Le Réseau des journalistes africains de lutte contre le paludisme (Ammren) a organisé, vendredi et samedi, un atelier de formation sur la maladie à l’intention d’une vingtaine de journalistes venus des régions. Cet atelier a eu pour cadre le cyber-presse de Fatick.
Le coordonnateur national au Sénégal, Idrissa Ndiaye, a rappelé que le Réseau des journalistes africains de lutte contre le paludisme (Ammren) a été porté sur les fonts baptismaux en 2006, précisant que le réseau dont le siège se trouve au Ghana a fait de la formation une de ses priorités. C’est dans ce cadre, a-t-il dit, que s’inscrit cet atelier de formation financé par le Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp).
Après avoir magnifié l’engagement de la presse, le coordonnateur du Pnlp, le médecin-commandant, Papa Moussa Thior, a souligné que le rôle que jouent les réseaux revêt une grande importance dans la lutte contre le paludisme. Aussi, a-t-il tenu à dire que l’Ammren est un réseau de journalistes de développement. Et il a invité le réseau à élaborer un plan d’actions qu’il va lui soumettre pour financement. Ouvrant les travaux, l’adjoint au gouverneur Moustapha Ndiaye a salué la tenue cet atelier de renforcement des capacités des journalistes sur une maladie qui tue le plus en Afrique. Et le président de l’amicale de la presse de Fatick, Mamadou Lamine Biaye et le président du réseau des Organisations communautaires de base (Ocb), Papa Samba Diouf, ont abondé dans le même sens.
Au cours de cet atelier, les journalistes ont eu droit à différentes communications : « Paludisme : causes et évolution » par le médecin-chef de Région de Fatick, le Dr Marie Sarr Diouf, « Paludisme : impact socio-économique en Afrique, focus sur le Sénégal », par la sociologue Aïssatou Tègne Diouf.
Le thème « Paludisme : les moyens de lutte au Sénégal, forces et faiblesses », a été présenté par Papa Moussa Thior, coordonnateur du Pnlp. Il est revenu à Cheikh Camara, président des Ocb de présenter « Réponse des Ocb : exemple du conseil communal de la jeunesse de Fatick ».
Le Soleil
Le coordonnateur national au Sénégal, Idrissa Ndiaye, a rappelé que le Réseau des journalistes africains de lutte contre le paludisme (Ammren) a été porté sur les fonts baptismaux en 2006, précisant que le réseau dont le siège se trouve au Ghana a fait de la formation une de ses priorités. C’est dans ce cadre, a-t-il dit, que s’inscrit cet atelier de formation financé par le Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp).
Après avoir magnifié l’engagement de la presse, le coordonnateur du Pnlp, le médecin-commandant, Papa Moussa Thior, a souligné que le rôle que jouent les réseaux revêt une grande importance dans la lutte contre le paludisme. Aussi, a-t-il tenu à dire que l’Ammren est un réseau de journalistes de développement. Et il a invité le réseau à élaborer un plan d’actions qu’il va lui soumettre pour financement. Ouvrant les travaux, l’adjoint au gouverneur Moustapha Ndiaye a salué la tenue cet atelier de renforcement des capacités des journalistes sur une maladie qui tue le plus en Afrique. Et le président de l’amicale de la presse de Fatick, Mamadou Lamine Biaye et le président du réseau des Organisations communautaires de base (Ocb), Papa Samba Diouf, ont abondé dans le même sens.
Au cours de cet atelier, les journalistes ont eu droit à différentes communications : « Paludisme : causes et évolution » par le médecin-chef de Région de Fatick, le Dr Marie Sarr Diouf, « Paludisme : impact socio-économique en Afrique, focus sur le Sénégal », par la sociologue Aïssatou Tègne Diouf.
Le thème « Paludisme : les moyens de lutte au Sénégal, forces et faiblesses », a été présenté par Papa Moussa Thior, coordonnateur du Pnlp. Il est revenu à Cheikh Camara, président des Ocb de présenter « Réponse des Ocb : exemple du conseil communal de la jeunesse de Fatick ».
Le Soleil