L’Ong Enda Tiers Monde, en collaboration avec le programme des Nations Unies pour les établissements humains (Onu-Habitat), a initié une formation en vue de renforcer les capacités des élus locaux.
« Gouvernance et leadership local ». Tel est le thème de la formation qui a réuni pendant dix jours, à Dakar, des élus locaux de quatre pays de la sous-région. Initiée par l’Ong Enda Tiers Monde, en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour les établissements humains (Onu- Habitat), cette session, la première du genre en Afrique de l’Ouest, cible des cadres des ministères en charge du développement local et de la décentralisation, des formateurs ou responsables de formation et des structures intermédiaires d’appui au développement.
Selon le coordonnateur de l’équipe Ecopop d’Enda Tiers Monde, Mamadou Bachir Kanouté, l’objectif de cette session de formation internationale est de doter ces pays de compétences qui puissent accompagner les processus de décentralisation. Toutefois, M. Kanouté a précisé que cette formation ne porte pas seulement sur des textes de lois. Mais, aussi et surtout, sur des compétences intrinsèques pouvant permettre aux élus de trouver une solution. « Cette session revêt un cachet particulier en ce sens qu’elle a regroupé des compétences triées sur le volet », a-t-il fait savoir. Et d’ajouter : « Ces dix jours de formation ont permis aux participants de se doter d’un ensemble d’outils et de méthodes d’approche pour pouvoir exercer les compétences qui leur sont transférées ».
Plusieurs aspects ont été passés en revu. Le pouvoir de l’élu local, la communication, la capacité d’écoute, la méthode de gestion, entre autres. Au terme de cette formation sanctionnée par un diplôme, les participants ont élaboré un plan d’actions. Entre autres activités, les récipiendaires envisagent de démultiplier les connaissances acquises auprès des collectivités locales de leur pays respectifs et, surtout, de faire des plaidoyers pour influer sur les processus négatifs dans certains pays de la sous-région. Au nom des récipiendaires, Lovessé Patrice du Bénin s’est félicité de la réussite de la formation. « Je suis convaincu que le pouvoir centralisé ne peux plus faire le bonheur des populations. Il faut nécessairement décentraliser pour que le pouvoir central soit plus proche de la base », a-t-il plaidé.
Tata SANE
Le Soleil
« Gouvernance et leadership local ». Tel est le thème de la formation qui a réuni pendant dix jours, à Dakar, des élus locaux de quatre pays de la sous-région. Initiée par l’Ong Enda Tiers Monde, en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour les établissements humains (Onu- Habitat), cette session, la première du genre en Afrique de l’Ouest, cible des cadres des ministères en charge du développement local et de la décentralisation, des formateurs ou responsables de formation et des structures intermédiaires d’appui au développement.
Selon le coordonnateur de l’équipe Ecopop d’Enda Tiers Monde, Mamadou Bachir Kanouté, l’objectif de cette session de formation internationale est de doter ces pays de compétences qui puissent accompagner les processus de décentralisation. Toutefois, M. Kanouté a précisé que cette formation ne porte pas seulement sur des textes de lois. Mais, aussi et surtout, sur des compétences intrinsèques pouvant permettre aux élus de trouver une solution. « Cette session revêt un cachet particulier en ce sens qu’elle a regroupé des compétences triées sur le volet », a-t-il fait savoir. Et d’ajouter : « Ces dix jours de formation ont permis aux participants de se doter d’un ensemble d’outils et de méthodes d’approche pour pouvoir exercer les compétences qui leur sont transférées ».
Plusieurs aspects ont été passés en revu. Le pouvoir de l’élu local, la communication, la capacité d’écoute, la méthode de gestion, entre autres. Au terme de cette formation sanctionnée par un diplôme, les participants ont élaboré un plan d’actions. Entre autres activités, les récipiendaires envisagent de démultiplier les connaissances acquises auprès des collectivités locales de leur pays respectifs et, surtout, de faire des plaidoyers pour influer sur les processus négatifs dans certains pays de la sous-région. Au nom des récipiendaires, Lovessé Patrice du Bénin s’est félicité de la réussite de la formation. « Je suis convaincu que le pouvoir centralisé ne peux plus faire le bonheur des populations. Il faut nécessairement décentraliser pour que le pouvoir central soit plus proche de la base », a-t-il plaidé.
Tata SANE
Le Soleil