Dakar, 21 déc (APS) – Les femmes sont les principales bénéficiaires du Programmes d’appui aux initiatives de solidarité pour le développement (PAISD), a indiqué le coordonnateur dudit programme, Papa Birama Thiam.
‘’Nous avons fait la part belle aux femmes, car nous prenons en compte la dimension genre dans la mise en œuvre de nos projets’’, a-t-il dit mardi en marge de la réunion du Comité de pilotage du PAISD.
Selon Papa Birama Thiam, 14 ouvrages complets répondent aux besoins des femmes en premier.
‘’Quand nous leur facilitons l’accès à l’eau ou que nous construisons des maternités, nous luttons contre la perte de vie au moment de l’accouchement et gérons par la même la mortalité infantile’’, a-t-il poursuivi.
Il a indiqué que10 maternités ont été construites à Matam, à Tambacounba et dans d’autres localités en plus d’infrastructures scolaires pour lutter contre les mariages précoces et permettre aux filles de poursuivre leurs études.
Le programme, qui est financé en partie par la contribution des migrants sénégalais en France, est destiné à offrir des infrastructures adéquates aux populations et aux familles restées au pays.
‘’La migration n’est pas féminisée, mais ce sont les femmes qui bénéficient le plus de l’apport des projets, car leurs travaux sont allégés et elles peuvent consacrer leur temps à d’autres occupations’’, a encore dit le coordonnateur du PAISD.
BS/ASG
‘’Nous avons fait la part belle aux femmes, car nous prenons en compte la dimension genre dans la mise en œuvre de nos projets’’, a-t-il dit mardi en marge de la réunion du Comité de pilotage du PAISD.
Selon Papa Birama Thiam, 14 ouvrages complets répondent aux besoins des femmes en premier.
‘’Quand nous leur facilitons l’accès à l’eau ou que nous construisons des maternités, nous luttons contre la perte de vie au moment de l’accouchement et gérons par la même la mortalité infantile’’, a-t-il poursuivi.
Il a indiqué que10 maternités ont été construites à Matam, à Tambacounba et dans d’autres localités en plus d’infrastructures scolaires pour lutter contre les mariages précoces et permettre aux filles de poursuivre leurs études.
Le programme, qui est financé en partie par la contribution des migrants sénégalais en France, est destiné à offrir des infrastructures adéquates aux populations et aux familles restées au pays.
‘’La migration n’est pas féminisée, mais ce sont les femmes qui bénéficient le plus de l’apport des projets, car leurs travaux sont allégés et elles peuvent consacrer leur temps à d’autres occupations’’, a encore dit le coordonnateur du PAISD.
BS/ASG