Dans le cadre du développement de la Casamance, le projet de renforcement des capacités des comités de gestions locaux, vient en appoint aux existants pour une meilleure prise en charge des populations du monde rural. A cet effet, le projet garde comme objectif général : « de contribuer au renforcement des capacités organisationnelles des comités locaux des communautés rurales des région de Ziguinchor et de kolda afin quelle œuvrent efficacement à l’approfondissement de la décentralisation pour la consolidation du processus de paix, la relance des activités socio économiques et la bonne gouvernance des affaire publiques » souligne le document, toutefois la particularité demeure le renforcement de cinq comités locaux en outils de conception, de planification et de gestions participatives pour la prise en charge des questions de paix de développement local dans ces cinq communautés rurales des arrondissements de Nyassia, Niaguiss et Diattacounda.
Pour la représentante de Afrique Enjeu, Madeleine Manga Senghor le projet s’inscrit dans la continuité et contribue à la décentralisation pour une bonne gouvernance de la région Sud du Sénégal et à ses collaborateurs de soutenir : « c’est à travers un constat que le projet a été monté. Beaucoup de centre naissent et meurent faute d’une bonne gestion. Nous misons sur la formation pour aider les comités locaux, à bien gérer leur financement, en à tirer profit. »
D’un coût global de 67 101 840 F fca, le projet est pris en charge par l’Union Européenne à hauteur de 90% soit 60 391 656 F fca et va s’étendre sur une période de 12 mois. Les activités principales vont se baser sur la sensibilité, l’information et la formation.
La justification de ce projet, quant à elle, va reposer sur la pertinence de l’action par rapport aux objectifs et priorités du programme qui sont d’œuvrer à l’approfondissement de la politique de décentralisation, l’appuie au processus de participation des populations à la gestion des affaires locales ainsi que l’encouragement des actions de protection et de promotion des droits de l’hommes mais aussi la favorisation de l’accès à l’emploi et aux activités génératrices de revenus pour les groupes économiquement et socialement les plus défavorisés. Il y a aussi l’identification des besoins et contraintes perçus au Sénégal et en particulier dans les régions de Ziguinchor et Kolda, telles que l’amélioration des conditions de vie par la relance des activités socio économique.
L’adjoint du gouverneur Abdoulaye Faye s’est d’abord félicité du projet avant d’interpeller à une implication objective des acteurs pour la réussite de ce projet qui a démarré depuis le mois de Mai. Il soutient que « le développement de la Casamance est une préoccupation de tout un chacun. Avec la régionalisation qui parachève la décentralisation, la responsabilité du civil n’est pas une fin en soi »
Sud Quotidien
Pour la représentante de Afrique Enjeu, Madeleine Manga Senghor le projet s’inscrit dans la continuité et contribue à la décentralisation pour une bonne gouvernance de la région Sud du Sénégal et à ses collaborateurs de soutenir : « c’est à travers un constat que le projet a été monté. Beaucoup de centre naissent et meurent faute d’une bonne gestion. Nous misons sur la formation pour aider les comités locaux, à bien gérer leur financement, en à tirer profit. »
D’un coût global de 67 101 840 F fca, le projet est pris en charge par l’Union Européenne à hauteur de 90% soit 60 391 656 F fca et va s’étendre sur une période de 12 mois. Les activités principales vont se baser sur la sensibilité, l’information et la formation.
La justification de ce projet, quant à elle, va reposer sur la pertinence de l’action par rapport aux objectifs et priorités du programme qui sont d’œuvrer à l’approfondissement de la politique de décentralisation, l’appuie au processus de participation des populations à la gestion des affaires locales ainsi que l’encouragement des actions de protection et de promotion des droits de l’hommes mais aussi la favorisation de l’accès à l’emploi et aux activités génératrices de revenus pour les groupes économiquement et socialement les plus défavorisés. Il y a aussi l’identification des besoins et contraintes perçus au Sénégal et en particulier dans les régions de Ziguinchor et Kolda, telles que l’amélioration des conditions de vie par la relance des activités socio économique.
L’adjoint du gouverneur Abdoulaye Faye s’est d’abord félicité du projet avant d’interpeller à une implication objective des acteurs pour la réussite de ce projet qui a démarré depuis le mois de Mai. Il soutient que « le développement de la Casamance est une préoccupation de tout un chacun. Avec la régionalisation qui parachève la décentralisation, la responsabilité du civil n’est pas une fin en soi »
Sud Quotidien