Les régions ont un rôle déterminant à jouer dans la mise en œuvre et le suivi de la stratégie de réduction de la pauvreté, ont dit mardi à l’Aps des partenaires techniques et financiers du Sénégal.
«La région est un niveau stratégique important où l’on arrive à conjuguer des efforts et mobiliser les bailleurs. C’est le niveau qui a le droit de regard pour harmoniser les efforts en faveur de la lutte contre la pauvreté», a dit le représentant résident à Dakar, du Fonds des Nations-Unies pour l’enfance (Unicef), Ian Hopwood. «C’est tout à fait nécessaire que les régions servent d’éléments de suivi du Document stratégique de réduction de la pauvreté (Dsrp) et soient impliquées dans sa mise en œuvre», a-t-il ajouté.
Il s’entretenait avec l’Aps en marge de la cérémonie lancement d’un atelier de trois jours, ouvert mardi à Dakar et axé sur «la synthèse des contributions régionales» pour la deuxième phase du Dsrp (2006-2010).
Les élus locaux et les agents de l’administration connaissent, «avec plus de réalisme, les problèmes que vivent les populations au niveau local. Les régions ont une responsabilité accrue pour donner leur analyse et point de vue» dans la mise en œuvre du Dsrp, a dit la représentante de la Coopération allemande, Meyer Kerstin. «Ce sont les acteurs régionaux qui peuvent bien parler des résultats (de l’application du Dsrp) et dire si les axes de stratégie fonctionnent bien ou pas», a poursuivi Mme Kerstin, elle aussi interrogée par l’Aps.
Pour dérouler la deuxième phase de sa «stratégie de réduction de la pauvreté», le Sénégal entretient un partenariat avec, outre l’Unicef et la Coopération allemande, le Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud), la Coopération autrichienne et le Fonds des Nations unies pour la population (Fnuap).
Le ministère de l’Economie et des Finances a engagé un «processus de forte implication des régions» du pays dans la mise en œuvre et le suivi du Dsrp. Ce document est orienté sur quatre «axes stratégiques», à savoir la création de richesses et l’accès aux services sociaux de base (éducation, santé, etc.), la sécurité sociale, la bonne gouvernance et le développement décentralisé et participatif.
Le Quotidien
«La région est un niveau stratégique important où l’on arrive à conjuguer des efforts et mobiliser les bailleurs. C’est le niveau qui a le droit de regard pour harmoniser les efforts en faveur de la lutte contre la pauvreté», a dit le représentant résident à Dakar, du Fonds des Nations-Unies pour l’enfance (Unicef), Ian Hopwood. «C’est tout à fait nécessaire que les régions servent d’éléments de suivi du Document stratégique de réduction de la pauvreté (Dsrp) et soient impliquées dans sa mise en œuvre», a-t-il ajouté.
Il s’entretenait avec l’Aps en marge de la cérémonie lancement d’un atelier de trois jours, ouvert mardi à Dakar et axé sur «la synthèse des contributions régionales» pour la deuxième phase du Dsrp (2006-2010).
Les élus locaux et les agents de l’administration connaissent, «avec plus de réalisme, les problèmes que vivent les populations au niveau local. Les régions ont une responsabilité accrue pour donner leur analyse et point de vue» dans la mise en œuvre du Dsrp, a dit la représentante de la Coopération allemande, Meyer Kerstin. «Ce sont les acteurs régionaux qui peuvent bien parler des résultats (de l’application du Dsrp) et dire si les axes de stratégie fonctionnent bien ou pas», a poursuivi Mme Kerstin, elle aussi interrogée par l’Aps.
Pour dérouler la deuxième phase de sa «stratégie de réduction de la pauvreté», le Sénégal entretient un partenariat avec, outre l’Unicef et la Coopération allemande, le Programme des Nations-Unies pour le développement (Pnud), la Coopération autrichienne et le Fonds des Nations unies pour la population (Fnuap).
Le ministère de l’Economie et des Finances a engagé un «processus de forte implication des régions» du pays dans la mise en œuvre et le suivi du Dsrp. Ce document est orienté sur quatre «axes stratégiques», à savoir la création de richesses et l’accès aux services sociaux de base (éducation, santé, etc.), la sécurité sociale, la bonne gouvernance et le développement décentralisé et participatif.
Le Quotidien