Fatick, 7 jan (APS) - La présidente directrice générale de la Société pour la promotion de l'élevage en Afrique (SOPELA), la vétérinaire Fatou Touré Seck, a exhorté les éleveurs de la région de Fatick à la pratique de la culture fourragère, afin de nourrir le bétail dans les périodes de soudure.
"Quand on a du bétail, il faut stocker la nourriture. Si on veut vraiment sauver notre bétail, il faut qu'on cultive pour que notre bétail puisse manger. L'aliment de bétail est un suppléant’’, a-t-elle dit.
S'exprimant au cours d'un atelier de sensibilisation des éleveurs, Fatou Touré Seck a précisé que "l'aliment de bétail n'est pas un aliment exclusif pour le bétail".
Selon elle, les subventions pour l'aliment de bétail accordées par l'Etat ne sont pas suffisantes pour nourrir tout le cheptel sénégalais.
"Un milliard ne peut pas nourrir le cheptel sénégalais et l'aliment de bétail seulement ne suffit pas pour nourrir le bétail, il faut le foin, parce que c'est des ruminants, il leur faut de l'herbe et l'aliment vient en suppléant’’, a-t-elle souligné.
Fatou Touré Seck a exhorté "les éleveurs [à] demander [aux autorités] des forages pour cultiver et créer des zones où on ne fera que de la culture fourragère pour nourrir le bétail".
FD/AD
"Quand on a du bétail, il faut stocker la nourriture. Si on veut vraiment sauver notre bétail, il faut qu'on cultive pour que notre bétail puisse manger. L'aliment de bétail est un suppléant’’, a-t-elle dit.
S'exprimant au cours d'un atelier de sensibilisation des éleveurs, Fatou Touré Seck a précisé que "l'aliment de bétail n'est pas un aliment exclusif pour le bétail".
Selon elle, les subventions pour l'aliment de bétail accordées par l'Etat ne sont pas suffisantes pour nourrir tout le cheptel sénégalais.
"Un milliard ne peut pas nourrir le cheptel sénégalais et l'aliment de bétail seulement ne suffit pas pour nourrir le bétail, il faut le foin, parce que c'est des ruminants, il leur faut de l'herbe et l'aliment vient en suppléant’’, a-t-elle souligné.
Fatou Touré Seck a exhorté "les éleveurs [à] demander [aux autorités] des forages pour cultiver et créer des zones où on ne fera que de la culture fourragère pour nourrir le bétail".
FD/AD