Les changements climatiques et environnementaux ont un impact réel sur les migrations dans le Sahel. C’est pour trouver des solutions à cette menace qu’un atelier de lancement de méthodologie de l’étude sur «Impact des changements climatiques et environnementaux sur les migrations dans le Sahel: cas du Sénégal» est organisé les 27 et 28 février à l’UNESCO/BREDA.
Analyser l’impact des transformations environnementales sur les migrations et les déplacements de populations dans le sahel en tenant compte des questions de genre et en insistant notamment sur la situation spécifique des femmes, c’est ce que vise ce projet de lancement de méthodologie sur l’«Impact des changements environnementaux sur les migrations dans le sahel: le cas du Sénégal». C’est dans ce cadre que les études de cas ont été conduites dans une démarche participative pour apporter des solutions idoines aux nombreux défis liés aux questions climatiques et environnementales.
Un atelier de lancement de ces études sur cette menace planétaire, réunit pendant deux jours (27 et 28 février) des experts à l’initiative de l’UNESCO/BREDA en coopération avec la Commission nationale pour l'UNESCO et sous l’encadrement scientifique de l'Institut des sciences de l'environnement (ISE) de l'Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar. Prenant part à la clôture de rencontre, le représentant du ministre de l’Environnement et du Développement durable n’a pas tari d’éloge à l’endroit de l’UNECO qui selon lui a beaucoup fait pour accompagner le Sénégal dans la lutte contre les changements climatiques.
Analyser l’impact des transformations environnementales sur les migrations et les déplacements de populations dans le sahel en tenant compte des questions de genre et en insistant notamment sur la situation spécifique des femmes, c’est ce que vise ce projet de lancement de méthodologie sur l’«Impact des changements environnementaux sur les migrations dans le sahel: le cas du Sénégal». C’est dans ce cadre que les études de cas ont été conduites dans une démarche participative pour apporter des solutions idoines aux nombreux défis liés aux questions climatiques et environnementales.
Un atelier de lancement de ces études sur cette menace planétaire, réunit pendant deux jours (27 et 28 février) des experts à l’initiative de l’UNESCO/BREDA en coopération avec la Commission nationale pour l'UNESCO et sous l’encadrement scientifique de l'Institut des sciences de l'environnement (ISE) de l'Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar. Prenant part à la clôture de rencontre, le représentant du ministre de l’Environnement et du Développement durable n’a pas tari d’éloge à l’endroit de l’UNECO qui selon lui a beaucoup fait pour accompagner le Sénégal dans la lutte contre les changements climatiques.
Et de poursuivre l’étude sur «l’impact des changements environnementaux sur les migrations dans le Sahel, constitue une opportunité pour améliorer notre connaissance sur les interrelations entre les changements climatiques et les mouvements des populations dans notre pays». A l’en croire, «les petits Etats insulaires en développement considérés comme étant les pays les plus vulnérables exigent la reconnaissance du statut de refugié climatique où les populations sont touchées par les catastrophes climatiques et sont obligée de se déplacer». C’est dans ce sens qu’il a affirmé que la politique nationale sur le changement climatique ne saurait produire des résultats escomptés sans une implication réelle de tous les partenaires au développement parmi lesquels figure l’UNESCO.
Embouchant la même trompette, Mariama Thiam Touré des Sciences humaines et sociales (SHS) du BREDA, dira que l’UNESCO est une des rares organisations à avoir des liens intrinsèques avec les Etats. «Tout ce qui se fait au niveau de l’UNESCO vient des Etats», a-t-elle souligné.
Hamadou Adama BA
Sud Quotidien
Embouchant la même trompette, Mariama Thiam Touré des Sciences humaines et sociales (SHS) du BREDA, dira que l’UNESCO est une des rares organisations à avoir des liens intrinsèques avec les Etats. «Tout ce qui se fait au niveau de l’UNESCO vient des Etats», a-t-elle souligné.
Hamadou Adama BA
Sud Quotidien