Dakar, 29 oct (APS)- Le Centre régional africain de technologie (CRAT) compte stimuler le mouvement technologique sur le continent africain avec la mise en place de ses antennes dans plusieurs capitales africaines, en plus d’un bureau liaison dans la capitale française, a fait part mardi à l'APS, son directeur exécutif, Abderrahim Doumar.
''La technologie est une problématique spéciale car on est dans un environnement sanctionné par les changements climatiques, la famine, les maladies chroniques, beaucoup de problèmes qui sont liés à la technologie de façon directe ou indirecte’’, a expliqué le directeur exécutif du CRAT.
Abderrahim Doumar a indiqué que le CRAT participe régulièrement aux discussions lors des rencontres internationales concernant ces fléaux, pour défendre les intérêts du continent.
''Nous sommes présents surtout concernant les quatre volets que sont l’environnement, les TIC, les énergies renouvelables et l’agriculture’’, a dit M. Doumar lors d'un entretien avec l'APS.
Le CRAT, a t-il dit, participe aux discussions au niveau international et travaille avec les gouvernements dans la promotion des technologies.
L'institution qui est un moteur des sciences et technologies dans le continent est dans une situation un peu différente aujourd’hui, selon son directeur exécutif.
‘’Il y a une première antenne au Maroc et des autres filiales dans les autres régions africaines’’ ,a encore dit M. Doumar, précisant qu'Addis-Abeba et Malabo vont bientôt fonctionner.
''Le devenir de l’Afrique nécessite une économie debout qui passe par la technologie'', a estimé M. Doumar.
‘’Les pays qui sont forts aujourd’hui sont ceux qui sont viables sur le plan technologique. Nous devons travailler collectivement sur nos capacités de façon sous-régionale en thématique’’, a-t-il dit.
Créé en 1977, le CRAT a son siège au Sénégal qui est pays membre depuis sa création. 31 pays africains font partie de cette organisation avec une contribution financière à hauteur du produit intérieur brut (PIB) de chaque pays.
SBS/OID/AD
''La technologie est une problématique spéciale car on est dans un environnement sanctionné par les changements climatiques, la famine, les maladies chroniques, beaucoup de problèmes qui sont liés à la technologie de façon directe ou indirecte’’, a expliqué le directeur exécutif du CRAT.
Abderrahim Doumar a indiqué que le CRAT participe régulièrement aux discussions lors des rencontres internationales concernant ces fléaux, pour défendre les intérêts du continent.
''Nous sommes présents surtout concernant les quatre volets que sont l’environnement, les TIC, les énergies renouvelables et l’agriculture’’, a dit M. Doumar lors d'un entretien avec l'APS.
Le CRAT, a t-il dit, participe aux discussions au niveau international et travaille avec les gouvernements dans la promotion des technologies.
L'institution qui est un moteur des sciences et technologies dans le continent est dans une situation un peu différente aujourd’hui, selon son directeur exécutif.
‘’Il y a une première antenne au Maroc et des autres filiales dans les autres régions africaines’’ ,a encore dit M. Doumar, précisant qu'Addis-Abeba et Malabo vont bientôt fonctionner.
''Le devenir de l’Afrique nécessite une économie debout qui passe par la technologie'', a estimé M. Doumar.
‘’Les pays qui sont forts aujourd’hui sont ceux qui sont viables sur le plan technologique. Nous devons travailler collectivement sur nos capacités de façon sous-régionale en thématique’’, a-t-il dit.
Créé en 1977, le CRAT a son siège au Sénégal qui est pays membre depuis sa création. 31 pays africains font partie de cette organisation avec une contribution financière à hauteur du produit intérieur brut (PIB) de chaque pays.
SBS/OID/AD