Les actions de contrôle de l’action publique ne résument pas seulement à suivre le processus électoral, ainsi que le pensent certainement pas mal d’acteurs de la société civile ou membres des partis politiques. Elles consistent également à examiner la marche des collectivités locales ainsi que de l’administration centrale. A Mbour dans la petite côte, on en est convaincu à l’occasion de l’atelier sur le contrôle citoyen de l’action publique organisé par le mouvement citoyen de la localité.
Selon Cheikh Omar Faye, le secrétaire général de l’agence Taataan, le type rencontre organisée à Mbour entre dans le cadre du programme d’appui aux collectivités locales. Il consiste à un renforcement des capacités des élus locaux afin de leur permettre d’avoir une maîtrise effective des textes de loi de la décentralisation. Dans cette dynamique, il a mis en relief l’attitude des acteurs de Mbour qui par le mouvement citoyen de la petite côte ont commencé à bouger pour s’approprier la notion et les outils de contrôle citoyen de l’action publique.
A l’en croire, les choses ont commencé à bouger à Mbour. Il a demandé la mise en synergie de toutes les compétences pour inciter à une meilleure vision et un éclairage de la marche et de la gestion des affaires publiques locales. Selon ses propos le contrôle citoyen n’est pas une remise du conventionnel mais plutôt pour donner plus de place aux acteurs .Il convoque la participation des citoyens. En dehors de cette considération, il a abordé la marginalisation des populations qui est vue comme un prétexte de ne pas les impliquer. Il pense que la mise à disposition d’outils de contrôle par des locaux de la décentralisation est de nature à atteindre de meilleurs résultats avec une implication des citoyens dans le contrôle de l’action publique.
Au cours de l’atelier, différents intervenants ont abordé la question du déficit de communication des populations. Elles n’ont pas assez d’information sur les affaires publiques locales. Il est constaté que les collectivités locales n’avisent pas les populations sur l’état d’avancement de l’exécution des programmes de développement et du budget .
Ainsi, il a été évoqué l’opacité qui entoure souvent la gestion budgétaire et entrave souvent le contrôle citoyen. Entre autres exemples, il a été souligné, la question de transparence dans les marchés publics,qui oppose par moments la société civile et les pouvoirs publics. Dans cette option, il est dit par le conférencier par le conférencier que la situation financière des ces communes et des communautés rurales peuvent être obtenues par les maires et les présidents de conseils ruraux .Mais ces derniers n’en parle pas ou ne le diffuse pas. Il insiste que ces informations puissent être disponibles au niveau de la perception.
Sud Quotidien
Selon Cheikh Omar Faye, le secrétaire général de l’agence Taataan, le type rencontre organisée à Mbour entre dans le cadre du programme d’appui aux collectivités locales. Il consiste à un renforcement des capacités des élus locaux afin de leur permettre d’avoir une maîtrise effective des textes de loi de la décentralisation. Dans cette dynamique, il a mis en relief l’attitude des acteurs de Mbour qui par le mouvement citoyen de la petite côte ont commencé à bouger pour s’approprier la notion et les outils de contrôle citoyen de l’action publique.
A l’en croire, les choses ont commencé à bouger à Mbour. Il a demandé la mise en synergie de toutes les compétences pour inciter à une meilleure vision et un éclairage de la marche et de la gestion des affaires publiques locales. Selon ses propos le contrôle citoyen n’est pas une remise du conventionnel mais plutôt pour donner plus de place aux acteurs .Il convoque la participation des citoyens. En dehors de cette considération, il a abordé la marginalisation des populations qui est vue comme un prétexte de ne pas les impliquer. Il pense que la mise à disposition d’outils de contrôle par des locaux de la décentralisation est de nature à atteindre de meilleurs résultats avec une implication des citoyens dans le contrôle de l’action publique.
Au cours de l’atelier, différents intervenants ont abordé la question du déficit de communication des populations. Elles n’ont pas assez d’information sur les affaires publiques locales. Il est constaté que les collectivités locales n’avisent pas les populations sur l’état d’avancement de l’exécution des programmes de développement et du budget .
Ainsi, il a été évoqué l’opacité qui entoure souvent la gestion budgétaire et entrave souvent le contrôle citoyen. Entre autres exemples, il a été souligné, la question de transparence dans les marchés publics,qui oppose par moments la société civile et les pouvoirs publics. Dans cette option, il est dit par le conférencier par le conférencier que la situation financière des ces communes et des communautés rurales peuvent être obtenues par les maires et les présidents de conseils ruraux .Mais ces derniers n’en parle pas ou ne le diffuse pas. Il insiste que ces informations puissent être disponibles au niveau de la perception.
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