Cette action de la Banque mondiale a été lancée le 4 décembre 2008 à Abuja dans le cadre des efforts que l’institution de Breton Wood mène conjointement avec le Ministère de la Santé du Nigéria. C’est ainsi qu’à travers la phase II du Programme d’Accélération de la Lutte contre le Paludisme (le « Booster Program »), la Banque s’engage à consacrer 1,1 milliard de dollars Us (environ 721 milliards de F Cfa) à élargir les programmes nationaux de lutte contre le paludisme. A travers un communiqué qui nous est parvenu, le Président de la Banque mondiale, Robert B. Zoellick, a déclaré que « ces nouveaux engagements financiers allaient aider les pays africains à intensifier la prévention, les soins et les programmes de traitement contre le paludisme au cours des trois prochaines années, et de réduire fortement le nombre de décès et de maladies liées au paludisme qui touchent leurs communautés chaque année ». Et de déclarer que : « Le paludisme est un terrible obstacle au développement pour les populations pauvres et pour les pays en voie de développement.
La Banque Mondiale s’engage à le combattre aussi longtemps qu’il le faudra pour arriver à le maîtriser, a déclaré Zoellick. Le paludisme s’attaque aux pauvres et les maintient dans la pauvreté. La pauvreté empêche les gens d’acheter des moustiquaires pour prévenir le paludisme et les médicaments pour en guérir. Quand la maladie frappe, les parents ne vont pas travailler, les enfants ne vont pas à l’école, et les situations de crise liées au paludisme plongent les familles dans des dettes dont ils ne peuvent sortir. » Le communiqué informe que Ray Chambers, l’envoyé spécial de L’Onu pour le paludisme, s’exprimant le même jour au cours d’une conférence de presse a déclaré que « la phase II du programme d’accélération de la lutte contre le paludisme aurait un impact majeur dans les pays d’Afrique où le paludisme est endémique ». Ray Chambers de déclarer que « le lancement aujourd’hui par la Banque mondiale de la phase II de son programme d’accélération de la lutte contre le paludisme est une étape importante dans la lutte contre les décès liés au paludisme, plus particulièrement dans les pays d’Afrique gravement touchés.
Les Nations Unies ont lancé un appel en faveur d’une couverture universelle pour la prévention et le traitement du paludisme d’ici 2010, et le programme d’accélération de la Banque mondiale nous rapproche de cet objectif ». Avant d’ajouter que : « le Secrétaire Général et moi-même applaudissons les efforts accrus de la Banque et sa détermination à soutenir les pays africains dans leur combat contre cette maladie mortelle. Maintenant, c’est au tour des pays eux-mêmes à faire du paludisme une priorité majeure en tant qu’enjeu vital de santé publique et de développement. » Sur la même lancée, le communiqué a rapporté les propos d’Obiageli Ezekwesili, le Vice-Président de la Banque mondiale pour la région Afrique, qui a souligné que le programme d ‘accélération de la lutte contre le paludisme redoublera son effort et travaillera dans le but de soutenir les systèmes de santé publique dans leurs efforts de prévention et de traitement du paludisme. « À travers les efforts de la Banque mondiale et de nos partenaires au cours des dernières années, nous commençons à réduire le nombre de décès liés au paludisme dans certains pays.
La phase II du programme d’accélération de la lutte contre le paludisme a pour objectif de sauver encore plus de vies, d’améliorer les systèmes de santé publique ainsi que d’aider les pays à collaborer pour arrêter la progression de cette maladie », a déclaré Ezekwesili. En réponse aux demandes exprimées par les donateurs et par les groupes partenaires, la même source fait savoir que la Banque mondiale a endossé un rôle substantiel dans la coordination des initiatives visant à combattre le paludisme dans deux des pays les plus affectés d’Afrique : la République Démocratique du Congo et le Nigeria.
