Saly (Mbour), 22 fév (APS) - Un atelier d’appropriation des résultats des recherches consacrées au traitement préventif intermittent (TPI) contre le paludisme s’est ouvert mardi à Saly (Mbour), à l’initiative des services du ministère de la Santé et de la Prévention, en partenariat avec l’UNICEF.
Selon Samba Kor Sarr, chef de la Division des études et de la recherche du ministère de la Santé et de la Prévention, cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une mise en synergie de l’ensemble des potentialités du secteur de la santé, dans le but de faire de la pré-élimination du paludisme une réalité au Sénégal.
Il s’agit selon lui d’utiliser le levier que constitue la recherche pour permettre au Sénégal de faire partie, en 2015, des pays qui auront réussi à atteindre les points des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) qui concernent le secteur de la santé.
Aussi, "nous avons, dans cette optique, une approche qui consiste maintenant à sortir du tiroir de la recherche l’ensemble des résultats qui pourraient permettre aux intervenants de notre système de santé de pouvoir être beaucoup plus efficients, efficaces (...)", a déclaré Samba Kor Sarr.
"Nous n’avons pas toujours l’ensemble des ressources dont nous avons besoin pour faire face. A partir de ce moment, il nous faut utiliser une approche rationnelle", a-t-il indiqué.
Le coordonnateur adjoint du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), le docteur Mame Birame Diouf, a rappelé qu’une recherche "n’a de sens que si elle sert à faire avancer le programme de santé", a-t-il dit. Pour ce faire, il faut "nécessairement" passer par l’appropriation de ces résultats par les acteurs de la santé.
Le docteur Diouf a indiqué que cette rencontre de trois jours (du 22 au 24 févier) va permettre à tous les acteurs de réfléchir sur la question et sur les modalités de mise en œuvre de la stratégie qui sera adoptée par les acteurs du secteur.
ADE/BK
Selon Samba Kor Sarr, chef de la Division des études et de la recherche du ministère de la Santé et de la Prévention, cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une mise en synergie de l’ensemble des potentialités du secteur de la santé, dans le but de faire de la pré-élimination du paludisme une réalité au Sénégal.
Il s’agit selon lui d’utiliser le levier que constitue la recherche pour permettre au Sénégal de faire partie, en 2015, des pays qui auront réussi à atteindre les points des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) qui concernent le secteur de la santé.
Aussi, "nous avons, dans cette optique, une approche qui consiste maintenant à sortir du tiroir de la recherche l’ensemble des résultats qui pourraient permettre aux intervenants de notre système de santé de pouvoir être beaucoup plus efficients, efficaces (...)", a déclaré Samba Kor Sarr.
"Nous n’avons pas toujours l’ensemble des ressources dont nous avons besoin pour faire face. A partir de ce moment, il nous faut utiliser une approche rationnelle", a-t-il indiqué.
Le coordonnateur adjoint du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP), le docteur Mame Birame Diouf, a rappelé qu’une recherche "n’a de sens que si elle sert à faire avancer le programme de santé", a-t-il dit. Pour ce faire, il faut "nécessairement" passer par l’appropriation de ces résultats par les acteurs de la santé.
Le docteur Diouf a indiqué que cette rencontre de trois jours (du 22 au 24 févier) va permettre à tous les acteurs de réfléchir sur la question et sur les modalités de mise en œuvre de la stratégie qui sera adoptée par les acteurs du secteur.
ADE/BK