EXÉCUTION DES PROJETS ET PROGRAMMES : La feuille de route la Cap
Comment contribuer à l’amélioration du niveau et de la qualité d’exécution des projets et programmes mis en œuvre par le Sénégal, avec l’appui des partenaires au développement. C’est l’objectif principal visé par la Cellule d’appui à la mise en œuvre des projets et programmes (Cap) du ministère de l’Economie et des Finances qui déroulé sa feuille de route.
En effet, la mise en place de la Cap a résulté d’une étude réalisée par un consultant international qui a révélé de nombreuses insuffisances dans la mise en œuvre des projets et programmes en particulier dans la planification-programmation, le suivi-évaluation, les opérations, c’est-à-dire l’exécution technique et financière des activités et le renforcement des capacités.
« Une situation qui avait des implications directes sur la mise en œuvre des projets et programmes en particulier sur le niveau et la qualité d’exécution de leurs activités », a rappelé lors d’une rencontre avec la presse Bakary Signaté, coordonnateur de la Cap. Dès lors, l’objectif global de contribuer à l’amélioration du niveau (taux d’absorption des crédits sur ressources extérieures) et de la qualité (respect des règles et procédures) d’exécution des projets et programmes de développement devient on ne peu plus important.
Du coup, « la Cap apparaît comme un projet si l’on se réfère à son montage, mais en même temps elle est un service de l’Etat en ce sens qu’elle exécute une partie des missions de l’Ordonnateur national délégué des dépenses d’investissement », a dit M. Signaté.
Une posture qui la confond à une division de la direction de la Dette et de l’Investissement et la distingue des projets classiques. « Ce choix de nos autorités traduit le rôle stratégique dévolu à la Cap et la nécessité de l’approprier comme outil pour en permettre conséquemment sa pérennisation », a souligné M. Signaté.
Dans cette perspective, il s’agira de combler, à ce niveau, le déficit d’encadrement de proximité dont les projets et programmes ont longtemps souffert dans leur mise en œuvre quotidienne.
Le Soleil
En effet, la mise en place de la Cap a résulté d’une étude réalisée par un consultant international qui a révélé de nombreuses insuffisances dans la mise en œuvre des projets et programmes en particulier dans la planification-programmation, le suivi-évaluation, les opérations, c’est-à-dire l’exécution technique et financière des activités et le renforcement des capacités.
« Une situation qui avait des implications directes sur la mise en œuvre des projets et programmes en particulier sur le niveau et la qualité d’exécution de leurs activités », a rappelé lors d’une rencontre avec la presse Bakary Signaté, coordonnateur de la Cap. Dès lors, l’objectif global de contribuer à l’amélioration du niveau (taux d’absorption des crédits sur ressources extérieures) et de la qualité (respect des règles et procédures) d’exécution des projets et programmes de développement devient on ne peu plus important.
Du coup, « la Cap apparaît comme un projet si l’on se réfère à son montage, mais en même temps elle est un service de l’Etat en ce sens qu’elle exécute une partie des missions de l’Ordonnateur national délégué des dépenses d’investissement », a dit M. Signaté.
Une posture qui la confond à une division de la direction de la Dette et de l’Investissement et la distingue des projets classiques. « Ce choix de nos autorités traduit le rôle stratégique dévolu à la Cap et la nécessité de l’approprier comme outil pour en permettre conséquemment sa pérennisation », a souligné M. Signaté.
Dans cette perspective, il s’agira de combler, à ce niveau, le déficit d’encadrement de proximité dont les projets et programmes ont longtemps souffert dans leur mise en œuvre quotidienne.
Le Soleil
