Près de 11 milliards de FCFA viennent d’être accordés au Sénégal pour accompagner son programme de lutte contre la pauvreté à travers le projet de "Réforme de l’Administration Publique et Bonne Gouvernance" et la mise en œuvre de « Plateformes Multifonctionnelles ».
Le programme des nations unies pour le développement vient de réaffirmer sa volonté d’accompagner les efforts du Sénégal pour le développement à travers les deux axes majeurs de leur coopération : la bonne gouvernance par le biais du programme de réforme administrative bénéficiaire du fonds fiduciaire Espagnol et la lutte contre la pauvreté à travers le programme d’installation de plateformes multifonctionnelles. Ce dernier est soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates, dont le partenariat avec le Pnud a été lancé récemment et couvre trois pays de la sous-région (Burkina Faso, Mali et le Sénégal).
Le programme des nations unies pour le développement vient de réaffirmer sa volonté d’accompagner les efforts du Sénégal pour le développement à travers les deux axes majeurs de leur coopération : la bonne gouvernance par le biais du programme de réforme administrative bénéficiaire du fonds fiduciaire Espagnol et la lutte contre la pauvreté à travers le programme d’installation de plateformes multifonctionnelles. Ce dernier est soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates, dont le partenariat avec le Pnud a été lancé récemment et couvre trois pays de la sous-région (Burkina Faso, Mali et le Sénégal).
L’une des deux subventions signées hier, entre le ministre d’Etat ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop, et le représentant résident du Pnud à Dakar, Boury Sanhouidi, porte sur 652, 5 millions de FCFA destinés à appuyer l’exécution du Dsrp dans sa partie relative au programme national de bonne gouvernance révisé et validé par le gouvernement en Octobre 2007. Son objectif est de renforcer les capacités institutionnelles de l’administration publique par la rationalisation des structures administratives et l’impulsion d’une approche qualité dans le Service Public afin de mieux répondre aux attentes des usagers. La deuxième subvention porte sur 10, 5 milliards de FCFA, et elle s’inscrit dans le cadre du Dsrp, notamment dans ses axes de création de richesses et d’accélération de l’accès aux services sociaux de base. Il constitue un instrument de mise en œuvre de la politique de redéploiement industriel du gouvernement du Sénégal avec la promotion du développement endogène.
Ces deux projets ont un objectif commun de développement économique et social, et ils correspondent aux préoccupations du gouvernement du Sénégal reflétés dans le Dsrp II et pris en charge dans le document cadre de coopération entre le Sénégal et le Pnud pour la période 2007 - 2011.
Selon le ministre Abdoulaye Diop, la cohérence d’ensemble des interventions recherchée à travers le partenariat stratégique avec les programmes et projets concourant à l’attente des objectifs de développement local (Pepam, Pndl, Aser, etc.), constituent un motif de satisfaction. Dans le document de projet, l’option affirmée de décentralisation est réelle et se caractérise par la couverture de la presque totalité des régions (Ziguinchor, Kolda, Sédhiou, Tambacounda, Kédougou, Thiès, Saint-Louis, Matam, Diourbel, Kaolack, et Louga). « La priorité accordée à la lutte contre la pauvreté sous ses diverses formes et la promotion du développement industriel au niveau local sont également des préoccupations du Sénégal », a indiqué M. Diop, réaffirmant la volonté du Sénégal de ne ménager aucun effort pour continuer dans cette modalité d’exécution appelé « Exécution nationale » qui constitue un cadre propice d’exécution des projets et programmes financés au Sénégal par le système des nations unies.
Le Pnud, selon son représentant résident à Dakar, va poursuivre ses efforts d’appui envers le Sénégal, notamment sur le plan technique et de la mobilisation des ressources afin de lui permettre d’atteindre les objectifs de développement qu’il s’est fixé.
Ces deux programmes, selon M.Sanhouidi, inaugurent la série des documents de projet que le Pnud va bientôt cosigner avec l’Etat du Sénégal dans la perspective de mettre en œuvre les orientations définies dans leur cadre commun de coopération. Il s’agit ainsi d’aider le Sénégal dans son option de maintenir sa croissance économique à des niveaux élevés, compatibles avec une réduction significative de la pauvreté.
Le Soleil
Ces deux projets ont un objectif commun de développement économique et social, et ils correspondent aux préoccupations du gouvernement du Sénégal reflétés dans le Dsrp II et pris en charge dans le document cadre de coopération entre le Sénégal et le Pnud pour la période 2007 - 2011.
Selon le ministre Abdoulaye Diop, la cohérence d’ensemble des interventions recherchée à travers le partenariat stratégique avec les programmes et projets concourant à l’attente des objectifs de développement local (Pepam, Pndl, Aser, etc.), constituent un motif de satisfaction. Dans le document de projet, l’option affirmée de décentralisation est réelle et se caractérise par la couverture de la presque totalité des régions (Ziguinchor, Kolda, Sédhiou, Tambacounda, Kédougou, Thiès, Saint-Louis, Matam, Diourbel, Kaolack, et Louga). « La priorité accordée à la lutte contre la pauvreté sous ses diverses formes et la promotion du développement industriel au niveau local sont également des préoccupations du Sénégal », a indiqué M. Diop, réaffirmant la volonté du Sénégal de ne ménager aucun effort pour continuer dans cette modalité d’exécution appelé « Exécution nationale » qui constitue un cadre propice d’exécution des projets et programmes financés au Sénégal par le système des nations unies.
Le Pnud, selon son représentant résident à Dakar, va poursuivre ses efforts d’appui envers le Sénégal, notamment sur le plan technique et de la mobilisation des ressources afin de lui permettre d’atteindre les objectifs de développement qu’il s’est fixé.
Ces deux programmes, selon M.Sanhouidi, inaugurent la série des documents de projet que le Pnud va bientôt cosigner avec l’Etat du Sénégal dans la perspective de mettre en œuvre les orientations définies dans leur cadre commun de coopération. Il s’agit ainsi d’aider le Sénégal dans son option de maintenir sa croissance économique à des niveaux élevés, compatibles avec une réduction significative de la pauvreté.
Le Soleil