Dakar, 8 avr (APS) - L'Etat du Sénégal a retenu de s'appuyer sur le Programme d'aménagement et de développement économique des Niayes (PADEN) pour arriver à une meilleure productivité dans la zone, a indiqué, mercredi à Dakar, son coordonnateur, Massamba Diop.
Ce programme vise la création de richesses par le développement de l'horticulture et l'agroforesterie, à travers l'augmentant de productions commercialisées sur le marché local, régional et international, a-t-il rappelé au cours de la cérémonie officielle de lancement de la campagne de commercialisation de la pomme de terre locale.
"Nous voulons appuyer l'ensemble des interprofessions dans la zone des Niayes depuis la fourniture d'intrants jusqu’à la commercialisation. Nous envisageons en 2015 d'investir et d'appuyer les différents acteurs à mener des activités pour la structuration du service", a ajouté le coordonnateur du PADEN.
Soutenu par la coopération canadienne, ce programme mis en œuvre depuis 2012, pour une période de cinq ans, contribue à mettre en valeur le potentiel productif de la zone des Niayes pour accroître le revenus des producteurs et productrices.
"Nous voulons faire d'eux de véritables entrepreneurs tout en protégeant les ressources naturelles", a expliqué le directeur du PADEN.
Pour ce faire, le programme se fixe plusieurs objectifs qui devraient l'amener à obtenir des "résultats concrets" à court terme, selon son coordonnateur.
Il a cité l'accroissement équitable des capacités et compétences des producteurs et productrices ainsi que celles de leurs organisations, de même que l'augmentation de l'offre des services aux producteurs.
Le PADEN qui intervient de Sangalkam à Rao, vise aussi un accroissement des capacités et compétences des communautés rurales de la zone des Niayes en matière d'aménagement du territoire et de coordination du développement socio-économique.
Il ambitionne par ailleurs de contribuer à l'accroissement des capacités des bénéficiaires et acteurs, en tenant compte des dimensions transversales et du suivi environnemental, si l'on sait que les Niayes constituent "la principale zone de production horticole du Sénégal".
"Aujourd'hui, elle fait plus de 60% de cette production. C'est en ce sens que le PADEN a voulu échanger, car plusieurs expériences ont été menées sur plusieurs filières notamment le choux, la carotte, la pomme de terre et l'oignon", a dit Massamba Diop.
Il a indiqué dit avoir saisi là D’autre part, selon lui, cette rencontre est une opportunité de discuter entre les acteurs et de présenter le cahier de charge de la pomme de terre, qui constitue un ensemble d’engagement pour les producteurs horticoles.
Selon lui, les producteurs horticoles se sont engagés à produire de la pomme de terre de qualité pour satisfaire le marché national, dans le cadre d'un accord de partenariat avec le gouvernement.
Avec un objectif de près de 50000 tonnes, "nous allons prononcer la période de gel de l'importation de pomme de terre pour une durée de deux à quatre mois", a renseigné le coordonnateur du PADEN.
Il a en outre annoncé la "signature d'actes entre les commerçants et des organisations de producteurs", aux termes desquels les premiers "vont faire des commandes qui seront livrées par les producteurs".
"Le PADEN va appuyer ce processus à travers une contractualisation en les mettant en relation avec la compagnie nationale d'assurance agricole", a indiqué Massamba Diop.
Ce programme vise la création de richesses par le développement de l'horticulture et l'agroforesterie, à travers l'augmentant de productions commercialisées sur le marché local, régional et international, a-t-il rappelé au cours de la cérémonie officielle de lancement de la campagne de commercialisation de la pomme de terre locale.
"Nous voulons appuyer l'ensemble des interprofessions dans la zone des Niayes depuis la fourniture d'intrants jusqu’à la commercialisation. Nous envisageons en 2015 d'investir et d'appuyer les différents acteurs à mener des activités pour la structuration du service", a ajouté le coordonnateur du PADEN.
Soutenu par la coopération canadienne, ce programme mis en œuvre depuis 2012, pour une période de cinq ans, contribue à mettre en valeur le potentiel productif de la zone des Niayes pour accroître le revenus des producteurs et productrices.
"Nous voulons faire d'eux de véritables entrepreneurs tout en protégeant les ressources naturelles", a expliqué le directeur du PADEN.
Pour ce faire, le programme se fixe plusieurs objectifs qui devraient l'amener à obtenir des "résultats concrets" à court terme, selon son coordonnateur.
Il a cité l'accroissement équitable des capacités et compétences des producteurs et productrices ainsi que celles de leurs organisations, de même que l'augmentation de l'offre des services aux producteurs.
Le PADEN qui intervient de Sangalkam à Rao, vise aussi un accroissement des capacités et compétences des communautés rurales de la zone des Niayes en matière d'aménagement du territoire et de coordination du développement socio-économique.
Il ambitionne par ailleurs de contribuer à l'accroissement des capacités des bénéficiaires et acteurs, en tenant compte des dimensions transversales et du suivi environnemental, si l'on sait que les Niayes constituent "la principale zone de production horticole du Sénégal".
"Aujourd'hui, elle fait plus de 60% de cette production. C'est en ce sens que le PADEN a voulu échanger, car plusieurs expériences ont été menées sur plusieurs filières notamment le choux, la carotte, la pomme de terre et l'oignon", a dit Massamba Diop.
Il a indiqué dit avoir saisi là D’autre part, selon lui, cette rencontre est une opportunité de discuter entre les acteurs et de présenter le cahier de charge de la pomme de terre, qui constitue un ensemble d’engagement pour les producteurs horticoles.
Selon lui, les producteurs horticoles se sont engagés à produire de la pomme de terre de qualité pour satisfaire le marché national, dans le cadre d'un accord de partenariat avec le gouvernement.
Avec un objectif de près de 50000 tonnes, "nous allons prononcer la période de gel de l'importation de pomme de terre pour une durée de deux à quatre mois", a renseigné le coordonnateur du PADEN.
Il a en outre annoncé la "signature d'actes entre les commerçants et des organisations de producteurs", aux termes desquels les premiers "vont faire des commandes qui seront livrées par les producteurs".
"Le PADEN va appuyer ce processus à travers une contractualisation en les mettant en relation avec la compagnie nationale d'assurance agricole", a indiqué Massamba Diop.