IMPLICATION DE LA FAMILLE DANS LE DEVELOPPEMENT LOCAL La JCI Dakar n°1 mène la réflexion
Centré sur le thème « Famille et développement local », la convention locale 2011 de la Jeune Chambre Internationale Dakar n°1 s’est tenue ce samedi 08 octobre, à Dakar, en présence d’une palette de jeunes leaders et entrepreneurs engagés dans le développement à la base et d’experts spécialisés dans la question du développement local. Pendant toute une demi-journée, ces divers participants ont échangé et passé en revue les divers niveaux de l’implication de la famille dans le développement local.
Pour Joel Akpabié, le Président de la JCI Dakar n°1, le questionnement soulevé par la présente convention annuelle est un thème d’actualité d’autant que « La famille tend à devenir le principal vecteur du développement social et économique de nos communautés ». Et cela, affirmera-t-il, « grâce à la contribution de la famille au bien-être et à l'épanouissement de l'individu au bénéfice de la société toute entière ».
Et Joel Akpabié de préciser que face à la précarité et la pauvreté ambiante qui gagnent de plus en plus la cellule familiale sénégalaise, l’une des solutions qui s’offre aux jeunes leaders est la promotion du développement local. Seulement, notera-t-il, « vu la léthargie notée au niveau des acteurs concernés et la faible envergure des initiatives prises pour impulser une dynamique nouvelle à la recherche de solutions pertinentes et durables, il nous appartient donc, à nous la jeunesse, de sonner l’alarme pour une mobilisation et une implication plus accrue des acteurs de tout bord dans la promotion du développement local ».
Dans la foulée, le Président de JCI Dakar n°1 a fait remarquer que la conférence diligentée par son organisation qui regroupe des acteurs du développement local, vient à point nommé pour faire la promotion de cette question de développement local. Au final, « le but poursuivi est non seulement de contribuer à la réflexion prospective sur la famille au Sénégal et aux défis quotidiens de subsistance auxquels elle est confrontée, mais encore de sensibiliser la jeunesse sur la nécessité de s’investir davantage dans la recherche de solutions pour leur propre bien être et celui de leur voisinage, par l’entremise de petits projets générateurs de revenus ».
Créé en 1975 et relancée en 1990 par un groupe de jeunes cadres, unis par leur sentiment national et leur sens du volontariat, la Jeune Chambre Internationale Dakar n°1 est la première organisation locale fondée au Sénégal. Elle se fixe pour mission, selon Khady Diédhiou, la présidente 2010 de JCI, « d’offrir aux jeunes gens des opportunités de développement qui leur permettront de créer des changements positifs. Qui plus est, elle essaye, depuis sa création, d’offrir aux jeunes les opportunités de contribuer à l’amélioration du bien être de leur Communauté et de lutter contre la pauvreté ».
Dans cette optique, diverses activités ont été déclinées par JCI Dakar n°1 aux services de la population. Don de médicaments à la Pouponnière de Médina, appui à Handicap international, Journée d’action avec les PV/VIH, de sensibilisation et de dépistage du cancer du sein et du col de l’utérus dans la banlieue dakaroise, voire organisation d’une conférence sur le civisme alimentaire pour un développement durable du Sénégal et autre réunion sur le rôle et la mission de la BCEAO au service des Etats de l’UEMOA. Pour rappel, la convention locale annuelle de la Jeune Chambre Internationale Dakar n°1 avait pour parrain Pierre Ndiaye des Mamelles Jaboot.
Moctar DIENG
Sud Quotidien
Pour Joel Akpabié, le Président de la JCI Dakar n°1, le questionnement soulevé par la présente convention annuelle est un thème d’actualité d’autant que « La famille tend à devenir le principal vecteur du développement social et économique de nos communautés ». Et cela, affirmera-t-il, « grâce à la contribution de la famille au bien-être et à l'épanouissement de l'individu au bénéfice de la société toute entière ».
Et Joel Akpabié de préciser que face à la précarité et la pauvreté ambiante qui gagnent de plus en plus la cellule familiale sénégalaise, l’une des solutions qui s’offre aux jeunes leaders est la promotion du développement local. Seulement, notera-t-il, « vu la léthargie notée au niveau des acteurs concernés et la faible envergure des initiatives prises pour impulser une dynamique nouvelle à la recherche de solutions pertinentes et durables, il nous appartient donc, à nous la jeunesse, de sonner l’alarme pour une mobilisation et une implication plus accrue des acteurs de tout bord dans la promotion du développement local ».
Dans la foulée, le Président de JCI Dakar n°1 a fait remarquer que la conférence diligentée par son organisation qui regroupe des acteurs du développement local, vient à point nommé pour faire la promotion de cette question de développement local. Au final, « le but poursuivi est non seulement de contribuer à la réflexion prospective sur la famille au Sénégal et aux défis quotidiens de subsistance auxquels elle est confrontée, mais encore de sensibiliser la jeunesse sur la nécessité de s’investir davantage dans la recherche de solutions pour leur propre bien être et celui de leur voisinage, par l’entremise de petits projets générateurs de revenus ».
Créé en 1975 et relancée en 1990 par un groupe de jeunes cadres, unis par leur sentiment national et leur sens du volontariat, la Jeune Chambre Internationale Dakar n°1 est la première organisation locale fondée au Sénégal. Elle se fixe pour mission, selon Khady Diédhiou, la présidente 2010 de JCI, « d’offrir aux jeunes gens des opportunités de développement qui leur permettront de créer des changements positifs. Qui plus est, elle essaye, depuis sa création, d’offrir aux jeunes les opportunités de contribuer à l’amélioration du bien être de leur Communauté et de lutter contre la pauvreté ».
Dans cette optique, diverses activités ont été déclinées par JCI Dakar n°1 aux services de la population. Don de médicaments à la Pouponnière de Médina, appui à Handicap international, Journée d’action avec les PV/VIH, de sensibilisation et de dépistage du cancer du sein et du col de l’utérus dans la banlieue dakaroise, voire organisation d’une conférence sur le civisme alimentaire pour un développement durable du Sénégal et autre réunion sur le rôle et la mission de la BCEAO au service des Etats de l’UEMOA. Pour rappel, la convention locale annuelle de la Jeune Chambre Internationale Dakar n°1 avait pour parrain Pierre Ndiaye des Mamelles Jaboot.
Moctar DIENG
Sud Quotidien
