La Cellule d’appui à la mise en oeuvre des projets et programmes (Cap), a hier fait face à la presse, pour dégager son bilan, mais surtout
déceler les problèmes dans l’exécution des projets et programmes, et magnifier ce qui se fait de bien. Et pour les secteurs à améliorer, le coordonnateur de souligner les lenteurs des partenaires dans la libération des fonds. «Nous pensons qu’il faut améliorer la célérité dans la
satisfaction des demandes de fonds au niveau des partenaires. La célérité que nous avons au niveau de la partie nationale, si on avait un répondant du même niveau du coté des partenaires, les performances seraient bien meilleures», explique Bakary Signaté, coordonnateur du Cap. «Nous avons attiré et nous continuons d’attirer l’attention de nos partenaires sur les insuffisances, les écarts dans la mise à disposition des fonds. Il y a lieu d’améliorer la célérité dans le traitement des dossiers au niveau des partenaires», estime-t-il. Et les raisons qui expliquaient les lenteurs, c’est-à-dire le retard ou la qualité des dossiers, ont été réglées depuis. «Les partenaires nous disaient que nos dossiers ne sont pas toujours de meilleure qualité, que nous introduisons les dossiers avec beaucoup de retard, mais aujourd’hui cette question est réglée d’autant que nous avons un dispositif de suivi évaluation avec lequel, nous ne pouvons pas tricher. Lorsque le dossier est introduit avec du retard, le dispositif le relève. Et la qualité du dossier aussi on ne peut pas discuter de cela, tout le monde l’apprécie y compris eux-mêmes», indique M. Signaté. Ce qui fait qu’aujourd’hui, selon lui, «les responsabilités sont situées et c’est plus le partenaire qui est responsable
que la partie nationale». Il y a aussi à le croire, la qualité de l’exécution des projets et programmes qui est aussi à améliorer. «La qualité d’exécution des projets et programmes est à relever», a-t-il ajouté. Et pour les grandes avancées, dans la conduite des projets et programmes de l’Etat, c’est surtout les performances du portefeuille qui posent problème. «Je crois que ça se passe de commentaires. Au moment où certains trottent vers 14 à 15 pour cent, 18 pour les meilleurs, nous, nous sommes à plus de 90 pour cent». A l’en croire, «il y a quelques rares
projets qui ont 80 pour cent». Ce qui est pour lui, «un motif de satisfaction».
déceler les problèmes dans l’exécution des projets et programmes, et magnifier ce qui se fait de bien. Et pour les secteurs à améliorer, le coordonnateur de souligner les lenteurs des partenaires dans la libération des fonds. «Nous pensons qu’il faut améliorer la célérité dans la
satisfaction des demandes de fonds au niveau des partenaires. La célérité que nous avons au niveau de la partie nationale, si on avait un répondant du même niveau du coté des partenaires, les performances seraient bien meilleures», explique Bakary Signaté, coordonnateur du Cap. «Nous avons attiré et nous continuons d’attirer l’attention de nos partenaires sur les insuffisances, les écarts dans la mise à disposition des fonds. Il y a lieu d’améliorer la célérité dans le traitement des dossiers au niveau des partenaires», estime-t-il. Et les raisons qui expliquaient les lenteurs, c’est-à-dire le retard ou la qualité des dossiers, ont été réglées depuis. «Les partenaires nous disaient que nos dossiers ne sont pas toujours de meilleure qualité, que nous introduisons les dossiers avec beaucoup de retard, mais aujourd’hui cette question est réglée d’autant que nous avons un dispositif de suivi évaluation avec lequel, nous ne pouvons pas tricher. Lorsque le dossier est introduit avec du retard, le dispositif le relève. Et la qualité du dossier aussi on ne peut pas discuter de cela, tout le monde l’apprécie y compris eux-mêmes», indique M. Signaté. Ce qui fait qu’aujourd’hui, selon lui, «les responsabilités sont situées et c’est plus le partenaire qui est responsable
que la partie nationale». Il y a aussi à le croire, la qualité de l’exécution des projets et programmes qui est aussi à améliorer. «La qualité d’exécution des projets et programmes est à relever», a-t-il ajouté. Et pour les grandes avancées, dans la conduite des projets et programmes de l’Etat, c’est surtout les performances du portefeuille qui posent problème. «Je crois que ça se passe de commentaires. Au moment où certains trottent vers 14 à 15 pour cent, 18 pour les meilleurs, nous, nous sommes à plus de 90 pour cent». A l’en croire, «il y a quelques rares
projets qui ont 80 pour cent». Ce qui est pour lui, «un motif de satisfaction».
Youssouf SANE
Le Populaire
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