Le lancement des travaux de renforcements de capacités, organisé par l’Agence nationale pour la relance des activités économiques et sociales en Casamance (Anrac) a été ouvert hier mardi 14 avril 2009 par Ibrahima Faye, gouverneur de la région de Ziguinchor en charge du développement. Cette rencontre a été un prétexte pour Jean Marie Bassène directeur général de l’Anrac d’appelé tous les acteurs au développement à travailler pour le retour de la verte Casamance.
Selon lui, « la forêt est en voie de disparition. La verdure qui se trouvait être notre richesse, l’est aussi. Il est tant que les collectivités locales en partenariat avec les Ong intègrent les promotions de la forêt dans les intenses traditionnelles. Que nos produits sauvages soient en compétition avec les produits étrangers pour donner le choix aux consommateurs » a-t-il suggéré.
Une autre préoccupation de l’Anrac : le maintien de la paix dans la région Sud du Sénégal. Dans ce domaine, Jean Marie Bassène atteste que « l’Anrac a elle seule ne peut pas produire la paix mais avec le concourt de la population, des structures qui s’impliquent dans le processus nous y arriverons ».
Pour Jean Marie Bassène, le développement de la région ne doit pas être une affaire de technicien. Il faut adopter une autre démarche et les travaux de cet atelier va la permettre. « Pour nos élus locaux, il n’y a pas d’écoles précises où l’on peut apprendre à diriger. Mais, c’est plutôt dans des partages que l’on peut émettre et tirer des données qui pourront être utiles dans la gestion de leurs collectivités locales où leurs communes » note-il. L’objectif de ces travaux « est de faire l’état de l’application de la mise en œuvre de la Stratégie de réduction de la pauvreté (Srp) en Casamance, mais aussi d’améliorer la compréhension du Programme de relance des activités economiques et sociales en Casamance (Praesc) dans les enjeux et défis que sa mise en œuvre présente aujourd’hui en Casamance ».
La rencontre vise également à « proposer une démarche d’une meilleure intégration de la crise dans la formulation et la mise en œuvre de la Dsp en Casamance » soutient Jean Marie Bassène directeur général de l’Anrac. Et de poursuivre : « la réussite de tous ses objectifs définis passe par l’implication de tous les citoyens mais aussi des élus locaux qui doivent développement leurs stratégies à la base pour après en faire un programme ».
Selon Ibrahima Faye le gouverneur, la tenue d’un tel atelier vient à son point nommé. Il va permettre aux acteurs de développement de s’impliquer d’avantage pour le bien être de la région. L’atelier prendra fin le 17 courant.
Sud Quotidien
Selon lui, « la forêt est en voie de disparition. La verdure qui se trouvait être notre richesse, l’est aussi. Il est tant que les collectivités locales en partenariat avec les Ong intègrent les promotions de la forêt dans les intenses traditionnelles. Que nos produits sauvages soient en compétition avec les produits étrangers pour donner le choix aux consommateurs » a-t-il suggéré.
Une autre préoccupation de l’Anrac : le maintien de la paix dans la région Sud du Sénégal. Dans ce domaine, Jean Marie Bassène atteste que « l’Anrac a elle seule ne peut pas produire la paix mais avec le concourt de la population, des structures qui s’impliquent dans le processus nous y arriverons ».
Pour Jean Marie Bassène, le développement de la région ne doit pas être une affaire de technicien. Il faut adopter une autre démarche et les travaux de cet atelier va la permettre. « Pour nos élus locaux, il n’y a pas d’écoles précises où l’on peut apprendre à diriger. Mais, c’est plutôt dans des partages que l’on peut émettre et tirer des données qui pourront être utiles dans la gestion de leurs collectivités locales où leurs communes » note-il. L’objectif de ces travaux « est de faire l’état de l’application de la mise en œuvre de la Stratégie de réduction de la pauvreté (Srp) en Casamance, mais aussi d’améliorer la compréhension du Programme de relance des activités economiques et sociales en Casamance (Praesc) dans les enjeux et défis que sa mise en œuvre présente aujourd’hui en Casamance ».
La rencontre vise également à « proposer une démarche d’une meilleure intégration de la crise dans la formulation et la mise en œuvre de la Dsp en Casamance » soutient Jean Marie Bassène directeur général de l’Anrac. Et de poursuivre : « la réussite de tous ses objectifs définis passe par l’implication de tous les citoyens mais aussi des élus locaux qui doivent développement leurs stratégies à la base pour après en faire un programme ».
Selon Ibrahima Faye le gouverneur, la tenue d’un tel atelier vient à son point nommé. Il va permettre aux acteurs de développement de s’impliquer d’avantage pour le bien être de la région. L’atelier prendra fin le 17 courant.
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