« Depuis juillet, nous avons travaillé pour lancer tous les processus et maintenant les chantiers sont en cours sur le terrain. Nous faisons également beaucoup de suivi », explique Mme Djibo qui promet une visibilité exacte du travail exécuté en décembre 2016. «Nous avons lancé 800 km de pistes de production. Nous comptons en lancer d’autres pour que d’ici la fin de l’année on ait 1 000 à 1 500 km de piste », ajoute-t-elle non sans souligner qu’elle va installer dans la zone de Fatick pas moins de 3 000 équipements industriels... Mieux Fatou Bintou Djibo dit avoir réceptionné déjà 78 forages sur un effectif de 139 et espère raccorder près de 1 036 villages d’ici la fin de l’année.
Intervenant sur le débat selon lequel, l’on ne devrait pas confier le PUDC au PNUD, Mme Djibo pense que c’est tout à fait normal que le débat soit posé dans un pays démocratique comme le Sénégal. Mais elle précise dans la foulée que l’institution PNUD est bel et bien habilitée à gérer des programmes locaux puisque la dite institution n’a pas de budget propre, mais est plutôt financée par des États, des organismes comme la BAD, l’Union Européenne, etc...
« Les résultats que nous faisons avec le PUDC ce ne sont pas les résultats du PNUD, mais ceux du gouvernement du Sénégal », fait-elle savoir avant de relativiser en soutenant que c’est tout à fait normal qu’il y ait « des incompréhensions, de la méfiance ». Mais, se félicitera t-elle, « aujourd’hui nous avons dépassé cela, ils (les agents de l’Etat) ont vu en nous un allié qui peut leur permettre d’aller vite… »
Dakaractu
Intervenant sur le débat selon lequel, l’on ne devrait pas confier le PUDC au PNUD, Mme Djibo pense que c’est tout à fait normal que le débat soit posé dans un pays démocratique comme le Sénégal. Mais elle précise dans la foulée que l’institution PNUD est bel et bien habilitée à gérer des programmes locaux puisque la dite institution n’a pas de budget propre, mais est plutôt financée par des États, des organismes comme la BAD, l’Union Européenne, etc...
« Les résultats que nous faisons avec le PUDC ce ne sont pas les résultats du PNUD, mais ceux du gouvernement du Sénégal », fait-elle savoir avant de relativiser en soutenant que c’est tout à fait normal qu’il y ait « des incompréhensions, de la méfiance ». Mais, se félicitera t-elle, « aujourd’hui nous avons dépassé cela, ils (les agents de l’Etat) ont vu en nous un allié qui peut leur permettre d’aller vite… »
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