Avec la pêche, le « Game ranching » -élevage de la faune sauvage- et son extension à la région de Fatick, le programme agriculture gestion ressources naturelles dit « Wulla Nafa » entame sa seconde phase évaluée à plus de six milliards (12 millions de dollars Us).
Mis en place par Usaid et le gouvernement du Sénégal dans les régions de Tambacounda, Kolda et Ziguinchor, le programme « Wulla Nafa » a fermé au mois de mai le dernier l’acte de sa première phase à Tambacounda, avec des acquis dans le cadre de l’aménagement des forets et la création de retombées économiques pour les communautés de base.
La seconde phase, qui vient de démarrer, va s’étaler sur cinq ans pour un financement de 12 millions de dollars Us, mettant l’accent sur l’amélioration de la bonne gouvernance des Collectivités locales et des Organisations communautaires de base, des politiques et de la communication, a dit John Heermans le chef d’équipe,
Il sera question selon lui de l’extension de la zone d’intervention à Fatick, en alliant à la valorisation des produits que sont le fonio, l’anacarde, le pain de singe et le madd, la pêche maritime et la gestion des ressources halieutiques, en partenariat avec Wwf.
Il y a aussi l’eau potable et l’assainissement qui seront la trame du développement local. C’est donc une avancée afin que la nouvelle vision biodiversité, gestion des ressources naturelles et création de richesses, soit consolidée pour l’exportation des produits locaux.
Le Coordonnateur national Babacar Salif Guèye a souligné que la gestion de la biodiversité permettra de revitaliser les mangroves dans les régions de Ziguinchor et Fatick pour la pêche communautaire.
Pour M. Guèye, l’objectif reste le renforcement des capacités des populations pour le développement des filières, afin de contribuer à la réduction de la pauvreté et au développement local durable sous l’angle de la création de richesses.
Cela, dira-t-il, en augmentant le revenu des producteurs ruraux et des Communautés locales grâce à la promotion de la gestion décentralisée, intégrée et participative des ressources.
Le Soleil
Mis en place par Usaid et le gouvernement du Sénégal dans les régions de Tambacounda, Kolda et Ziguinchor, le programme « Wulla Nafa » a fermé au mois de mai le dernier l’acte de sa première phase à Tambacounda, avec des acquis dans le cadre de l’aménagement des forets et la création de retombées économiques pour les communautés de base.
La seconde phase, qui vient de démarrer, va s’étaler sur cinq ans pour un financement de 12 millions de dollars Us, mettant l’accent sur l’amélioration de la bonne gouvernance des Collectivités locales et des Organisations communautaires de base, des politiques et de la communication, a dit John Heermans le chef d’équipe,
Il sera question selon lui de l’extension de la zone d’intervention à Fatick, en alliant à la valorisation des produits que sont le fonio, l’anacarde, le pain de singe et le madd, la pêche maritime et la gestion des ressources halieutiques, en partenariat avec Wwf.
Il y a aussi l’eau potable et l’assainissement qui seront la trame du développement local. C’est donc une avancée afin que la nouvelle vision biodiversité, gestion des ressources naturelles et création de richesses, soit consolidée pour l’exportation des produits locaux.
Le Coordonnateur national Babacar Salif Guèye a souligné que la gestion de la biodiversité permettra de revitaliser les mangroves dans les régions de Ziguinchor et Fatick pour la pêche communautaire.
Pour M. Guèye, l’objectif reste le renforcement des capacités des populations pour le développement des filières, afin de contribuer à la réduction de la pauvreté et au développement local durable sous l’angle de la création de richesses.
Cela, dira-t-il, en augmentant le revenu des producteurs ruraux et des Communautés locales grâce à la promotion de la gestion décentralisée, intégrée et participative des ressources.
Le Soleil