SEDHIOU / AMELIORATION DES PRATIQUES DE GESTION DES AFFAIRES LOCALES, Bounkiling à l’école de la bonne gouvernance participative
Sa mission est de renforcer les populations de cette collectivité dans toutes leurs composantes dans le domaine de la bonne gouvernance pour un développement global et durable. Les conclusions d’une étude menée par l’ONG « Synergie d’Action pour la Formation et le Développement » SYAFD dont le siège régional se trouve à Ziguinchor, révèlent que l’avancée de la politique de décentralisation et les approches de développement ont certes permis l’émergence d’organisations de base à caractère associatif public ou privé ; mais le partenariat de ces acteurs non étatiques comme opérateurs du développement reste à l’état embryonnaire au niveau de l’arrondissement de Bounkiling.
Résultat, souligne le document, « la politique de décentralisation qui avait comme objectif entre autres de renforcer la participation et la responsabilisation des populations locales pour une meilleure prise en charge de leurs besoins liés à l‘accès aux services socio-économiques de base, n’a pas réussi à mettre le citoyen au cœur des politiques de développement ».
Selon Bacary Diatta, Coordonnateur local du projet,« l’objectif global est de contribuer au renforcement de la bonne gouvernance locale par l’amélioration des pratiques de gestion citoyenne. De façon spécifique, elle vise l’amélioration des pratiques de gestion des affaires locales à travers une contribution effective des organisations communautaires. » M. Diatta de préciser que le projet devra contribuer à ancrer dans l’esprit du citoyen que l’accès au pouvoir doit s’opérer de manière équitable et transparente. Il doit contribuer à l’instauration de la paix et de la stabilité et favoriser un environnement propice à la production et à des pratiques transparentes de gestion dans tous les secteurs.
Sa durée de vie est de dix huit mois. Les groupes cibles sont pour l’essentiel les associations villageoises de développement, les associations de jeunes, les corps de métier, les groupements de promotion féminine et les membres des organisations de producteurs ».
S’exprimant au sujet des différents axes stratégiques d’intervention du projet, Bacary SANE, président de SYAFD note que « le programme s’appuiera sur l’amélioration de la décentralisation, la promotion des notions de transparence, de participation, de justice et d’équité, le renforcement des capacités institutionnelles, la participation de la société civile, la prise en compte de la dimension genre, la gestion des ressources naturelles et foncières entre autres ».
De son côté, René Madrid membre du PARTICIP le comité de financement de l’union européenne, a invité les populations bénéficiaires à s’approprier le projet pour, dit-il, relever les grands défis du développement local. Au nom des bénéficiaires, Jean Noël Diouf, président du Conseil local de concertation des organisations de producteurs (CLCOP) se dit très satisfait de cette initiative « qui vient nous renforcer dans notre façon de faire. Nous osons croire que cela va améliorer le mode de gestion de nos pratiques aux fins de booster l’élan de développement que nous pensons avoir déclenché ».
A rappeler que la cérémonie officielle de lancement était présidée par le sous-préfet de Bounkiling Lansana Bâ, entouré du chef du service du développement communautaire et du président du conseil rural de Diaroumé Karfa Samaté, représentant son collègue de Bounkiling Lamine Faty empêché dit-on.
Sud Quotidien
Résultat, souligne le document, « la politique de décentralisation qui avait comme objectif entre autres de renforcer la participation et la responsabilisation des populations locales pour une meilleure prise en charge de leurs besoins liés à l‘accès aux services socio-économiques de base, n’a pas réussi à mettre le citoyen au cœur des politiques de développement ».
Selon Bacary Diatta, Coordonnateur local du projet,« l’objectif global est de contribuer au renforcement de la bonne gouvernance locale par l’amélioration des pratiques de gestion citoyenne. De façon spécifique, elle vise l’amélioration des pratiques de gestion des affaires locales à travers une contribution effective des organisations communautaires. » M. Diatta de préciser que le projet devra contribuer à ancrer dans l’esprit du citoyen que l’accès au pouvoir doit s’opérer de manière équitable et transparente. Il doit contribuer à l’instauration de la paix et de la stabilité et favoriser un environnement propice à la production et à des pratiques transparentes de gestion dans tous les secteurs.
Sa durée de vie est de dix huit mois. Les groupes cibles sont pour l’essentiel les associations villageoises de développement, les associations de jeunes, les corps de métier, les groupements de promotion féminine et les membres des organisations de producteurs ».
S’exprimant au sujet des différents axes stratégiques d’intervention du projet, Bacary SANE, président de SYAFD note que « le programme s’appuiera sur l’amélioration de la décentralisation, la promotion des notions de transparence, de participation, de justice et d’équité, le renforcement des capacités institutionnelles, la participation de la société civile, la prise en compte de la dimension genre, la gestion des ressources naturelles et foncières entre autres ».
De son côté, René Madrid membre du PARTICIP le comité de financement de l’union européenne, a invité les populations bénéficiaires à s’approprier le projet pour, dit-il, relever les grands défis du développement local. Au nom des bénéficiaires, Jean Noël Diouf, président du Conseil local de concertation des organisations de producteurs (CLCOP) se dit très satisfait de cette initiative « qui vient nous renforcer dans notre façon de faire. Nous osons croire que cela va améliorer le mode de gestion de nos pratiques aux fins de booster l’élan de développement que nous pensons avoir déclenché ».
A rappeler que la cérémonie officielle de lancement était présidée par le sous-préfet de Bounkiling Lansana Bâ, entouré du chef du service du développement communautaire et du président du conseil rural de Diaroumé Karfa Samaté, représentant son collègue de Bounkiling Lamine Faty empêché dit-on.
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