Aider les acteurs présents sur le plateau de Thiès à entreprendre une démarche participative d’analyse de leurs différentes situations en vue d’élaborer des stratégies d’une bonne gestion, tel est l’objectif de Enda Graf Sahel.
Par le biais de son entité basée à Thiès, le groupe de recherche et d’appui aux initiatives mutualistes (Graim) a invité des représentants de collectivités locales, des services de l’Etat, des Ong et des organisations de producteurs à se doter d’outils qui leur faciliterait l’approche en « analyse système ».
Selon André Wade, coordonnateur de Graim, dans la nature, tous les éléments se tiennent d’une manière ou d’une autre. Alors, pour être efficace et tirer le maximum d’une zone écologique fragile et complexe comme le Plateau de Thiès, les acteurs doivent avoir une large vue, travailler en synergie et dans une confiance mutuelle car étant conscients que nul ne peut aller sans intégrer les autres dans sa démarche.
Pour faciliter ce partenariat dans le travail, ces acteurs ont planché sur trois situations du plateau de Thiès. Il s’agit de la station d’épuration de Thiès Nord et la zone périurbaine, la dynamique d’intercommunalité entre Pout et Diender et l’élevage sur le plateau de Thiès.
A l’issue de ces travaux, des blocs homogènes d’acteurs ont été mis en place pour poursuivre sur le terrain les esquisses élaborées en commun. Prenant l’exemple d’un secteur tel que l’élevage, André Wade soutient que ce groupe va, à partir d’éléments simples et concrets pour son propre développement, procéder, au fur et mesure, à une analyse profonde et plus globale de l’écosystème du plateau de Thiès.
« Il saura qu’il y a des actions qui dépendent de sa volonté et des décisions qui demandent des négociations avec les autres acteurs pour régler certaines questions », souligne t- il. Alors, des négociations et souvent un compromis s’avèrent nécessaire pour une prise de décision efficace et bénéfique pour tous.
Des qualités et un savoir-faire qui ne s’acquièrent pas en un jour mais qui demandent une formation et une pratique de tous les jours. Les 30 participants à ces journées ont dit toute leur satisfaction et leur engagement à porter ce combat pour leur propre bien être économique et social.
Le Soleil
Par le biais de son entité basée à Thiès, le groupe de recherche et d’appui aux initiatives mutualistes (Graim) a invité des représentants de collectivités locales, des services de l’Etat, des Ong et des organisations de producteurs à se doter d’outils qui leur faciliterait l’approche en « analyse système ».
Selon André Wade, coordonnateur de Graim, dans la nature, tous les éléments se tiennent d’une manière ou d’une autre. Alors, pour être efficace et tirer le maximum d’une zone écologique fragile et complexe comme le Plateau de Thiès, les acteurs doivent avoir une large vue, travailler en synergie et dans une confiance mutuelle car étant conscients que nul ne peut aller sans intégrer les autres dans sa démarche.
Pour faciliter ce partenariat dans le travail, ces acteurs ont planché sur trois situations du plateau de Thiès. Il s’agit de la station d’épuration de Thiès Nord et la zone périurbaine, la dynamique d’intercommunalité entre Pout et Diender et l’élevage sur le plateau de Thiès.
A l’issue de ces travaux, des blocs homogènes d’acteurs ont été mis en place pour poursuivre sur le terrain les esquisses élaborées en commun. Prenant l’exemple d’un secteur tel que l’élevage, André Wade soutient que ce groupe va, à partir d’éléments simples et concrets pour son propre développement, procéder, au fur et mesure, à une analyse profonde et plus globale de l’écosystème du plateau de Thiès.
« Il saura qu’il y a des actions qui dépendent de sa volonté et des décisions qui demandent des négociations avec les autres acteurs pour régler certaines questions », souligne t- il. Alors, des négociations et souvent un compromis s’avèrent nécessaire pour une prise de décision efficace et bénéfique pour tous.
Des qualités et un savoir-faire qui ne s’acquièrent pas en un jour mais qui demandent une formation et une pratique de tous les jours. Les 30 participants à ces journées ont dit toute leur satisfaction et leur engagement à porter ce combat pour leur propre bien être économique et social.
Le Soleil