme de participation des citoyens aux processus de développement locale et à renforcer les capacités d’interventions des acteurs. La formation qui a alterné théorie et pratique à permis une participation dynamique des acteurs en formation par une valorisation de savoir et de savoir faire. Le processus d’élaboration du budget a constitué un temps fort dans la mise en œuvre de ce projet d’amélioration de la gouvernance locale participative, ajoute la même source.
Dès lors, une communication directe s’est instaurée entre les élus citoyens ; ce qui leur permet de rendre compte de leur travail, promouvant du coup une culture de transparence et d’accès à l’information qui est fondamentale pour une bonne gouvernance locale.
Ce manuel qui s’inscrit dans la perspective de la campagne mondiale de la gouvernance urbaine, vise l’introduction du budget participatif en Afrique en tant qu’outil de campagne pour une bonne gouvernance locale novatrice. Un projet d’appui et de développement des filières agricoles dans les Niayes, avec des garanties de sécurité de l’occupation foncière des outils de travail et des investissement durable, y a été intégré.
Sud Quotidien