L’institution donatrice considère que ces pays totalisent entre 30 et 40 % de tous les cas de décès liés au paludisme recensés dans le monde. Ses responsables assurent que la phase II du programme d’accélération de la lutte contre le paludisme étendra la distribution de moustiquaires, fournira des traitements aux populations rurales pauvres et améliorera les systèmes de santé publique en République Démocratique du Congo, au Nigeria et en d’autres pays africains. « Si des partenaires formidables comme la Banque mondiale, le Fonds mondial et les Nations Unies travaillent en étroite collaboration avec des pays tels que le Nigeria et la RD du Congo, leurs efforts collectifs peuvent contribuer de manière significative à atteindre les objectifs du Plan d’Action Global contre le paludisme (Gmap) », a déclaré Awa Marie Coll-Seck, Directeur Exécutif du Partenariat Faire Reculer le Paludisme. « La couverture universelle des interventions pour le contrôle du paludisme représente la première étape, l’élimination et une éventuelle éradication est notre but commun. »
Le communiqué a également fait par des propos de Rajat Gupta, Président du conseil d’administration du Fonds mondial, qui a confirmé l’importance des partenariats internationaux dans le combat contre le paludisme. « Nous sommes déterminés à travailler main dans la main avec la Banque pour mettre fin au paludisme en tant que menace contre la santé publique et le développement économique, et nous tenterons d’implémenter un programme commun d’initiatives à cet effet ». Et d’estimer : « ensemble, nos institutions peuvent permettre aux pays africains non seulement d’enregistrer des progrès spectaculaires contre cette maladie, mais également de renforcer le système de santé publique pour prolonger les résultats acquis. »
Sud Quotidien
La Banque Mondiale s’engage à le combattre aussi longtemps qu’il le faudra pour arriver à le maîtriser, a déclaré Zoellick. Le paludisme s’attaque aux pauvres et les maintient dans la pauvreté. La pauvreté empêche les gens d’acheter des moustiquaires pour prévenir le paludisme et les médicaments pour en guérir. Quand la maladie frappe, les parents ne vont pas travailler, les enfants ne vont pas à l’école, et les situations de crise liées au paludisme plongent les familles dans des dettes dont ils ne peuvent sortir. » Le communiqué informe que Ray Chambers, l’envoyé spécial de L’Onu pour le paludisme, s’exprimant le même jour au cours d’une conférence de presse a déclaré que « la phase II du programme d’accélération de la lutte contre le paludisme aurait un impact majeur dans les pays d’Afrique où le paludisme est endémique ». Ray Chambers de déclarer que « le lancement aujourd’hui par la Banque mondiale de la phase II de son programme d’accélération de la lutte contre le paludisme est une étape importante dans la lutte contre les décès liés au paludisme, plus particulièrement dans les pays d’Afrique gravement touchés.
Les Nations Unies ont lancé un appel en faveur d’une couverture universelle pour la prévention et le traitement du paludisme d’ici 2010, et le programme d’accélération de la Banque mondiale nous rapproche de cet objectif ». Avant d’ajouter que : « le Secrétaire Général et moi-même applaudissons les efforts accrus de la Banque et sa détermination à soutenir les pays africains dans leur combat contre cette maladie mortelle. Maintenant, c’est au tour des pays eux-mêmes à faire du paludisme une priorité majeure en tant qu’enjeu vital de santé publique et de développement. » Sur la même lancée, le communiqué a rapporté les propos d’Obiageli Ezekwesili, le Vice-Président de la Banque mondiale pour la région Afrique, qui a souligné que le programme d ‘accélération de la lutte contre le paludisme redoublera son effort et travaillera dans le but de soutenir les systèmes de santé publique dans leurs efforts de prévention et de traitement du paludisme. « À travers les efforts de la Banque mondiale et de nos partenaires au cours des dernières années, nous commençons à réduire le nombre de décès liés au paludisme dans certains pays.
La phase II du programme d’accélération de la lutte contre le paludisme a pour objectif de sauver encore plus de vies, d’améliorer les systèmes de santé publique ainsi que d’aider les pays à collaborer pour arrêter la progression de cette maladie », a déclaré Ezekwesili. En réponse aux demandes exprimées par les donateurs et par les groupes partenaires, la même source fait savoir que la Banque mondiale a endossé un rôle substantiel dans la coordination des initiatives visant à combattre le paludisme dans deux des pays les plus affectés d’Afrique : la République Démocratique du Congo et le Nigeria.
L’institution donatrice considère que ces pays totalisent entre 30 et 40 % de tous les cas de décès liés au paludisme recensés dans le monde. Ses responsables assurent que la phase II du programme d’accélération de la lutte contre le paludisme étendra la distribution de moustiquaires, fournira des traitements aux populations rurales pauvres et améliorera les systèmes de santé publique en République Démocratique du Congo, au Nigeria et en d’autres pays africains. « Si des partenaires formidables comme la Banque mondiale, le Fonds mondial et les Nations Unies travaillent en étroite collaboration avec des pays tels que le Nigeria et la RD du Congo, leurs efforts collectifs peuvent contribuer de manière significative à atteindre les objectifs du Plan d’Action Global contre le paludisme (Gmap) », a déclaré Awa Marie Coll-Seck, Directeur Exécutif du Partenariat Faire Reculer le Paludisme. « La couverture universelle des interventions pour le contrôle du paludisme représente la première étape, l’élimination et une éventuelle éradication est notre but commun. »
Le communiqué a également fait par des propos de Rajat Gupta, Président du conseil d’administration du Fonds mondial, qui a confirmé l’importance des partenariats internationaux dans le combat contre le paludisme. « Nous sommes déterminés à travailler main dans la main avec la Banque pour mettre fin au paludisme en tant que menace contre la santé publique et le développement économique, et nous tenterons d’implémenter un programme commun d’initiatives à cet effet ». Et d’estimer : « ensemble, nos institutions peuvent permettre aux pays africains non seulement d’enregistrer des progrès spectaculaires contre cette maladie, mais également de renforcer le système de santé publique pour prolonger les résultats acquis. »
Sud Quotidien