Dakar, 30 jan (APS) - Le projet sur ''la migration et le développement dans la route migratoire de l'Afrique de l'Ouest (MEDAO)" vise à améliorer les conditions de vie des migrants et de leurs familles, ont indiqué ses responsables, soulignant qu'il permettra aussi un renforcement des capacités des administrations publiques africaines, en vue de faciliter ''les synergies positives entre la migration et le développement dans la route de l’Afrique de l’Ouest''.
Un document transmis à la presse précise que le MEDAO s´inscrit dans le cadre du programme thématique ‘’Migration et Asile, 2007-2013’’, mis en place par l´Union européenne (UE), pour aider les pays tiers à mieux gérer les flux migratoires dans toutes leurs dimensions.
C'est un projet de 30 mois cofinancé par l’Union européenne dans le cadre du programme susnommé, et par l’Agence espagnole de coopération internationale et développement(AECID), souligne la section sénégalaise de MEDAO.
L'objectif spécifique, précise la même source, est de consolider les impacts et effets positifs des initiatives sur la formation liée à l’emploi, à la protection sociale, aux transferts de fonds et à la participation de la diaspora en renforçant la connaissance et les capacités des administrations publiques du Cap-Vert, de la Côte d’Ivoire, du Maroc et du Sénégal.
D’autres instances publiques, ou de la société civile intervenant dans ces champs peuvent être associées en fonction des contextes locaux, avancent les responsables, avant de rappeler que ''les migrants et leurs familles sont les bénéficiaires finaux de ce programme''.
Le projet, qui est dans sa phase test, vise également à renforcer les capacités des administrations publiques chargées d’identifier et de gérer les initiatives dans le cadre de quatre axes de la migration et du développement, dans le but de favoriser les effets positifs de la migration sur le développement dans les quatre pays précités.
Il s’agit du développement de systèmes de formation liés à l’emploi, à la question de la protection sociale des migrants et de leurs familles, aux mécanismes destinés à promouvoir les effets sociaux et économiques de la migration sur le développement et au renforcement du lien de la diaspora avec son pays d’origine.
Les responsables de la section sénégalaise de MEDAO signalent que ''le Sénégal a choisi parmi ces chapitres la question de la protection sociale des migrants et de leurs familles, un point fondamental de la réflexion sur les migrations euro-africaines''.
Ils ont avancé comme préalable la nécessité d'élaborer des mécanismes de protection sociale adaptés à la réalité protéiforme des migrations afin de garantir les droits sociaux des migrants et de leurs familles de manière transnationale.
SK/MTN/ASG
Un document transmis à la presse précise que le MEDAO s´inscrit dans le cadre du programme thématique ‘’Migration et Asile, 2007-2013’’, mis en place par l´Union européenne (UE), pour aider les pays tiers à mieux gérer les flux migratoires dans toutes leurs dimensions.
C'est un projet de 30 mois cofinancé par l’Union européenne dans le cadre du programme susnommé, et par l’Agence espagnole de coopération internationale et développement(AECID), souligne la section sénégalaise de MEDAO.
L'objectif spécifique, précise la même source, est de consolider les impacts et effets positifs des initiatives sur la formation liée à l’emploi, à la protection sociale, aux transferts de fonds et à la participation de la diaspora en renforçant la connaissance et les capacités des administrations publiques du Cap-Vert, de la Côte d’Ivoire, du Maroc et du Sénégal.
D’autres instances publiques, ou de la société civile intervenant dans ces champs peuvent être associées en fonction des contextes locaux, avancent les responsables, avant de rappeler que ''les migrants et leurs familles sont les bénéficiaires finaux de ce programme''.
Le projet, qui est dans sa phase test, vise également à renforcer les capacités des administrations publiques chargées d’identifier et de gérer les initiatives dans le cadre de quatre axes de la migration et du développement, dans le but de favoriser les effets positifs de la migration sur le développement dans les quatre pays précités.
Il s’agit du développement de systèmes de formation liés à l’emploi, à la question de la protection sociale des migrants et de leurs familles, aux mécanismes destinés à promouvoir les effets sociaux et économiques de la migration sur le développement et au renforcement du lien de la diaspora avec son pays d’origine.
Les responsables de la section sénégalaise de MEDAO signalent que ''le Sénégal a choisi parmi ces chapitres la question de la protection sociale des migrants et de leurs familles, un point fondamental de la réflexion sur les migrations euro-africaines''.
Ils ont avancé comme préalable la nécessité d'élaborer des mécanismes de protection sociale adaptés à la réalité protéiforme des migrations afin de garantir les droits sociaux des migrants et de leurs familles de manière transnationale.
SK/MTN/ASG