Avec l’appui de l’Union européenne, la Direction des Travaux géographiques et de la Cartographie, a su mettre en place un projet pour l’actualisation de toute la cartographie du Sénégal au 1/200 000 avec en plus la création d’une base de données géoréférencées sur l’ensemble du territoire national ainsi qu’un important volet-équipement et formation. Une nouvelle donne qui permet de renseigner sur tous les secteurs de la vie.
Selon le représentant de la Direction de la cartographie du ministère de l’Infrastructure, Mamadou Thiam, « ce projet qui constitue une première au Sénégal et en Afrique de l’Ouest se distingue également par son emprise spatiale ainsi que les moyens technologiques utilisés à savoir, couverture en trois ans de la totalité du pays par une cartographie numérique à jour et homogène. Utilisation d’images satellites SPOT5 haute résolution combinée avec des images couleur landsat. Réalisation d’une base de données numériques au format-vecteur à partir des cartes révisées ainsi que la production d’une nouvelle référence du Sénégal (RRS), en utilisant la technique du GPS ».
Pour une meilleure utilisation de la cartographie, la Direction a initié une tournée nationale. Après Saint-Louis, Tambacounda, c’était autour de la région de Ziguinchor de les accueillir. Avec la présence des acteurs locaux des élèves et étudiants, ils ont su atteindre leur cible à travers cette campagne de sensibilité et d’information.
M. Thiam souligne « Aujourd’hui avec la présence de cette cartographie on peut savoir les zones demandeuses d’infrastructures. Les intervenants de projet peuvent savoir où construire un hôpital ou une école et où ne pas les faire. On peut aussi détecter les zones à fort besoin ou non, d’où l’importance de notre travail » et de conclure que « la tournée nationale sera clôturée par un séminaire à Dakar qui va regrouper tous les acteurs producteurs et utilisateurs des données spatiales : Elus locaux, représentants des ONG, des services techniques et administration et du secteur privé en présence des autorités administratives et des bailleurs des organisations non gouvernementales. »
Sud Quotidien
Selon le représentant de la Direction de la cartographie du ministère de l’Infrastructure, Mamadou Thiam, « ce projet qui constitue une première au Sénégal et en Afrique de l’Ouest se distingue également par son emprise spatiale ainsi que les moyens technologiques utilisés à savoir, couverture en trois ans de la totalité du pays par une cartographie numérique à jour et homogène. Utilisation d’images satellites SPOT5 haute résolution combinée avec des images couleur landsat. Réalisation d’une base de données numériques au format-vecteur à partir des cartes révisées ainsi que la production d’une nouvelle référence du Sénégal (RRS), en utilisant la technique du GPS ».
Pour une meilleure utilisation de la cartographie, la Direction a initié une tournée nationale. Après Saint-Louis, Tambacounda, c’était autour de la région de Ziguinchor de les accueillir. Avec la présence des acteurs locaux des élèves et étudiants, ils ont su atteindre leur cible à travers cette campagne de sensibilité et d’information.
M. Thiam souligne « Aujourd’hui avec la présence de cette cartographie on peut savoir les zones demandeuses d’infrastructures. Les intervenants de projet peuvent savoir où construire un hôpital ou une école et où ne pas les faire. On peut aussi détecter les zones à fort besoin ou non, d’où l’importance de notre travail » et de conclure que « la tournée nationale sera clôturée par un séminaire à Dakar qui va regrouper tous les acteurs producteurs et utilisateurs des données spatiales : Elus locaux, représentants des ONG, des services techniques et administration et du secteur privé en présence des autorités administratives et des bailleurs des organisations non gouvernementales. »
Sud Quotidien