Dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Prévention de la migration illégale d’enfants de moins de 18 ans non accompagnés du Sénégal vers l’Union Européenne », a été lancée, hier, à Saly, la formation en orientation scolaire et professionnelle. La session va permettre de former les professionnels qui vont intégrer les cinq unités d’orientation scolaire et professionnelle (Uniosp).
Le personnel technique des structures partenaires a déjà été formé sur des questions relatives à leur rôle de médiateurs auprès des mineurs et le sera sur la consultation et l’appui pratique en matière d’auto-emploi. Madame Bousso Diaw Fall, directrice de l’Education surveillée et de la Protection sociale (Desps) qui a présidé la cérémonie de lancement, a déclaré que ses services vont s’engager pour rendre dynamique le projet. Momar Guèye de l’Office national de formation professionnelle (Onfp) a révélé qu’en moyenne 15 000 jeunes sont formés par an dans tous les corps de métiers. Plus de 80 000 personnes sont formées actuellement par cet établissement public à caractère industriel qui finance la formation continue et le perfectionnement dans tous les corps. Egalement, le directeur de l’Onfp a indiqué que les jeunes victimes de l’émigration clandestine sont encadrés pour leur permettre d’avoir une qualification. Son homologue de l’Agence nationale pour l’emploi des jeunes (Anej) révèle que sa structure a initié beaucoup de programmes structurants à l’endroit des jeunes. Les jeunes ont besoin d’accompagnement, a-t-il soutenu, et à ce titre, l’Anej travaille à la mise en place des écoles ateliers de Saint-Louis, à la perspective de réplication de ce projet qui va former 330 jeunes dans différents métiers. Pour sa part, Madame Gloria Munoz Ortega, Coordinatrice du projet, a fait savoir qu’il est exécuté par un organisme espagnol : la Fondation internationale et pour l’Amérique Latine d’administration et des politiques publiques et financé par l’Union Européenne.
Amath Sigui NDIAYE
Le Soleil
Le personnel technique des structures partenaires a déjà été formé sur des questions relatives à leur rôle de médiateurs auprès des mineurs et le sera sur la consultation et l’appui pratique en matière d’auto-emploi. Madame Bousso Diaw Fall, directrice de l’Education surveillée et de la Protection sociale (Desps) qui a présidé la cérémonie de lancement, a déclaré que ses services vont s’engager pour rendre dynamique le projet. Momar Guèye de l’Office national de formation professionnelle (Onfp) a révélé qu’en moyenne 15 000 jeunes sont formés par an dans tous les corps de métiers. Plus de 80 000 personnes sont formées actuellement par cet établissement public à caractère industriel qui finance la formation continue et le perfectionnement dans tous les corps. Egalement, le directeur de l’Onfp a indiqué que les jeunes victimes de l’émigration clandestine sont encadrés pour leur permettre d’avoir une qualification. Son homologue de l’Agence nationale pour l’emploi des jeunes (Anej) révèle que sa structure a initié beaucoup de programmes structurants à l’endroit des jeunes. Les jeunes ont besoin d’accompagnement, a-t-il soutenu, et à ce titre, l’Anej travaille à la mise en place des écoles ateliers de Saint-Louis, à la perspective de réplication de ce projet qui va former 330 jeunes dans différents métiers. Pour sa part, Madame Gloria Munoz Ortega, Coordinatrice du projet, a fait savoir qu’il est exécuté par un organisme espagnol : la Fondation internationale et pour l’Amérique Latine d’administration et des politiques publiques et financé par l’Union Européenne.
Amath Sigui NDIAYE
Le Soleil