Louga, 6 jan (APS) - Les responsables et membres de la Coalition des synergies pour le développement de l’éducation publique (COSYDEP), en collaboration avec le Forum civil, ont bénéficié pendant les trois derniers jours d’une formation sur le suivi du budget pour un meilleur contrôle citoyen, a constaté l’APS.
A travers ce genre d’ateliers de formation conduit par le consultant Moustapha Guèye, la COSYDEP veut outiller ses membres, les familiariser avec certains concepts et procédures financières et budgétaires afin qu’ils aient la possibilité d’avoir l’œil sur l’utilisation des ressources allouées au secteur de l’éducation.
Pendant trois jours, les membres de la COSYDEP, de la société civile, des médias, etc. ont suivi les explications du magistrat en retraite Moustapha Guèye sur la structure et nomenclature budgétaire de l’Etat, l’exécution du budget, le contrôle des finances publiques.
Les participants à l’atelier de formation ont également été édifiés sur le cadre des dépenses à moyen terme dévolu à seulement 21 ministères, sur la part de l’éducation dans le budget, sur des éléments de plaidoyer pour le contrôle citoyen et sur la contribution de la société civile pour ce contrôle-là.
L’objectif de tels ateliers financés par le partenaire OSIWA et qui se tiendront dans toutes les régions est d’amener les participants à disposer de suffisamment d’éléments pour pouvoir exercer un contrôle citoyen et mener des actions de plaidoyer et de lobbying, a soutenu Mme Ami Sylla Sarr de la COSYDEP.
‘’Sans formation préalable, il est difficile au citoyen d’exercer un quelconque. C’est pourquoi la COSYDEP se bat pour le renforcement des capacités des élus, des membres d’organisations de la société civile dans ce sens’’, a relevé Mme Sarr.
‘’Nous avons effectué des enquêtes sur le financement de l’éducation et les réponses aux questionnaires nous ont permis de déceler le très faible degré d’implication des citoyens dans la gestion malgré les efforts faits par l’Etat dans le secteur’’, a soutenu la responsable de COSYDEP.
‘’Avec un rendement interne est très faible, un taux d’achèvement très bas, le manque criard d’infrastructures, le déficit d’enseignants, l’atteinte des objectifs de l’éducation pour tous reste incertaine à 4 ans de 2015 et cela malgré les gros moyens injectés dans le secteur’’, a averti Mme Sarr.
La COSYDEP qui milite pour une éducation inclusive regroupe une cinquantaine d’organisations de la société civile.
PON/SAB
A travers ce genre d’ateliers de formation conduit par le consultant Moustapha Guèye, la COSYDEP veut outiller ses membres, les familiariser avec certains concepts et procédures financières et budgétaires afin qu’ils aient la possibilité d’avoir l’œil sur l’utilisation des ressources allouées au secteur de l’éducation.
Pendant trois jours, les membres de la COSYDEP, de la société civile, des médias, etc. ont suivi les explications du magistrat en retraite Moustapha Guèye sur la structure et nomenclature budgétaire de l’Etat, l’exécution du budget, le contrôle des finances publiques.
Les participants à l’atelier de formation ont également été édifiés sur le cadre des dépenses à moyen terme dévolu à seulement 21 ministères, sur la part de l’éducation dans le budget, sur des éléments de plaidoyer pour le contrôle citoyen et sur la contribution de la société civile pour ce contrôle-là.
L’objectif de tels ateliers financés par le partenaire OSIWA et qui se tiendront dans toutes les régions est d’amener les participants à disposer de suffisamment d’éléments pour pouvoir exercer un contrôle citoyen et mener des actions de plaidoyer et de lobbying, a soutenu Mme Ami Sylla Sarr de la COSYDEP.
‘’Sans formation préalable, il est difficile au citoyen d’exercer un quelconque. C’est pourquoi la COSYDEP se bat pour le renforcement des capacités des élus, des membres d’organisations de la société civile dans ce sens’’, a relevé Mme Sarr.
‘’Nous avons effectué des enquêtes sur le financement de l’éducation et les réponses aux questionnaires nous ont permis de déceler le très faible degré d’implication des citoyens dans la gestion malgré les efforts faits par l’Etat dans le secteur’’, a soutenu la responsable de COSYDEP.
‘’Avec un rendement interne est très faible, un taux d’achèvement très bas, le manque criard d’infrastructures, le déficit d’enseignants, l’atteinte des objectifs de l’éducation pour tous reste incertaine à 4 ans de 2015 et cela malgré les gros moyens injectés dans le secteur’’, a averti Mme Sarr.
La COSYDEP qui milite pour une éducation inclusive regroupe une cinquantaine d’organisations de la société civile.
PON/SAB