L’objectif de cette première session du Cours national de paludologie, qui va durer trois semaines, est de former des cadres du secteur de la santé, pour qu’ils puissent acquérir des connaissances et compétences managériales devant leur permettre de mettre en œuvre de manière optimale les interventions de lutte contre le paludisme au niveau opérationnel.
Pour Cheikh Issa Sall, cette rencontre (17 novembre-6 décembre), revêt une double signification dans la mesure où il participe au renforcement des compétences du personnel de santé, qui constitue une stratégie majeure pour l’atteinte des objectifs sanitaires du ministère de la Santé et de la Prévention.
‘’Ce Cours s’intéresse au paludisme qui constitue, de par son ampleur et sa gravité, un véritable problème de santé public au Sénégal, avec un impact négatif sur le développement socio-économique de notre pays’’, a-t-il indiqué.
Le Sénégal a élaboré en 2006 son deuxième plan stratégique quinquennal de lutte contre le paludisme, qui ambitionne de réduire de moitié la morbidité et la mortalité liée au paludisme d’ici 2010.
Selon M. Sall, l’ensemble des interventions à efficacité prouvée ont été mises en œuvre, avec notamment la prise en charge des cas de paludisme avec les ACT, le Traitement préventif intermittent (TPI) et les moustiquaires imprégnées, sous-tendu par une bonne approche communautaire.
Le renforcement de la gestion du programme à tous les niveaux figure également en bonne place dans ces stratégies retenues, a souligné M. Sall.
‘’L’étape de la mise à l’échelle des interventions doit nécessairement aller de pair avec celle de la démarche qualité dans les interventions. Or, la prise en compte de cette dimension qualité passera inéluctablement par la formation des acteurs de la lutte contre le paludisme, en particulier ceux du niveau opérationnel’’, a-t-il encore expliqué.
Il a en outre précisé que la pertinence des approches et stratégies retenues, de même que leur cohérence, feront l’objet d’une large revue, afin d’amener les participants à s’approprier les activités de lutte contre le paludisme.
Cheikh Issa Sall a enfin exhorté les participants à faire ‘’preuve d’attention, de rigueur, d’assiduité, de curiosité scientifique’’, pour profiter des enseignements qui leur seront dispensés par d’éminents professionnels.
Il leur a en outre demandé de s’investir davantage dans la recherche, afin d’en faire un outil d’éclairage de leurs interventions et d’aide à la prise de décision, dans le but d’améliorer, de façon notoire, les indicateurs de santé.
Pour Cheikh Issa Sall, cette rencontre (17 novembre-6 décembre), revêt une double signification dans la mesure où il participe au renforcement des compétences du personnel de santé, qui constitue une stratégie majeure pour l’atteinte des objectifs sanitaires du ministère de la Santé et de la Prévention.
‘’Ce Cours s’intéresse au paludisme qui constitue, de par son ampleur et sa gravité, un véritable problème de santé public au Sénégal, avec un impact négatif sur le développement socio-économique de notre pays’’, a-t-il indiqué.
Le Sénégal a élaboré en 2006 son deuxième plan stratégique quinquennal de lutte contre le paludisme, qui ambitionne de réduire de moitié la morbidité et la mortalité liée au paludisme d’ici 2010.
Selon M. Sall, l’ensemble des interventions à efficacité prouvée ont été mises en œuvre, avec notamment la prise en charge des cas de paludisme avec les ACT, le Traitement préventif intermittent (TPI) et les moustiquaires imprégnées, sous-tendu par une bonne approche communautaire.
Le renforcement de la gestion du programme à tous les niveaux figure également en bonne place dans ces stratégies retenues, a souligné M. Sall.
‘’L’étape de la mise à l’échelle des interventions doit nécessairement aller de pair avec celle de la démarche qualité dans les interventions. Or, la prise en compte de cette dimension qualité passera inéluctablement par la formation des acteurs de la lutte contre le paludisme, en particulier ceux du niveau opérationnel’’, a-t-il encore expliqué.
Il a en outre précisé que la pertinence des approches et stratégies retenues, de même que leur cohérence, feront l’objet d’une large revue, afin d’amener les participants à s’approprier les activités de lutte contre le paludisme.
Cheikh Issa Sall a enfin exhorté les participants à faire ‘’preuve d’attention, de rigueur, d’assiduité, de curiosité scientifique’’, pour profiter des enseignements qui leur seront dispensés par d’éminents professionnels.
Il leur a en outre demandé de s’investir davantage dans la recherche, afin d’en faire un outil d’éclairage de leurs interventions et d’aide à la prise de décision, dans le but d’améliorer, de façon notoire, les indicateurs de santé.