Depuis quelques années, le Sénégal, avec l’appui de ses partenaires, a mis en place des stratégies et interventions pour lutter contre le paludisme, une pathologie endémique représentant 30 à 50% des motifs de consultation dans les structures sanitaires. Elle constitue également la première cause de décès, notamment chez les enfants de moins de 5 ans et les femmes enceintes.
Il est bien vrai que des avancées significatives ont été enregistrées dans le cadre de cette lutte, le ministère de la Santé et de la Prévention, par le biais du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnpl) entend aller plus loin en impliquant de manière soutenue les médiats. Dans ce cadre, le Réseau des journalistes en santé et développement est appelé à jouer le rôle d’interface entre les prestataires et les communautés.
Deux jours durant, les journalistes venus de Dakar, Thiès et Mbour, ont suivi avec intérêt, les exposés présentés sur toutes les questions relatives à cette pathologie. Au finish, ce sont des journalistes bien outillés qui ont été formés pendant ces deux jours de conclave et qui sont prêts à jouer pleinement leur rôle d’information et de communication en descendant sur le terrain pour véhiculer les messages-clé en direction des communautés.
C’est simplement dire que le séjour à Thiès des participants a été, on ne peut plus fructueux. Ils ont fait connaissance avec cette pathologie, à savoir : l’agent causal, le vecteur, les symptômes, le Test par le diagnostic rapide (Tdr), le traitement préventif avec l’utilisation de la moustiquaire imprégnée, la lutte contre l’insalubrité, contre les gîtes larvaires, le traitement curatif par l’Act, les consultations prénatales chez la femme enceinte, entre autre.
Selon le coordonnateur du Pnlp, « aujourd’hui, la lutte contre le paludisme dépasse le seul secteur de la Santé. La mise en œuvre des interventions dans le cadre de la lutte contre le paludisme nécessite une communication soutenue et un partenariat solide avec les acteurs ». Il s’est dit convaincu que le Réseau des journalistes en santé et développement saura mener à bien la mission qui lui est assignée.
Le Soleil
Il est bien vrai que des avancées significatives ont été enregistrées dans le cadre de cette lutte, le ministère de la Santé et de la Prévention, par le biais du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnpl) entend aller plus loin en impliquant de manière soutenue les médiats. Dans ce cadre, le Réseau des journalistes en santé et développement est appelé à jouer le rôle d’interface entre les prestataires et les communautés.
Deux jours durant, les journalistes venus de Dakar, Thiès et Mbour, ont suivi avec intérêt, les exposés présentés sur toutes les questions relatives à cette pathologie. Au finish, ce sont des journalistes bien outillés qui ont été formés pendant ces deux jours de conclave et qui sont prêts à jouer pleinement leur rôle d’information et de communication en descendant sur le terrain pour véhiculer les messages-clé en direction des communautés.
C’est simplement dire que le séjour à Thiès des participants a été, on ne peut plus fructueux. Ils ont fait connaissance avec cette pathologie, à savoir : l’agent causal, le vecteur, les symptômes, le Test par le diagnostic rapide (Tdr), le traitement préventif avec l’utilisation de la moustiquaire imprégnée, la lutte contre l’insalubrité, contre les gîtes larvaires, le traitement curatif par l’Act, les consultations prénatales chez la femme enceinte, entre autre.
Selon le coordonnateur du Pnlp, « aujourd’hui, la lutte contre le paludisme dépasse le seul secteur de la Santé. La mise en œuvre des interventions dans le cadre de la lutte contre le paludisme nécessite une communication soutenue et un partenariat solide avec les acteurs ». Il s’est dit convaincu que le Réseau des journalistes en santé et développement saura mener à bien la mission qui lui est assignée.
Le Soleil